Aérodromes 11/11/18-31/12/1919
© Travaux de Pierre-François
Mary (Mise à jour 12 juillet 2025)
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Le redéploiement des armées françaises depuis de l'Armistice jusqu'à la fin de 1919 justifie l'existence d'un atlas séparé de celui couvrant toute la période de la guerre; des secteurs très actifs jusque dans les derniers mois de la guerre ne voient pratiquement plus d'escadrilles, tandis que l'aéronautique militaire s'installe en Lorraine "libérée", en Alsace et dans les deux têtes de pont de la rive gauche du Rhin, autour de Koblenz et de Landau.
Le 11/11/1918, les armées françaises sont schématiquement alignées le long du front de la manière suivante: VI °A. (AF de Belgique) à la gauche des armées britanniques, d'ouest en est le long des Ardennes on trouve les I° A., III° A., V° A. et IV° A., la première armée américaine en Argonne – renforcée par la II° A., en Lorraine la VIII° A. plus la X° A. – toutes les deux prévues pour une offensive vers Sarrebourg et enfin la VII° A. dans les Vosges.
A la fin du mois de novembre, des unités se sont déjà repliées vers Paris, d'autres ont avancé en Lorraine et en Alsace, ou s'apprêtent à pénétrer en Allemagne, mais la nouvelle organisation des armées françaises est davantage le reflet du déplacement des états-majors des armées et des corps d'armée qui viennent dans un secteur prendre le commandement des troupes qui y sont stationnées, et plus particulièrement des escadrilles; on remarquera que les "aéronautiques des corps d'armée" restent formées, mais suivent rarement l'EM de leur corps d'affectation, d'où l'appellation "aéro Xe CA".
Toujours aussi schématiquement, la VI° A. rentre en Belgique, la III° A. prend le commandement des troupes en Ile de France, Picardie et Champagne occidentale, derrière la I° A. installer dans les Ardennes et en Champagne orientale, la V° A. reste dans les Ardennes orientales – rapidement dissoute le 1/2/1919, la IV° A. est partie en basse Alsace, l'EM de la II° A. est allé relever celui de la VII° A. dans les Vosges, celui de cette dernière prend le commandement des troupes en Lorraine jusqu'à sa dissolution le 20/2/1919, et enfin les VIII° A. et X° A. prennent respectivement le commandement des troupes d'occupation autour de Koblenz et Landau. Les armées sont toujours – provisoirement – rassemblées en groupes d'armées: Maistre en Picardie-Champagne, Castelnau en Alsace, Fayolle en Lorraine-Allemagne. Les deux armées en Allemagne seront fusionnées en 101/1919 au sein d'une "armée française du Rhin".
D'un point de vue aéronautique, la division aérienne est dissoute au début 5/1919 et ses escadres réparties entre les VIII° A. et X° A. en Allemagne; les escadrilles d'armée et de corps d'armées qui ne sont pas dissoutes – au fur et à mesure de la dissolution de leurs corps de rattachement – sont rassemblées au sein de groupements aéronautiques (rebaptisés groupements d'aviation en 6/1919), qui deviendront régiments d'observation en 1920.
Comme pour l'atlas des terrains de la guerre, le but n'est pas d'identifier exactement les limites des plates-formes mais d'en décrire l'utilisation dans le cadre de cette réorganisation des armées françaises.
Attention : comme dans la page principale, un texte en italiques dénote une incertitude, mais pour bien faire la différence entre aérodromes et sites "non navigants", le titre du paragraphe de ces derniers sera également noté en italique.
Tout comme pour les
escadrilles, n'hésitez pas à me contacter à l'adresse: aerodromes.pfm@orange.fr, et me
faire part de vos remarques.
PF Mary, 8/8/2018.
Après l'Armistice, l'activité de l'école d'Ambérieu semble cesser très rapidement – tout comme celle de l'annexe de Loyettes, et l'aérodrome devient un point de stockage de nombreux avions, dont les Caproni de l'école qui ne doivent trouver aucun acquéreur.
Tous les aérodromes utilisés par l'aéronautique militaire sont
des terrains allemands, abandonnés avant la mi 1/19.
Quelques uns sont en secteur I° A. au moment de l'Armistice, mais la III° A.
prend le commandement des unités stationnées dans la région à la fin 11/18.
Aérodrome allemand utilisé jusqu'en 10/18, l'aéronautique du 18e CA s'y installe peu avant
l'Armistice.
III° A.
(nov.-déc.) : 6, 268, 281.
Aérodrome allemand,
utilisé par la III° A. dans les jours qui précèdent l'Armistice.
III° A.
(nov.) : 16.
V° A.
(nov.-déc.) : 16.
Aérodrome allemand utilisé à partir de 10/18 par la III° A. et
le GB 10 (EB 14/GAC).
GAC (nov.) : EB 14 (GB 10 = 101, 116, 133).
III° A.
(déc.) : 21.
Aérodrome allemand, situé entre Laon et le terrain actuel du
même nom.
III° A.
(nov.-déc.): 79.
Aérodrome allemand aménagé dès l'automne 1914, également baptisé
"Séraucourt le Grand" et "Artemps", le terrain initial se trouvant entre ces deux villages. Il ne
semble pas utilisé après le retrait derrière la ligne Hindenburg, voyant
seulement passer l'aviation de la 18. armée en
retraite en 8/18, après l'offensive du printemps 1918.
L'aviation de la I° A. s'y installe quelques jours avant
l'Armistice, le GC 14 étant cantonné au "Grand Séraucourt".
I° A.
(nov.-déc.) : 102, (GC 14 = 75, 80, 83, 86, 166, 171).
Trois terrains sont aménagés par les Allemands autour de
Clermont [J. Calcine/2A], utilisés en particulier pour les raids sur Paris.
L'aviation de la III° A. s'installe quelques jours avant l'Armistice sur l'un
d'eux (il sera réactivé en 1931).
III° A.
(nov.-déc.) : 10, 217, 282.
III° A.
(jan.) : 217.
Deux terrains allemands de part et d'autre du village:
"Coucy les E. SO" et "Coucy les E. NE" [J. Calcine/2A]. Un
ou les deux sont utilisés par l'aéro de la III° A. à partir de 10/1918,
jusqu'au début 1919.
III° A.
(nov.) : 235, (déc.) : 74, 276.
V° A.
(nov.-déc.) : 235.
III° A.
(jan.) : 74, 276.
Aérodrome allemand utilisé par les Alliés dès de 9/18 (III° A. à
partir du 27/10), jusqu'à la fin de l'année.
I° A.
(nov.) : 293.
III° A.
(nov.-déc.): 8, 268.
Aérodrome allemand situé au nord du village. De nombreuses unités
de l'aéro I° A. s'installent quelques jours avant l'Armistice, passant à la
III° A. dans le deuxième quinzaine de novembre (certaines de ces escadrilles
passent à d'autres armées à la fin novembre mais restent quelques jours
supplémentaires à Fonsommes); elles sont toutes parties à la fin décembre.
GER/GAR
(nov.) : 202.
I° A.
(nov.) : 13, 14, 74, 203, 204, 270, 276; (déc.) : 13, 270.
III° A.
(nov.-déc.) : 13, 14, 74, 202, 203, 270, 276.
Aérodrome allemand de
"Landouzy", près de Vervins.
III° A.1
(nov.-déc.) : 50, 274.
(1) I° A.
18-28/11/18.
Aérodrome allemand également connu comme "Parfondru",
utilisé par l'aéro de la III° A. à partir de la fin 10/18.
III° A.
(nov.-déc.): 209, 217.
Aérodrome allemand aménagé près de Guise, à l'est de la ferme du
Clos, également baptisé "Proisy" ou "Wiège-Faty".
I° A.
(nov.) : 21.
Aérodrome allemand.
I° A.
(nov.): 71.
III° A.
(nov.-déc.): 71.
Utilisé en 9/14 par l'AM, puis aérodrome allemand de 1915 à
1918, occupé par la V° A. à partir du début 11/18.
V° A.
(nov.): 2.
I° A.
(nov.-déc.): 2.
Court passage autour de la date de l'Armistice du GB 8 (GAC) à
l'ouest de la ville: les VB 109 et BR 113 à Fluquières,
et la VB 125 à Roupy, deux aérodromes
allemands.
Terrain allemand jusqu'au retrait derrière la ligne Hindenburg.
Plusieurs escadrilles de la I° A. s'installe à "Tergnier" à la fin
10/1918, certaines cantonnées à "Vouël" et "Quessy", ce
dernier devant probablement être compris comme "Quessy-Cité",
lotissement construit à l'ouest de la gare de triage. La réorganisation des
armées françaises à la fin novembre fait passer le terrain en secteur III° A.
I° A.
(nov.): 35, 54, 70, 235, 262, 283.
III° A.
(nov.-déc.): 21, 54, 262, 283.
Deux aérodromes allemands créés probablement en 1916 de part et
d'autre du village, au SE du futur terrain de Couvron.
III° A.
(déc.): 50, 274.
Au moment de l'Armistice, le département est couvert par les
secteurs des IV° A. et V° A. Le 17/11/18, la I° A. relève la IV° A. qui part
dans l'est de la France. La I° A. prend le contrôle du secteur au sud de la
Meuse à partir du 28/11/18, à la place de la V° A.
Le 1/2/19 la V° A. est dissoute, son secteur et les troupes qui
y sont stationnées passent à la III° A.; rapidement, les unités aéronautiques
de cette armée rejoignent le GA n° 3. L'aéronautique de la I° A. passe à son
tour au GA n° 2 au début 3/1919.
Aérodrome allemand, aussi connu sous le nom "Les Hautes
Marzelles" (lieu-dit au SE de Bergnicourt), utilisé à partir du 30/10/18,
jusqu'au début 1/1919. Un cantonnement au "Châtelet sur Retourne", à
moins qu'elle soit stationnée sur l'ancien terrain allemand près de cette
ville.
V° A.
(nov.-déc.) : GC 16 = 78, 112, 150, 151, 168, 176.
V° A.
(jan.) : GC 16 = 78, 112, 150, 151, 168, 176.
Aérodrome allemand proche de Mouzon, mais le terrain baptisé du nom
de cette dernière ville est à proximité d'Autrecourt.
V° A. (déc.) : 8.
V° A. (jan.) : 8.
III° A. (jan.-fév.) : 8.
GA n° 3
(fév.-mars) : 8.
I° A.
(mars) : 8.
Arrivée d'escadrilles de la IV° A. dans les jours qui précèdent
l'Armistice1. Le secteur passe rapidement à la V° A. après
l'Armistice, la V 291 lui est déjà rattachée, mais revient à la IV° A. en
rejoignant Neuhof.
(1) Après le passage de quelques escadrilles de la
IV° A. en 8/14, le site ne semble pas avoir été utilisé par les Allemands.
IV° A. (nov.)
: 207, 156, 291.
V° A.
(nov.-déc.): 207, 156, 291.
Stationnement pendant une dizaine de jours en 11/18 des deux
escadrilles du 13e CA (V° A.). SHAA donne le nom "moulin
d'Ecly" pour l'une d'elles.
V° A. (nov.)
: 19, 64.
Terrain allemand occupé quelques jours en 11/18 par le GC 21
dont les autres escadrilles sont à Machault.
IV° A. (nov.)
: GC 21 = 98, 157.
V° A. (nov.)
: GC 21 = 98, 157.
Terrain allemand (?) qui voit l'arrivée d'escadrilles du 11e
CA (IV° A.) à partir du 22/10/18, transférées à la V° A. après le 13/11/18.
IV° A.
(nov.) : 8, 55, 212, 251.
V° A.
(nov.-déc.) : 8, 55, 212, 251.
Stationnement du GC 21 pendant les trois premières semaines de
11/18, les escadrilles se répartissant entre "Machault" et
"Leffincourt"; la SPA 124 donne "terrain de Machault, près
Leffincourt" (le terrain étant ainsi au NE de Machault, il ne peut y avoir
de confusion avec celui de Cauroy).
IV° A.
(nov.) : GC 21 = 163, 164, 175.
V° A.
(nov.-déc.) : GC 21 = 163, 164, 175.
Escadrilles de la V° A. (depuis le début 10/18); elles passent à
la I° A. à la fin 11/1918 lors de la réorganisation des armées françaises.
V° A. (nov.)
: 40, 140, 230, 231, 267.
I° A.
(nov.-déc.) : 40, 140, 230, 231, 267.
I° A.
(jan.) : 40, 140, 230, 231, 267.
III° A.
(jan.-fév.) : 40, 140, 230, 267.
GAé n° 3
(fév.-mars) : 40, 140, 230, 267.
Aérodrome allemand (?), utilisé par la V° A. à partir du
30/11/18, avec plusieurs cantonnements à "Autrecourt" (par contre,
"Carignan" paraît bien loin pour le cantonnement d'un terrain entre
Mouzon et Autrecourt… Voir ce nom).
V° A.
(déc.) : 16, 55, 235, 251, 265.
V° A.
(jan.-fév.) : 16, 55,
235, 251.
III° A.
(jan.-fév.) : 16, 55, 235, 251.
GAé n° 3
(fév.-mars) : 16, 55, 235, 251.
Stationnement des escadrilles du 14e CA pendant les
trois premières semaines de 11/18.
IV° A. (nov.), puis V° A. (nov.), et III°
A. (nov.) : 20, 60, 263.
Installation de l'aéro du 9e CA (IV° A.) à partir du
23/10/18, passant à la V° A. le 13/11/18.
IV° A.
(nov.) : 33, 256, 257, 265, 232.
V° A.
(nov.) : 33, 256, 257, 265, 232.
Aérodrome allemand.
IV° A.
(nov.) : 285.
Aérodrome aménagé avant 1914 (également connu comme
"Belval"), utilisé par les Allemands (?).
Elle est cantonnée à "Warcq".
V° A.
(nov.) : 222.
Situé en arrière du front de la IV° A., le département de l'Aube
se retrouve en secteur I° A. loin de la frontière, désertée par la formations de l'AM, sauf celles liées au CIACB. Pour tous
les aérodromes et dépôts de la région, on se reportera au superbe site http://www.romilly-aviation.fr/.
Deux terrains, baptisés "Est" et "Ouest",
utilisés comme annexe du CIACB de La Perthe
(comme le terrain de Gourgançon, dans la
Marne). Les escadrilles sont probablement administrées par la IV° A., puis la
V° A. après le 13/11, puis par la I° A. à partir du 28/11.
CIACB (nov. déc.) : 200, 206, 210E, 228O, 229E,
236E.
CIACB1 (jan.-fév.) : 210E, 228O, 229E,
236E.
(1) Le CIACB est dissout le 28/4/19.
Terrain créé en 1918, il abrite pour quelques semaines le centre
d'instruction pour l'aviation d'observation (CIAO) avant qu'il ne s'installe à
la Chapelle la Reine (77) en 10/18.
Devant l'offensive allemande, le GDE quitte Le Plessis-Belleville le 31/3/18 pour Chartres-Le Coudray; il revient en région parisienne
à Moissy-Cramayel puis s'installe à Marigny le Châtel lorsque la menace allemande
s'estompe (annexes à Échemines, Villeloup et Romilly).
Il sera dissous le 21/3/19.
Courte utilisation 10-11/18.
V° A.
(nov.) : 222.
Un camp d'entraînement pour l'infanterie est créé à l'ouest du
village de Pars au début 1918, en même temps qu'un aérodrome de 40 ha est
aménagé au SO, disponible le 25/1/18.
Des essais de chasse de nuit réalisés avec le centre
d'instruction de la DCA de Pont sur Seine conduisent à la création d'un centre
d'instruction pour l'aviation de chasse de nuit (CIACN) le 1/11/18, il est
dissout dès le 21/1/19, comme l'escadrille 300 qui rassemble les avions
employés pour l'instruction.
En 1919, l'aérodrome devint une annexe du dépôt de matériel
d'aviation n° 1 (DMA 1) de Romilly, chargé de démobiliser une partie de
l'aviation française, et de nombreuses escadrilles cantonnent à Pars jusqu'à la
fin 4/1919, le temps pour elles de se délester de leurs matériels (si certaines
escadrilles sont nommément mentionnées à "Pars", il est possible que
qu'une partie de celles mentionnées à "Romilly" soient en réalité
démobilisées ici…).
Vaste terrain créé en 1918 pour accueillir le nouveau centre
d'instruction pour l'aviation de combat et de bombardement (CIACB), il prendra
vite le nom de "CIACB de Champfleury-La Perthe". Une surface totale
de 650 ha est réquisitionnée de part et d'autre de la route de Champfleury à
Coucemain, y compris les bâtiments de la ferme de "La Perthe",
comprenant l'aérodrome et le champ de tir.
Aucune escadrilles n'y est mentionnée stationner, mais plusieurs
unités stationnées à Herbisse et Gourgançon sont rattachées au CIACB.
Le CIACB sera dissous le 28/4/19, mais l'Armée décide de
conserver les terrains dont l'acquisition est lancée en 1922, les hangars
Bessonneau étant remplacés par des bâtiments métalliques. Le terrain dépend de
l'aérodrome de Romilly qui y maintient un détachement
de gardiennage.
Au début 1918, la crainte d'une offensive conduit le GQG à
ordonner le transfert du grand parc aéronautique n° 1 de Matougues à Romilly,
où il commence à fonctionner au début 6/1918.
A partir du 1/1/19, le GPAé n° 1 cesse toute réparation et ne
s'occupe plus – très provisoirement, que du ravitaillement en matériel du GDE
de Marigny le Châtel et du CIACB de La Perthe. Il est dissout le 1/3/19, alors qu'une
partie de ses installations et de son personnel ont déjà été transférés au
dépôt de matériel d'aviation n°1 créé le 1/2/19 pour prendre en charge la
démobilisation des unités (avec deux autres DMA à Sommesous et Courban). Le
terrain de Pars les Romilly devient son annexe.
Comme à Pars, les dissolutions se poursuivent jusqu'à la fin
4/1919, suivies par le passage d'un certain nombre d'escadrilles qui arrivent à
Romilly pour céder leur matériel avant leur transfert, la plupart rejoignant
ensuite par le DPTA de Villemaur sur Vanne (qui
n'a pas de piste) avant leur transfert vers une école ou un dépôt de la RGA
comme "escadrille réduite isolée".
Le 1/8/19, les DMA passent
sous la responsabilité du service des entrepôts généraux de l'aviation (SEGA).
Voir l'excellent site de José Fournier : http://www.romilly-aviation.fr/.
Devant la menace que constitue l'offensive allemande, le dépôt
du personnel technique de l'aéronautique (formé en 9/1917 au Plessis-Belleville
pour gérer les personnels de l'AM) est replié à Villemaur sur Vanne le 28/3/18.
Les installations se situent à la sortie du village vers Sens, au lieu-dit
"l'Arcade" – proche de la gare, qui exclut qui tout terrain
d'atterrissage.
En 4-5/1919, il voit passer plusieurs escadrilles ayant laissé
leur matériel à Romilly qui rejoignent ensuite
une école ou une annexe du RAG comme "escadrille réduite isolée". Le
DPTA est dissout le 1/7/19.
Le centre de dirigeables d'Aubagne
ne sera désarmé qu'en 1922. L'hydrobase de Berre continue son activité. Le PC
de l'Estaque est dissout en 12/18.
L'escadrille 486 de surveillance côtière stationnée au parc Borély à Marseille est dissoute en 3/1919.
L'école d'Istres reste en activité; son annexe
de Miramas reçoit un détachement de la BR 111
(GB 6/EB n° 12) en 7-/8/1919, avant d'être probablement absorbé par le camp
militaire, devenu depuis dépôt de munitions.
L'escadrille côtière V 487 de Lion sur
Mer est dissoute le 11/7/19. Le CAM/PC de Port
en Bessin est rapidement désarmé.
Désarmement rapide du CAM/PC de La
Pallice, mais poursuite de l'activité du centre de Soubise.
Plusieurs "escadrilles réduites isolées" sont prises
en subsistance par l'école à partir de la fin 4/1919, dans l'attente d'une
nouvelle affectation, mais la plupart seront finalement dissoutes, la plupart à
Bron au début 7/1919, deux autres un mois plus tard sur place: SAL 16, V 291,
BR 213, SAL 5, BR 210 et V 290.
L'école est dissoute au début de l'été 1919, mais le terrain
figure toujours dès le premier BNA comme un terrain militaire sur lequel les
avions de "l'Aéronautique commerciale" peuvent atterrir. Situé à
l'écart des routes aériennes, il ne voit qu'une seule activité militaire reprendre
en 1920 avec l'arrivée de deux esc. du 32e
RAO de Dijon.
Les centres d’aviation maritime de Bastia
et de Calvi sont désarmés par décision
ministérielle du 22/11/18; leur matériel est replié sur le centre d’Ajaccio qui est constitué en réserve régionale
temporaire (dissoute vers 1920), lui-même désaffecté à son tour en 1922.
La SP 441, escadrille de protection du Creusot et stationnée à Antully (71), est dissoute au début 1919; il est très
probable que les terrains annexes1 ne connaissent guère d'activité
après le 11/11/18…
(1) Beaune, Citeaux, Millery, Seurre.
Dépôt britannique ouvert en 1918, il cède la place au DMA n° 3
créé le 1/2/19, chargé de la dissolution des escadrilles de l'AM comme les
autres DMA de Romilly et Sommesous. De la même manière, il voit passer en
4-5/1919 plusieurs escadrilles repartant comme "escadrilles réduites
isolées" vers des écoles ou des annexes de la RGA après un transit par le
DPTA de Villemaur sur Vanne.
Il devient Magasin Général d'Aviation n° 3 en 1920, servant également de camp de
prisonniers allemands pendant quelques temps.
L'école de pilotage est rapidement dissoute après l'Armistice.
Des escadrilles arrivent à partir de la fin 7/19 avec le groupement d'aviation
n° 2, plus la BR 7 qui reste un temps rattachée à la IV° A. puis passe fin août
au GA n° 5. Toutes formeront le 2e régiment d'observation au 1/1/20.
GA n° 2
(juil.-déc.) : 35, 111, 201, 219, 220. Parc n° 8.
IV° A.
(juil.-août), puis GA n° 5
(août-déc.) : 7.
Le CAM/PC de Tréguier est
rapidement désarmé après l'Armistice.
Zone VII° A. au moment de l'Armistice, le nord de la
Franche-Comté, comme la région de Belfort, passe à la II° A. le 16/11. Cette
dernière est dissoute le 5/2/19 et ses unités passent à la IV° A. qui stationne
en Alsace.
Aérodrome ouvert en 11/18 pour la VII°
A., réutilisé quelques jours en 12/18 par la II° A.
II° A.
(déc.) : 6, 241, 268.
Aérodrome créé en 11/16 pour abriter l'escadrille de protection
de Besançon jusqu'au début 1919; plusieurs terrains auxiliaires utilisés
pendant la guerre sont très certainement rapidement fermés.
VII° A.
(nov.) : 412.
II° A.
(nov.-déc.) : 412.
II° A.
(jan.) : 412.
Le terrain, ouvert en 1917, abrite à partir de 3/18 la 5th
Artillery Aerial Observation School de l'AEFAS, probablement rapidement fermée
après l'Armistice.
IV° A.
(juil.-août) : 20, 245.
Terrain annexe de l'école du Coudray
à partir de 1915; l'école ferme rapidement après l'Armistice, et le terrain ne
semble retrouver une activité qu'en 1922 avec l'ouverture de la base aérienne.
Terrain de repos ou entraînement (?), il accueille la V 468 du GEPCRP à partir du 1/9/18, jusqu'à sa dissolution le 10/12/18.
Fermeture rapide de l'école après l'Armistice (?), après avoir
accueilli le GDE au printemps.
Dépôt de l'aéronautique militaire à partir de 1917, au SO du la
ville. Quelques hangars seront encore visibles en 1935 (IGN).
Le CAM de Camaret est désarmé à
la fin 1918 et transféré à Laninon en 1919, ce
dernier restant ouvert comme centre école. Désarmement du PC de Penzé. L'escadrille côtière de Plomeur est dissoute le 31/12/18.
L'école de tir et de bombardement de Cazaux
continue son activité après l'armistice. Plusieurs escadrilles réduites isolées
affectées à l'école 18/4/19-18/7/19. Une école de tir de combat est créée en
1918 à Captieux, probablement annexe de l'école
de Cazaux (?).
Le CAM ouvert en 5/1917 à Hourtin
devient un centre école en 6/1918; il reste ouvert après l'Armistice (?). Par
contre celui du Verdon est rapidement désarmé,
tandis que l'esc. côtière 481 est dissoute en 11/18.
Ecole de pilotage créée en 10/15, initialement au sud de la
route de Lignières. Elle est initialement spécialisée dans la formation à
l’observation d’artillerie et les pilotes de corps d’armée à partir de 1916,
puis devient école de transformation avant spécialisation en 1917.
Le CCC 3T/19 de la V 296 précise que Vineuil
et La Martinerie sont des "détachement du
service des entrepôts généraux de l'aviation".
GA n° 1
(juin-août): 2961.
Groupement de
Chasse n° 32 (oct.-déc.): 1er gr. = 96,
97, 102, 2e gr. =
49, 88, 102, 3e gr. = 67.
(1) Escadrille réduite isolée.
(2) Il devient 3e régiment d'aviation de
chasse le 1/1/20.
Annexe de l'école de La Martinerie, le CCC 3T/1919 de la V 296
précise que Vineuil et La Martinerie sont des "détachement du service des
entrepôts généraux de l'aviation".
GA n° 1
(mai-août): 2931, 2941, 2961.
(1) Escadrille réduite isolée.
L'école de pilotage passe sous contrôle américain le 1/11/17.
Plusieurs nouveaux terrains annexes sont aménagés en plus du terrain principal
(fields No 1 & 2): "Old Spiral Field",
entre Monnaie et Langennerie (No 3), Rochecorbon
(No 4), pour l'entraînement au tir (Aerial Gunnery), Meslay
(No 6), La Feuillée (No 8), Les Bois-Métais, au NO de Reugny et au NE du terrain.
Didier Lecoq signale aussi Larçay, pour
l'entraînement au tir (Aerial Gunnery) comme à Rochecorbon – probablement sur
le champ de manœuvres de Larcay qui semble déjà exister, et le terrain du Ruchard, dans les landes de Cravant à l'est de
Chinon, pour l’entraînement au réglage d’artillerie; ces deux terrains
pourraient être les fields No 5 et 7…
Les derniers élèves arrivent avant 12/18, et les derniers lâchés
ont lieu en 1/19 avant que les Américains n'abandonnent le terrain le 1/5/19.
Ils sont rapidement remplacés par l'aéronautique militaire qui trouve sur place
un terrain bien équipé.
GA n° 1
(avr.-déc.): 10, 441 ,47, 56, 226, 2751, 277. Parc n° 9.
(1) Escadrille réduite isolée.
Une annexe de l'école de tir de Cazaux
a été créé à Biscarrosse en 1916, elle doit
être fermée en 1919, tout comme l'école d’application pour la chasse dépendant
de Cazaux (ex-annexe de Pau) , installée à Biscarrosse-Plage en fin 1917.
L'escadrille côtière 484 s'installée au Croisic en début d'année est dissoute le 31/12/18.
Le CAM de Chantereyne est
conservé en 1918, devenant un centre école, comme est conservé le centre
d'aérostation d'Ecausseville, le grand hangar
Lossier est terminé en 8/19.
En arrière du front des IV° A. et V° A. au moment de
l'Armistice, le département passe en secteur I° A. le 28/11/18, armé dont les
unités aéronautiques rejoignent le GA n° 2 au début 3/1919.
Aérodrome installé au sud de la ferme. La SAL 264 est cantonnées
aux "Grandes Loges", à près de 3 km de la ferme…, mais peut-être plus
proche de la limite sud du terrain…
EC n° 1
(nov.) : GC 19 = 85, 95, 96.
V° A.
(nov.) : 19, 64, 264.
I° A.
(nov.-déc.) : 19, 35, 64, 70, 253, 264.
I° A.
(jan.-mars) : 19, 35, 70, 252, 253.
GAé n° 2
(mars) : 253.
Aérodrome aménagé en 1917 sur le plateau au nord du village,
mais aucune unité connue avant l'Armistice (terrain utilisé par les Allemands
pendant leur offensive vers la Marne).
V° A. (nov.) : 285, 288.
I° A. (nov.-déc.)
: 285, 288.
Si les installations civiles d'avant-guerre de l'aérodrome de
Mourmelon prennent parfois ce nom, un véritable aérodrome est créé en 1915 au
sud du village (près du point de départ de Farman en 1908 quand il rejoint
Reims). En 1918, les cartes insérées dans le JMO du 4e CA
mentionnent bien ce terrain, tandis que celui de Mourmelon est baptisé
"Pyramide-Aviation", sans que des escadrilles connues y aient été
stationnées.
EB n° 11
(nov.-déc.) : GB 51 = 135, 136, 137.
EB n° 11
(jan.-avr.) : GB 51 = 135, 136, 137.
Terrain IV° A., ouvert en 6/18.
EB n° 12
(nov.) : GB 61 = 111.
EB n° 11
(nov.-déc.) : GB 7 = 121.
EB n° 11
(jan.) : GB 7 = 121.
I° A.
(jan.-fév.) : GC 21 = 98, 124, 157, 163, 164, 175.
(1) L'esc. 111 part le 12/11 et les esc.66 et 108
sont partis la veille
Terrain important en arrière du front, encore utilisé jusqu'au
printemps 1919.
I° A.
(déc.) : 204, 285, 288.
I° A.
(jan.-mars) : 204, 285, 288.
GA n° 3
(mars-avr.) : GC 16 = 112, 150, 151, 176.
Un terrain a été utilisé pendant la bataille de la Marne, puis
le nom réapparaît en 5/18, encore utilisé quelques jours après l'Armistice.
GAC
(nov.) : 45.
Important terrain créé en 1915 à la sortie est du village, il
est utilisé presque en permanence jusqu'à l'Armistice. Court passage de la F 25
qui rejoint le GB 1 dès le 12/11/18.
I° A. (déc.) :
2, 105, 250; (GC 21 = 124).
I° A.
(jan.-mars) : 2, 105, 250; (GC 21 = 124).
GA n° 2 (mars)
: 250.
Terrain créé en 7/18.
IV° A.
(nov.) : 237.
V° A.
(nov.) : 237.
I° A.
(nov.-déc.) : 237.
Aérodrome créé en 1915, aussi connu comme "Saint Etienne du
Temple"; le CCC 4T/15 de la V 21 précise que "l'escadrille bivouaque
au nord de la route de St Etienne à Cuperly, à 1500 m de St Etienne" (au
sud de la voie ferrée). Les dernières escadrilles quittent le terrain en
1/1916.
Installation du parc n° 8 de la I° A. le 28/11/18 quand celle-ci
prend en charge les unités stationnées au sud de la Meuse; au début 3/19,
l'aéronautique de cette armée passe au GA n° 2 qui conserve le parc, transféré
probablement avec lui à Longvic avant le 10/6/19.
La V 292, escadrille réduite isolée arrive le 24/6/19; elle y
est dissoute à une date inconnue (à cette date, le GA n° 2 est parti à Longvic,
mais le parc reste peut-être actif pendant quelques temps…).
Utilisé par les escadrilles du 38e CA (IV° A.) à
partir du 29/8/18. Secteur V° A. à partir du 13/11 quand l'EM de la IV° A.
rejoint le GAE en Alsace où les deux escadrilles arrivent au début décembre.
IV° A.
(nov.) : 39, 273.
V° A.
(nov.) : 39, 273.
Terrain utilisé en 7-8/1918, puis à nouveau à la fin novembre –
en secteur I° A., en particulier par une escadrille du CIACB de La Perthe (les autres sont à Herbisse, les trois aérodromes formant un triangle de
5-6 km de coté).
CIACB
(nov.-déc.) : 216.
I° A.
(nov.-déc.) : 219, 284.
CIACB
(jan.-mars) : 216.
I° A.
(jan.-fév.) : 219.
III° A.
(fév.) : 219.
GA n° 3
(fév.) : 219.
Une école d'observation d'artillerie est créé
en 3/18 dans le quart SO du carrefour N4/D318. Après l'Armistice, l'école cède
la place à une annexe du dépôt de Sommesous
(situé à l'opposé de la ville), participant aux opérations de dissolution des
unités de l'aéronautique militaire. Seules les SPA 160 et 170 du GC 23 (VI° A.)
sont nommément mentionnées quelques jours en 3/19.
En 1938, les photos aériennes montrent encore la trace de cette
annexe au SO du carrefour, ainsi que de celles de nombreuses voies de garage
dans le quart NE.
Aérodrome allemand créé en 1917 (?), il voit le passage du GC 12
(IV° A.) à partir du 31/10/18. Il est affecté à la X° A. le 11/11/18, date à laquelle
trois escadrilles partent pour Laneuveville devant
Bayon, près de Toul; les autres partent le 13/11.
IV° A.
(nov.) : GC 12 = 3, 103,
167.
Aérodrome de transfert et de repos aménagé à la fin 1917.
III° A.
(nov.) : 208, 214, 215, 223.
I° A.
(nov.-déc.) : 208, 214, 215, 223.
CIACB
(nov.-déc.) : 205.
I° A.
(jan.-mars) : 208, 211, 213, 215, 223.
CIACB
(jan.-mars) : 205.
GA n° 2 (mars-avr.) : 16, 213.
V° A.
(nov.) : 212.
I° A.
(nov.-déc.) : 204, 212.
I° A. (jan.)
: 212.
Aérodrome aménagé à l'occasion de l'offensive de Champagne de
9-10/1915, il devient le "grand parc aéronautique n° 1" en 5/1917,
sorte d'atelier industriel militaire près du front. D'autres doivent voir le
jour, mais une partie plus importante que prévue de l'entretien se révèle
réalisable en unité, en même temps que le recrutement du personnel en nombre
suffisant risque d'être difficile.
Quelques escadrilles continuent à passer au cours des années
1917-1918; le GB 5 (EB n° 12/DAé) est arrivé le 19/19/18 quand l'Armistice est
signé, il repart avant le 14/11.
DAé
(nov.) : EB 12 (GB 5 = 117, 120, 127).
IV° A.
(nov.) : 33, 256, 257.
V° A.
(nov.) : 33, 256, 257.
III° A.
(nov.) : 20, 33, 60, 256, 257, 263.
I° A.
(nov.-déc.) : 20, 33, 60, 61, 256, 257, 263, 271.
I° A.
(jan.-mars) : 8, 20, 33, 55, 60, 61, 256, 257, 263, 271.
GA n° 2
(mars-avr.) : 2, 8, 16,
55, 267, 105.
GA n° 3
(avr.) : 220, 267.
Terrain de manœuvre de cavalerie au NE de Chalons, au coin NO
des D3 et D208, connu aussi sous la désignation de "L'Epine".
Il est initialement reconnu pour accueillir les avions du GB 1
en 2/15. Les troupes sont cantonnées à la ferme de Melette et les officiers
dans les trois villas voisines, ce qui explique certainement que ce nom ait été
retenu (un peu plus à l'ouest, il existe encore un terrain de manœuvre à
"la Folie", mentionné pour certaines escadrilles; un terrain y sera
utilisé jusqu'en 1939, est-ce déjà un aérodrome pendant la guerre, ou un simple
cantonnement ?).
Les GC 15 (EC n° 1/DAé/GAE) et la RXI 240 (GB 9/EB
12/DAé/GAE) sont présents au moment de l'Armistice mais le quittent dès le
14/11/18.
I° A. (déc.) :
57, 102.
I° A. (déc.) :
57, 102, 201, 293.
GA n° 2
(jan.-mars): 102, 201, 293.
Voir aussi la ferme des Monts Fournois en 1914.
V° A.
(> 7/12/18): 222 (reco), 76 (ch.).
Terrain actif à partir de 8/18, à ne pas confondre avec celui de
la ferme Contin près d'Orly, situé près de la
route de Morangis.
X° A. (nov.)
: 51, 260.
Autre aérodrome important créé en 1915 le long de la rivière du
même nom, utilisé pendant toute la guerre. Au moment de l'Armistice, le GC 18
(EC n° 1/DAé) est venu remplacer le GC 12 (IV° A.) au début novembre.
EC n° 1
(nov.) : GC 18 = 48, 94, 153, 155.
I° A.
(déc.) : 57.
I° A.
(jan.-mars) : 57.
Parc n° 101 (EB 11) de 6/18 à 7/19.
Utilisé par l'AM à partir de 7/18.
V° A.
(nov.): 30, 63.
Un aérodrome est utilisé en 1914-1916 à "Oiry", puis l'AM
revient à "Plivot" en 1918 : il n'est pas impossible que le site de
"Oiry" soit différent, car ce village est aussi important que Plivot,
dont la plate-forme est proche de Bury.
La plate-forme sera à nouveau réquisitionnée en 1937 sous le nom
"Athis", l'aérodrome contemporain ayant repris le nom de
"Plivot".
DAé = EB 12 (oct.-nov.) : (GB 9 = 29, 123, 129); 239.
CIRNLP
(nov.) : 200.
Aérodrome utilisé par le GC 22 à partir de la fin 10/18
(probablement le terrain allemand signalé en 1917 à proximité d'Isles sur
Suippe).
IV° A.
(nov.) : GC 22 = 38, 87, 92, 152, 169.
V° A.
(nov.-déc.) : GC 22 = 38, 87, 92, 152, 169.
Terrain utilisé à partir de la fin 10/18 par la V° A., il passe
le 28/11/18 à la I° A. quand celle-ci prend le commandement des unités
stationnées au sud de la Meuse.
V° A.
(nov.) : 27, 106, 223, 252.
I° A.
(nov.-déc.) : 27, 106, 252.
I° A.
(jan.-mars) : 27, 106, 252.
Le centre d'instruction pour l'aviation d'observation est créé ici
le 15/10/1917; il transféré à La Chapelle la Reine (77) en 10/1918 après un
séjour provisoire de plusieurs semaines à Marigny le Châtel (10), tandis que
les Américains installent une école d'observation à Haussimont, à l'ouest du
village.
Le 1/2/19, la plate-forme devient le DMA n° 2 – avec une annexe à Haussimont, chargé comme les deux autres dépôt de Romilly et Courban de
la dissolution des escadrilles de l'AM.
Beaucoup moins d'escadrilles qu'à Romilly
ou Courban sont dissoutes sur place en 2-3/1919
(pour la plupart des unités de groupes de combat, puis quelques escadrilles qui
passe avant de rejoindre le DPTA de Villemaur sur Vanne où elles
seront reconstituées comme escadrilles réduites isolées affectées
temporairement à une école ou une annexe de la RGA.
Une fois sa tâche accomplie, il survit jusqu'au début 1920: il
n'apparaît pas lors de la réorganisation des établissements spéciaux de
l'aéronautique militaire le 25/3/20 qui transforme les deux autres DMA en
magasins généraux d'aviation.
Terrain de "La Grande Romanie" ou
"Somme-Vesle" au sud carrefour des D3 et D 994, utilisé à partir de
l'été 1915 (les escadrilles de la IV° A. passe quelques semaines en 9-10/1914 à
l'issue de leur retraite depuis les Ardennes). Quelques unités également à
"Courtisols": cantonnement sur la même plate-forme ?
V° A.
(nov.) : GC 21 = 98, 157, 163, 164, 175.
I° A.
(nov.-déc.) : GC 21 = 98, 157, 163, 164, 175.
I° A.
(jan.) : GC 21 = 98, 157, 163, 164, 175.
Terrain utilisé à partir de la fin 9/18.
IV° A.
(nov.) : 213.
V° A.
(nov.) : 213.
Parc n° 101 (nov.-déc.) : 233.
I° A.
(nov.-déc.) : 213, 233.
I° A.
(jan.-fév.) : 213, 233.
Terrain utilisé à partir de la fin 5/18.
I° A.
(déc.): GC 14 = 75, 80, 83, 86, 166, 171.
I° A.
(jan.-mars): GC 14 = 75, 80, 83, 86, 166, 171.
GA n° 3
(mars) : 79.
Aérodrome important créé en 1917.
EB n° 11
(nov.-déc.) : GB 1 = 25, 110, 114.
EB n° 111
(jan.-juil.) : GB 1 = 25, 110, 114.
(1) Attachée au GAC, puis au GA Maistre le 21/11/18
(admin. V° A. puis I° A.), elle est rattachée au GQG le 12/2/19 lors de la
dissolution du GA.
GA n° 2
(mars-juil.) : 16, 201, 293.
GA n° 3
(avr.-juil.) : 220.
Aérodrome actif à partir de 2/18.
EB n° 111
(> 7/8/19): GB 7 = 118, 119, 121.
(1) Attachée au GAC, puis au GA Maistre le 21/11/18
(admin. V° A. puis I° A.), elle est rattachée au GQG le 12/2/19 lors de la
dissolution du GA.
Aérodrome actif à partir de la fin 10/18.
IV° A. (nov.): 266.
Aérodrome créé avant la guerre, un aérodrome militaire y sera
maintenu après la guerre, toujours au même endroit. Le gardiennage est assuré
par le MGA1 de Romilly.
GA n° 2
(fév.-juil.) : 35, 211.
Dans les jours qui précèdent l'Armistice, la VIII° A. a été
rejointe par la X° A. en prévision d'une offensive vers Sarrebourg et la
frontière allemande; à la fin du mois de novembre, elle s'avancent vers
l'Allemagne, tandis que l'EM de la VII° A. vient prendre le commandement des
troupes stationnées en Lorraine et dans les Vosges.
Utilisé à partir de 7/1918, avec deux cantonnements à
"Houdelmont" (à moins d'un autre terrain…) et à
"Houdreville". En secteur VIII° A. jusqu'à la fin 11/1918, il abrite également
deux escadrilles de la X° A. au même moment, puis passe en secteur de la VII°
A. qui administre les escadrilles de la 1ère division aérienne
rattachées au GA Castelnau.
VIII° A.
(nov.) : 90, 244.
X° A.
(nov.-déc.) : 69, 224.
EB n° 121
(déc.) : GB 9 = 239, 240.
(1) Rattachée à la 1ère DAé/GA Fayolle,
administrée par la VII° A.
EB n° 121
(jan.-fév.) : 239, 240.
(1) Rattachée à la 1ère DAé/GA Fayolle,
administrée par la VII° A.
Terrain créé en 6/1918 pour la RAF (Independent Air Force) qui
reste jusqu'en 11/1918, également utilisé jusqu'à l'été 1919 par l'AM.
Plusieurs escadrilles de l'AM sont mentionnées à "Burthécourt aux
Chênes", juste au SE de la plate-forme; après le départ des Britanniques,
le nom "Azelot" est plus largement utilisé.
VIII° A.
(nov.-déc.) : 5, 7, 141.
X° A.
(nov.) : 1, 228.
EC n° 11
(déc.) : GC 15 = 37, 81, 93, 97; GC 19 = 73, 85, 95, 96, 62.
(1) Rattachée à la 1ère DAé/GA Fayolle,
administrée par la VII° A.
EC n° 11
(jan.-mai) : GC 15 = 37, 81, 93, 97; GC 19 = 73, 85, 95, 96, 62.
(1) Rattachée à la 1ère DAé/GA Fayolle,
administrée par la VII° A.; 20/2 > …/GQG; déb./5/19 > X° A.
Terrain très proche d'Ochey,
créé en 9/18, probablement à l'occasion de la bataille du saillant de Saint
Mihiel, accueillant des unités de l'AM et du AEFAS. Réutilisé au début 11/18,
il abrite des escadrilles des GB 6 et GB 9 jusqu'au début 1919.
EB n° 121
(nov.-déc.) : (GB 6 = 66, 108, 111; 240.
(1) Rattachée à la 1ère DAé/GA Fayolle,
administrée par la VII° A..
EB n° 121
(jan.) : (GB 6 = 66, 108, 111).
(1) Rattachée à la 1ère DAé/GA Fayolle,
administrée par la VII° A..
Parc n° 105 (EB 12) à partir de 11/18. Quand l'EB n° 12 passe à la
VIII° A., que fait le parc: il reste en Lorraine ou part en Allemagne ?.
Parc n° 113 (EC n° 2) de fin/18 à 3/19 à
"Varangéville", même site que celui du parc n° 10 parti en 10/18 ?
Arrivée des GC 3 et GC 20 (EC n° 1/DAé) le 10/11/18.
EC n° 21
(nov.-déc.) : GC 13 = 15, 65, 84, 88; GC 20 = 49, 68, 99, 159, 162.
(1) Rattachée à la 1ère DAé/GA Fayolle,
administrée par la VII° A.
EC n° 21
(jan.-mai) : GC 13 = 15, 65, 84, 88; GC 17 = 49; GC 20 = 49, 68, 99, 159, 162.
(1) Rattachée à la 1ère DAé/GA Fayolle,
administrée par la VII° A.; 20/2 > …/GQG; déb./5/19 > X° A.
Située sur le plateau à l'ouest de Malzéville,
le site ne paraît pas très propice au stationnement d'une escadrille…
X° A.
(nov.-déc.) : 272.
Aérodrome aménagé au printemps 1918 pour les Américains, il est
transféré à l'AM peu avant l'Armistice.
EC n° 1
(nov.-déc.) : GC 15 = 37, 81, 93, 97; GC 19 = 73, 85, 95, 96.
VII° A.
(déc.) : 10, 282.
(1) Rattachée à la 1ère DAé/GA Fayolle,
administrée par la VII° A.
VII° A.
(jan.-fév.) : 10, 282.
Parc n° 115 (EC n° 1) dès 11/1918, jusqu'en 5/1919 (dissolution
de la DAé et passage de l'EC n° 1 à la X° A.).
Parc n° 113 (EC n° 2) en 4-5/1919, en attente de transfert vers
l'Allemagne (VIII° A.).
Après l'utilisation d'un terrain à Bayon
en 1914, un aérodrome apparaît à Laneuveville
en 9/1918. La SPA 264 est cantonnée à "Saint Remimont" puis
"Neuviller".
Parc 113 de l'EC n° 2 au début 1919.
VIII° A.
(nov.-déc.) : GC 12 = 3,
26, 67, 103, 167, 173.
VII° A.
(déc.) : 64, 264.
VII° A.
(jan.-mars) : 19, 64, 2541, 264.
(1) Probablement sans avions.
Le terrain de manœuvre dit "Champs de Mars" à l'est de
la ville est signalé comme terrain d'atterrissage par l'Aéro-guide dès 1914; il
est utilisé pendant toute la guerre de manière permanente (DA Lorraine puis
VIII° A.). Certaines unités cantonnées au "quartiers Dietmann", au SO
du terrain.
VIII° A.
(nov.) : 11, 269, 206.
VII° A.
(nov.-déc.) : 272, 287.
VII° A.
(jan.-fév.) : 1, 258, 272.
X° A.
(jan.-mars) : 1, 255.
GAé n° 1
(fév.-mars) : 258, 272.
Aménagé à la fin 1914, il reçoit de nombreuses escadrilles de
bombardement par la suite, mais il n'est pratiquement plus utilisé en 1918
jusqu'à l'Armistice. Les troupes sont cantonnées à Essey, malgré l'éloignement.
En 1919, une annexe de la RGA est active sur le terrain, voyant passer
plusieurs escadrilles réduites isolées au début de l'été avant leur dissolution
à Bron.
EC n° 11
(nov.-déc.) : GC 18 = 48, 94, 102, 153, 155.
X° A.
(nov.-déc.) : 51, 260.
VII° A.
(déc.) : 17, 53, 255.
(1) Rattachée à la 1ère DAé/GA Fayolle,
administrée par la VII° A.
VII° A.
(jan.) : 53, 255.
EC n° 11
(jan.-juil.) : GC 18 = 31, 48, 94, 102, 153, 155.
RGAé
(avr.-juil.) : 89, 91, 100, 155.
EB n° 11
(déc.) : GB 1 = 25, 110, 114; GB 7 = 118, 121; parc n° 101.
(1) Rattachée à la 1ère DAé/GA Fayolle,
administrée par la VII° A.; 20/2 > …/GQG; déb./5/19 > X° A.
Terrain utilisé à partir du début 1916.
VIII° A.
(nov.-déc.) : 58; GC 12 = 173.
X° A.
(nov.) : 4, 58, 280.
VII° A.
(déc.) : 58, 280.
Terrain de bombardement de la fin 1916 au début 1918 (AM et
RFC). Par la suite, quelques unités basées, plus passage de plusieurs GC dans
les deux derniers mois de la guerre (le GC 11 quitte Ochey le 11/11, sauf la
SPA 172 qui part le lendemain). Des unités sont cantonnées à "Thuilley au
Groseilles".
X° A.
(nov.) : GC 11 = 172.
EB n° 131
(nov.-déc.) : GB 3 = 174.
EB n° 121
(nov.-déc.) : GB 9 = 29, 123, 129; 239, 240.
EC n° 21
(déc.) : GC 17 = 174.
(1) Rattachée à la 1ère DAé/GA Fayolle,
administrée par la VII° A.
EB n° 121
(jan.) : GB 9 = 29,
123, 129.
EC n° 22
(jan.-mai) : 174.
(1) Rattachée à la 1ère DAé/GA Fayolle,
administrée par la VII° A.
(2) Rattachée à la 1ère DAé/GA Fayolle,
administrée par la VII° A.; 20/2 > …/GQG; déb./5/19 > X° A.
Terrain aménagé sur la partie SO du plateau.
VIII° A.
(nov.) : 314.
X° A.
(nov.) : 104, 314; GC 11 = 12, 31, 154, 165, 172.
VII° A.
(déc.) : 20, 331, 60, 104, 2561, 2571,
263, 314; GC 11 = 12, 31, 154, 165, 172.
(1) Les escadrilles de l'aéro 9e CA sont
stationnées ici, en secteur VII° A., tout en restant apparemment aux ordres de
la I° A.
VII° A.
(jan.-fév.) : 331, 2561, 2571, 263.
GAé n° 1
(fév.-mars) : 33, 256, 257, 263.
(1) Les escadrilles de l'aéro 9e CA sont
stationnées ici, en secteur VII° A., tout en restant apparemment aux ordres de
la I° A. jusqu'au 9/1/19.
Le terrain semble créé pour le RFC en 11/17, dont les unités de
bombardements quittent le terrain en 6/1918 pour rejoindre l'Independent Air
Force.
GAE
> GA Castelnau (nov.) : 218, 221.
EC n° 21
(nov.-déc.) : GC 17 = 57, 69, 77, 89, 91, 100.
(1) Rattachée à la 1ère DAé/GA Fayolle,
administrée par la VII° A.
EC n° 21
(jan.-mai): GC 17 = 57, 69, 77, 89, 91, 100.
(1) Rattachée à la 1ère DAé/GA Fayolle,
administrée par la VII° A.; 20/2 > …/GQG; déb./5/19 > X° A.
Aérodrome inauguré en 1909, il accueille un centre militaire à
la fin 1912. Malgré son exiguïté, il sera utilisé pendant presque toute la
guerre.
X° A.
(nov.-déc.): 41, 122, 258.
X° A. (jan.):
258.
EB n° 121
(jan.-mai): GB 6 = 66, 108, 111.
(1) Rattachée à la 1ère DAé/GA Fayolle,
administrée par la VII° A.; 20/2 > …/GQG.
La 1ère armée US est stationnée en Argonne, soutenue
par des unités françaises de la II° A., qui reprend son autonomie dès le
11/11/18 en installation son EM à Nancy, avant qu'il ne parte pour la région de
Belfort prendre le commandement des troupes de la région. Le département de la
Meuse est alors partagé entre les secteurs des I° A. et VII° A., ne voyant pratiquement
que des escadrilles de passage.
Aérodrome utilisé à partir de 1917.
II° A.
(nov.), puis X° A. (nov.) : 56, 281, 208.
Terrain utilisé par les Américains 29/10/18-15/1/19; court
passage de la SPAbi 284 (II° A.) 4-17/11/18.
Terrain AM aménagé à l'ouest de la route de Brabant à Révigny
(une butte de tir aménagée derrière des maisons de la rue du Vieux Roi).
II° A.
(nov.) : 243.
X° A.
(nov.) : 243, 284.
Terrain utilisé en 9-11/18 par le GB 3 (EB n° 13/DAé), puis
court passage des escadrille de reconnaissance de nuit
en 11/18.
I° A.
(nov.) : 293.
X° A.
(nov.) : 292, 244.
Aérodrome aménagé en 1918.
II° A.
(nov.) : 219, 229.
X° A.
(nov.) : 219, 229.
Terrain aménagé pour les Américains en 4/18, utilisé jusqu'en
8/19.
Gpmt Villomé1
(nov.) : GB 2 = 115, 130.
X° A.
(nov.) : 294.
EB n° 13
(nov.-déc.) : GB 2 = 115, 130.
(1) Probablement dissous dans les jours qui suivent
l'Armistice.
EB n° 131
(jan.-2T) : GB 2 = 115, 130.
EB n° 14
(2T-juin) : GB 2 = 115, 130.
(1) Rattachée à la 1ère DAé, <11/5
> VIII° A.
Terrain éphémère utilisé en 11/18.
II° A.
(nov.) puis X° A. (nov.) : 290.
Aérodrome utilisé par les Américains en 10-11/1918.
II° A.
(nov.) puis X° A. (nov.) : 214, 215.
Aérodrome utilisé à partir de 9/18.
II° A.
(nov.) puis X° A. (nov.) : 236.
Court passage de quelques jours de la SPA 73 en 7/18, puis
nouvelle utilisation les 14-25/11/18… proche de Révigny sur Ornain, mais un peu
trop éloigné du terrain de Brabant le Roi pour n'être qu'un cantonnement.
X° A. (nov.):
206, 216, 228.
Aérodrome créé par les Américains en 9/18, sur l'ancien terrain
de manœuvres de cavalerie au NE de la ville (lieu-dit "Breha" ?).
II° A.
(nov.) puis X° A. (nov.) : 28, 47, 277.
Aérodrome créé en 1916, exclusivement affecté à l'armée
américaine à partir de 7/18.
II° A.
(nov.) : 23.
Le centre aéromaritime de Lorient (CAML) est dissout en 12/1920
et son personnel est affecté au CAM Brest.
Le département couvre la Lorraine occupée; après l'Armistice, il
voir d'abord arriver les II° A., VIII° A. et X° A., puis passe en secteur VII°
A., et enfin en secteur IV° A. après la dissolution de la précédente.
Ecole de tir (dépend de la VIII° A. ?). Les escadrilles
détachées passent-elles à cette armée, le temps de leur "stage" ?
VIII° A.
(déc.): 51, 260.
VIII° A.
(jan.-oct.) : 10, 11, 104, 244.
X° A.
(sept.-oct.) : 17.
Parc n° 9 (VII° A., puis 20/9/19 > GA n° 1) de l'Armistice au
printemps 1919, sur l'ancien aérodrome allemand.
Aérodrome allemand à partir de 1915 (un autre terrain est à
Phalsbourg même, peut-être le champ de manœuvres qui sera réutilisé en 1926
comme terrain de secours ?). Utilisé quelques semaines en 1919 sous la
désignation "Mittelbronn".
IV° A.
(mars-mai) : 7.
Terrain de manœuvre créé par l'armée allemande à la fin du XIX°
siècle au SE de Sarrebourg. Un aérodrome apparaît en 1917.
II° A.
(nov.-déc.) : 243.
VIII° A.
(nov.-déc.) : 11, 244, 292.
VII° A.
(déc.) : 4, 280.
VII° A.
(jan.-fév.), GA n° 1
(fév.-mars) : 4, 280.
IV° A.
(mai-juin) : 7.
Aérodrome aménagé avant 1914 (hangar dirigeable). Il est
rapidement réutilisé par l'AM après l'Armistice, avec en particulier une annexe
de la RGA (GA n° 1). Le groupement de bombardement n° 1 qui arrive le 18/11/19,
issu de l'EB n° 12, donnera naissance au 1er régiment de
bombardement le 1/1/20.
II° A.
(nov.), puis X° A. (nov.) : 47, 277.
EB n° 131
(nov.-déc.) : 46.
VII° A.
(déc.) : 28, 47, 277.
I° A. (nov.-déc.) : 293.
X° A.
(nov.-déc.) : 294.
(1) Rattachée à la 1ère DAé/GA Fayolle.
EB n° 131
(jan.) : 46.
X° A.
(jan.-mars) : 294.
GA n° 1
(fév.-mai) : 4, 28, 47, 277.
Group. bomb. n° 12
(nov.-déc.) : GB 5 = 108, 117, 120, 127; GB 9 = 29, 123, 129, 239, 240.
(1) Rattachée à la 1ère DAé/GA Fayolle.
(2) Issu de l'EB n° 12 et formé au début 11/19, il
donnera naissance le 1/1/20 au 1er régiment de bombardement (dét.
des esc. 120 et 129 dès le 28/9/19.
Aérodrome allemand, utilisé quelques jours (18-29/11/18) par
deux escadrilles: BR 7 (VIII° A.) et
SAL 4 (X° A.).
Parc n° 111 (GC 11) arrivant probablement à la fin 11/18, en
cours de fermeture (?) en 3/19, les escadrilles du GC 11 passant au parc n° 9
du GA n° 1 à Boulay.
Aérodrome allemand, baptisé "Niederum", du nom donné à
la commune en 1871-1918.
X° A.
(nov.-déc.) : 1.
GA Castelnau (déc.) : 245.
GA Castelnau (jan.) : 245.
VII° A.
(jan.-fév.) puis GA n° 1
(fév.-avr.): 28, 47, 277.
Aérodrome allemand ? Le reste du GC 11 est stationné à la ferme
des Petites Tappes, au nord de la ville.
VII° A.
(déc.) : 31, 69, 165, 172.
VII° A.
(jan.-fév.), puis GA n° 1
(fév.-avr.) : 31, 69, 165, 172.
Aérodrome et parc d'aviation de Sarreguemines (Saarguemünd en allemand)
créés par les Allemands. Attention, au moins une fois (SPAbi 265) baptisé
"Neunkirchen", qui pourrait être confondu avec la ville allemande 25
km plus au nord.
VII° A.
(déc.) : 941, 265.
X° A.
(déc.) : 69, 104.
(1) Les autres escadrilles du GC 18 restent à
Malzéville.
VII° A.
(jan-fév.) : 941, 265.
X° A.
(jan.-mars) : 104.
(1) Les autres escadrilles du GC 18 restent à
Malzéville.
Terrain situé au nord de Metz, cantonnements au "château de
Ladonchamps" et à "la ferme des Petites Tappes", à Woippy. Le
reste du GC 11 est stationné à Montoy, à l'est
de la ville.
VII° A.
(déc.) : 12, 154.
VII° A.
(jan.-fév.) : 12, 154.
GA n° 1
(fév.-avril) : 12, 154, 57.
Terrain allemand de "Morchingen" ou
"Harprich", baptisé "Mohrange" ou "Harprich" par
l'AM.
VII° A.
(déc.) : 49.
GA Castelnau (déc.) : 245.
VII° A.
(jan.-mars) : 28, 49.
GA Castelnau (jan.-mars) : 245.
Aérodrome allemand (Nieder-Yutz).
VII° A.
(déc.): 20, 60.
VII° A.
(jan.-fév.): 20, 60.
GAé n° 1
(fév.-mars): 20, 245.
1er
régiment de chasse (nov.-déc.): 1er
groupe (GC 15) = 37, 81, 93; 2e groupe
(GC 18) = 48, 94, 31; 3e groupe (GC 19) = 73, 95, 62.
Secteur britannique et VI° A.
Aérodrome RAF aménagé en 1918.
VI° A.
(nov.déc.) : 14; (GC 23 = 82, 158, 161, 170).
VI° A.
(jan.-avr.), puis GA n° 4
(avr.-mai): 14.
Abrite l'escadrille de protection de Dunkerque à partir de 1/18.
Place de Dunkerque
(déc.) : 313.
Place de Dunkerque
(jan.-fév.) : 313.
La SAL 18 (VI° A. > GAé
4) est mentionnée par le SHAA en 4-5/18.
Au moment de l'Armistice, le département est en arrière du front
des I° A. et III° A.; il passe dans le secteur de cette dernière après le
17/11/18, quand elle est chargée de la deuxième ligne derrière les V° A. et I°
A.
Si la III° A. est dissoute en 6/18, ses unités aéronautiques
passent au GAé n° 3 vers le 12-20/2/19, dans tous les cas avant le 19/3/19.
Stationnement de plusieurs squadrons RFC/RAF en 1918 (?), puis
deux escadrilles AM. Aérodrome à confirmer, mais le site paraît trop éloigné de
Tillé ou Fourneuil
pour n'en être qu'un cantonnement…
III° A.
(déc.) : 279.
III° A.
(jan.) : 202.
Une esc. cantonnée à la "ferme de
St Julien".
III° A.
(déc.) : 56, 281, 283.
III° A.
(jan.-fév.): 36, 56, 281.
GA n° 3
(fév.-mars): 36, 56, 226, 281.
Un terrain est créé en 1910 au NE de la ferme de Corbeaulieu,
sur le bord sud du chemin de Margny à la ferme de Septvoies. Si une station
CNAé y est prévue avant la guerre, il faut attendre la fin 1916 pour retrouver
des escadrilles stationnées à Corbeaulieu, apparemment cette fois au SO de la
ferme, donc sans rapport avec le terrain d'avant-guerre, avec des cantonnements
à "Lachelle" et à la "ferme de Septvoies" en 1918. Trois
escadrilles reviennent au début 1919, attachées à la III° A., toutes données à
"Lachelle"…
III° A.
(déc.) : 79, 209.
III° A.
(jan.-fév.) : 79, 209.
GAé n° 3
(fév.-mars) : 79, 202, 209.
Plusieurs escadrilles sont stationnées à Croutoy à partir de
9/18 (un cantonnement de la râperie de Vaubéron est mentionné à "Hautefontaine"
en 1915, au sud du plateau de Croutoy, nom qui réapparaît dans SHAA à propos de
la SAL 27 (source ?), donnée cependant à "Croutoy" par l'OB du
19/3/19…).
III° A.
(jan.-fév.) : 74, 217, 276.
GA n° 3
(fév.-avr.) : 27, 74, 106, 217, 276.
Un terrain est actif en 1917 à coté de la ferme de Bonneuil
(80), au nord de Flavy, abritant les escadrilles de combat du "groupement
provisoire de Bonneuil", attaché à la III° A. (1/17-1/18). Un nouveau
terrain apparaît en 9/1918, principalement utilisé par des escadrilles de la I°
A., cette fois aménagé à proximité de la "ferme du (Vieux)
Saint-Nicolas" [CCC SAL 270], située entre le bois Eppeville et la forêt
de l'Hôpital, à l'endroit où la route traverse le "ru du Vieux St Nicolas",
visible sur la carte d'EM disponible sur Géoportail. Il est possible que ce
soit le terrain allemand de "Fréniches"…
I° A.
(nov.-déc.) : 201.
Voir Noirémont.
Parc n° 6 (III° A.,
12-20/2/19 > GAé 3)
11/18-<6/191.
(1) Confirmé en 3/19.
Secteur I° A. au moment de l'Armistice, les unités stationnés
passent à la III° A. quand la première est transférée au GAC et s'avance vers
la frontière le 16/11/18.
I° A.
(nov.) : 36, 44, 234, 275.
III° A.
(nov.-déc.) : 36, 44, 234, 275.
Un terrain est aménagé en 1918, utilisé à partir du mois d'août,
au sud de "Royallieu" où des unités continuent d'être cantonnées,
tout comme à "Jaux".
EB 141
(nov.-déc.) : GB 8 = 109, 113, 125.
(1) Attachée au GAR, puis le 21/11 au GA Maistre.
EB 141
(jan.-avr.) : GB 8 = 109, 113, 125.
(1) Attachée au GA Maistre jusqu'à la disparition
de celui-ci le 12/2/19; elle passe alors directement sous les ordres du GQG.
Terrain de l'escadrille de protection du GQG à partir de la fin 1917,
son activité croît très rapidement au printemps 1918, en particulier avec de
très nombreuses escadrilles de passage. Secteur III° A. au moment de
l'Armistice, les unités qui lui sont rattachées passent au GA n° 3 le 12-20/2/19.
III° A.
(nov.-déc.) : 45, 202, 203, 220, 234.
III° A.
(jan.-fév.) : 45, 202, 203, 220, 234.
GA n° 3
(fév.-avr.) : 45, 220, 296.
J. Calcine [2A] signale deux Bessonneau en 5/18, mais les
premières unités stationnées sur le terrain sont mentionnées au début juillet
(aéro 10e CA/I° A.); la plate-forme est désertée au début 9/1918. A
l'approche de l'Armistice, on retrouve des escadrilles stationnées à
"Froissy": est-ce bien le même terrain ?
III° A.
(nov.-déc.): 24, 202, 226,
279.
III° A.
(jan.-fév.): 24, 202, 226, 279.
GA n° 3.
(fév.-mars): 24, 279.
Après le départ du GDE au printemps 1918, replié à Chartres-Le Coudray, le terrain (situé entre Eve et
l'aérodrome actuel) voit passer de nombreux groupes de bombardement et de
combat, mais son activité est beaucoup moins importante après septembre.
III° A.
(nov.-déc.) : 35, 36, 70, 253, 289.
III° A.
(jan.-fév.) : 35, 70, 253, 289.
GA n° 3
(fév.) : 289.
Aérodrome créé à la fin 1916 comme annexe du GDE du
Plessis-Belleville, aménagé au NE du village [J. Calcine/2A], entre la ferme de
"La Borde" et le hameau de "Huleux" où des cantonnements
sont signalés. En 1918, la plate-forme devient un dépôt important.
III° A.
(déc.) : 71, 262, 54.
III° A.
(jan.-mars) : GC 16 = 78, 112, 150, 151, 168, 176.
GA n° 3
(mars-avr.1) : 27, 106; (GC 16 = 78, 112, 150, 151, 168, 176).
(1) Le GC 16 part à la fin 3/19 et les escadrilles
du GR 136 arrivent le 4/4/19; ensuite on perd leur trace dans les archives
conservées: peut-être rejoignent-elles Le Bourget, où se trouvent l'EM du GA n°
3 ? Leurs personnels partiront en 1920 pour le Levant.
Plusieurs escadrilles sont mentionnées à "Brasseuse"
et "Rully", est-ce un cantonnement ou un véritable aérodrome ?
III° A.
(déc.) : 44, 275.
III° A.
(jan.-fév.) : 50, 202, 274.
GA n° 3
(fév.-mars) : 50, 202, 209, 274.
Important aérodrome à partir de 1916 (annexe GDE).
EB n° 14
(nov.-déc.): GB 10 = 101, 116, 133.
EB n° 141
(jan.-avr.): GB 10 = 101, 116, 133.
(1) Rattachée au GAC, puis le 21/11 au GA Maistre
(admin. III° A.) et enfin le 20/2 (dissolution du GA) au GQG.
L'aérodrome apparaît en 3/1918, avec de nombreux cantonnements
au cours des mois suivants: "Drucy/ferme de la Citerne" à l'est du
village, "Auger St Vincent", ainsi que "Bazoche" et
"Duvy" à la sortie de Crépy.
III° A.
(jan.-fév.): 54, 71, 203, 234, 262, 281.
GA n° 3
(fév.-avr.): 54, 203, 234, 281.
Parc n° 7 (EB n° 14) confirmé en 3/1919, peut-être ici depuis
6/1918 ? Part pour la Lorraine au début 4/19 (les GB 8 et 2 seront alors en
majorité dans cette région).
Les premiers Breguet construits par Michelin sont livrés sur le
champ de manœuvres des "Gravanches", à l'ouest d'Aulnat, dont
l'aérodrome est réellement aménagé lorsque l'école de bombardement proposée par
les frères Michelin est acceptée en 1916. Il recevra la première piste bétonnée
au monde. L'école est dissoute dans le courant de l'année 1919, tandis que
l'annexe locale du SFA accueille la SPAbi 255 (escadrille réduite, peut-être
sans avions) en mai-juin, avant qu'elle ne soit dissoute à Bron le 9/7/19.
L'école de pilotage est maintenue; plusieurs escadrilles
(réduites isolées) arrivent pour quelques semaines, de la fin mai à la mi
juillet, avant d'être dissoute sur place ou de partir à Bron pour la même
raison.
Dès l'Armistice, les VIII° A. et X° A. avance en Basse-Alsace,
qui passe en secteur IV° A. à partir du 21/11/18. Ses unités seront dispersées
et son EM mis en réserve du GQG le 28/8/19.
Important aérodrome militaire aménagé à partir de 1916, il voit
arriver de nombreuses escadrilles de l'AM après l'Armistice, venant profiter
des installations.
X° A. (nov.-déc.) : 4.
VII° A. (déc.) : 4.
VIII° A.
(nov.-déc.) : 11, 90, 244; (GC 12 = 3, 26,
67, 103, 167, 173).
IV° A. (déc.) : 5, 7, 141; (GC 22 = 12, 23, 38, 87, 90, 92, 152, 169).
IV° A.
(jan.-août) : 5, 7, 90,
141; (GC 22 = 12, 23, 38, 87, 90, 92, 152, 169).
Aérodrome de Strasbourg, sur le polygone du même nom. Les
premières unités arrivent le 24/11/18, attachées à la IV° A. (il est possible
que certaines escadrilles soient venues dès les jours qui suivent
l'Armistice…), l'AM s'installe définitivement au début 1920 avec la création du
2e RAC.
Installation du parc n° 4 de la IV° A.
IV° A.
(nov.-déc.): 52, 156, 207, 291.
IV° A.
(jan.-déc.): 1, 7, 10, 13, 20, 52, 156, 207, 218, 243, 291.
EC n° 2
(1/9-12/19) : (GC 12 = 3, 26,
103), (GC 13 =15, 65, 84), (GC 17 = 57, 77, 174).
Aérodrome allemand , très probablement,
bien que aucune unité n'y soit connue avant l'Armistice.
IV° A. (déc.) : 32.
IV° A.
(jan-.avr.) : 32, 52, 59, 261.
Aérodrome de "Schlettstadt", abritant une école de
chasse pendant la guerre.
IV° A. (déc.) : 32.
IV° A.
(déc.) : 32.
Le 16/11/18, l'EM de la II° A. s'installe à Belfort, puis le
21/11 à Mulhouse, en charge des troupes stationnées en Haute Alsace. Leur
commandement passe à la IV° A. lors de la dissolution de la première le 5/2/19.
Les unités de la IV° A. seront dispersées et son EM mis en réserve du GQG le
28/8/19.
Aérodrome aménagé par les Allemands, tout près du site de l'actuel aéroport de Bâle-Mulhouse.
II° A. (déc.)
= 266.
Aérodrome aménagé par les Allemands sous le nom
"Fronholz", au sud de la forêt de Colmar, près de Sundhoffen. Le
terrain de manœuvres restera mentionné par la documentation officiel
aéronautique jusqu'en 1926 comme pouvant être utilisé.
IV° A. (nov.-déc.) : 52, 59, 261.
IV° A.
(jan.-fév.) : 39, 59.
Important aérodrome aménagé avant 1914 (usines Aviatik).
II° A.
(nov.-déc.) : 23, 43, 243, 290.
II° A.
(jan.-fév.) : 23, 43, 243, 290.
IV° A.
(fév.-juil.) : 6, 12, 42, 43, 44, 243, 275, 290.
EB n° 14
(avr.-août) : (GB 8 = 101, 125), (GB 2 = 115).
Terrain allemand important, au nord de la ville, entre la D 468
et l'ancien canal du Rhône au Rhin.
II° A.
(nov.-déc.) : 9, 255.
IV° A.
(déc.) : 39, 273.
IV° A.
(jan.-mai) : 6, 39, 42, 59, 243, 273.
Aérodrome aménagé par les Allemands au sud de la forêt
d'Oberhergheim, sur la route de Niederentzen.
II° A. (nov.-déc.) : 6, 53, 268.
II° A.
(jan.) : 6, 268.
Aérodrome aménagé par les Allemands.
II° A.
(nov.-déc.) : 286.
II° A.
(jan.) : 286.
IV° A.
(fév.-mars) : 6, 42.
Centre d'aviation militaire créé avant 1914, l'aérodrome abrite
l'EM du 2e groupe d'aviation et une école de mécaniciens, en même
temps qu'un dépôts pour les écoles de pilotage. Plusieurs escadrilles sont
stationnées à partir de 4/1919, puis le terrain sert à la dissolution d'une
grand nombre d'unités (affectées au parc du 2e GA, leurs personnels
passent ensuite – provisoirement – à la 1ère compagnie d'ouvriers
aéronautiques (2e GA). L'EM du groupement d'aviation n° 5 s'installe
à Bron, qui rassemble à partir du 28/8/19 les escadrilles affectées jusqu'à
cette date à la IV° A. en Alsace; elles donnent naissance au 5e RO
le 1/1/1920.
2e
GA (avr.-août) : 20, 28, 32, 52, 1111, 245, 290.
GA n° 5 (août-déc.) : 20, 28, 32, 52, 1111, 207, 218, 243, 245, 290; parc n° 4.
(1) 1ère COA – sans avions ?
Aérodrome aménagé entre Meyzieu et Jonage pour abriter la SPA 442 de protection de Lyon, dissoute au début 1919.
Secteur VII° A. au moment de l'Armistice; l'EM de la II° A.
s'installe à Belfort le 16/11/18 pour prendre le commandement des troupes de la
région. Les secteur passe à la IV° A. après la
dissolution de la II° A. le 5/2/19.
VII° A.
(nov.) : 42.
II° A.
(nov.-déc.) : 42.
II° A.
(jan.) : 42.
Terrain dénommé "Lure-La Verrerie",
"Roye-Lure" ou "Roye", aménagé sur le terrain de manœuvres
de Lure; brièvement réutilisé à la fin 1918.
VII° A.
(nov.) : 17.
II° A.
(nov.-déc.) : 17, 49, 245.
Aérodrome créé en 1916. Une annexe n° 5 de la RGA y est active,
qui accueille quelques escadrilles "réduites" pendant l'été 1919,
dont certaines (119 et 113) sont en subsistance auprès du GB 2).
VII° A.
(nov.) : 241.
II° A.
(nov.-déc.) : 241, 266.
EB n° 14
(août-déc.) : (GB 2 = 113, 115, 130), (GB 8 = 101, 109, 125).
Dépôt de matériel, il reste ouvert comme aérodrome de secours
après 1920.
La SP 441, escadrille de protection du Creusot et stationnée à Antully, est dissoute au début 1919; il est très
probable que les terrains annexes1 ne connaissent guère d'activité
après le 11/11/18…
(1) Marmagne, Saint Bérain, Nolay, Saint Privé,
Demigny, Chalon sur Saône/Ste Marie ou Menuse, Verdun sur le Doubs,
Tournus/Cuisery.
Les divers CAM/PC du Havre, Fécamp, Dieppe et Le Tréport sont rapidement désarmés. L'esc. côtière 485 reste stationnée sont le terrain de l'Hermitage
(Eu) jusqu'au deuxième trimestre 1919.
Loin du front au moment de l'Armistice, le département est en
secteur III° A. après la réorganisation des armées à la fin 11/1918, ses unités
aéronautiques passant au GA n° 3 en 2/1919.
Aérodrome aménagé en 1917 sur le plateau au SE de Jouarre.
II° A.
(nov.) : 229.
GQG (nov-déc.)
: 509.
GQG (jan.-mars) : 509.
Aérodrome américain en 1918.
III° A. (fév.-mars) : 210, 228.
GA n° 3
(mars-mai): 210, 228.
Les aérodromes de Villacoublay, Toussus et Saint Cyr conservent
une activité importante; par contre les plates-formes de Châteaufort et Bois d'Arcy
sont définitivement fermées dans le courant 1919.
Le département est en secteur britannique au moment de
l'Armistice, puis en secteur III° A.
Aérodrome créé en 1917, utilisé par les Allemands au printemps 1918 et bombardé par le l'EB n° 12. Des avions du GC 14 (VI° A. SPA 75 et SPA 83 stationnées à Clastres) y sont détachées quelques jours à la fin 11/18 auprès de la III° A.
L'escadrille côtière 482 des Sables
d'Olonnes est dissoute en 12/18.
Secteur VII° A. à la fin de la guerre, l'EM de celle-ci est
relevé le 16/11 par celui de la II° A. jusqu'à la dissolution de cette armée;
les unités stationnées dans la région passe ensuite à la IV° A.
Aérodrome utilisé avant l'Armistice par les Britanniques et les
Américains.
X° A.
(nov.) : 30, 63.
DAé (jan.-mars)
: EB n° 13 = 246.
Un aérodrome est projeté au printemps 1918, mais sans suite. La
V 292 (reco nuit/VIII° A.) stationne quelques jours à la fin novembre à
"Sandaucourt" avant de rejoindre Buhl:
ce n'est peut-être pas le même site, ce dernier village étant au nord
d'Auzainvillers, donc sans lien avec l'aérodrome actuel, si celui-ci a repris
le site prévu en 1918…
Aucune utilisation connue avant 11/18; le CCC 4T/18 de la SAL 52
précise bien "terrain de Bettoncourt"…
VII° A.
(nov.) : 52.
II° A.
(nov.) : 216.
Terrain déjà reconnu et aménagé avant la guerre, entre le
village et la gare de Vanémont au nord, il est utilisé en permanence de 4/15 à
12/18.
VII° A.
(nov.) : 261.
II° A.
(nov.-déc.) : 261.
Un des premiers et plus importants centres d'aéronautique
militaire d'avant 1914, il est encore utilisé quelques semaines après
l'Armistice, puis désaffecté après 1920.
VII° A.
(nov.) : 32, 52, 59.
IV° A.
(déc.) : GC 22 = 38, 87, 92, 152, 169.
Passage du GB 5 en 9/18, puis le GB 3 s'installe la veille de
l'Armistice, restant sur place jusqu'en 3/19.
DAé (nov.-déc.)
: EB n° 13 (GB 3 = 107, 126, 128, 46).
DAé (jan.-mars)
: EB n° 13 (GB 3 = 107, 126, 128, 46).
Malgré les travaux réalisés juste avant la guerre, le terrain
est peu utilisé car trop loin du front, et il ne sert par la suite que de
centre de repos et d'entrepôt de matériel. Les britanniques installent un
aérodrome sur le site en 1918, lui donnant le nom de "Juvaincourt",
le village au nord de la plate-forme.
DAé (nov.-déc.)
: EB n° 14 (GB 4 = 131, 132, 134).
DAé (jan.-fév.)
: EB n° 14 (GB 4 = 131, 132, 134).
Au début de la guerre, le terrain de Neufchâteau,
comme ceux de Mirecourt et Vittel, est trop éloigné du front pour être vraiment
utilisé. Par la suite, il sert surtout de centre de repos ou d'entrepôt de matériel.
DAé (nov.-déc.)
: EB n° 13 (GB 4 = 131, 132, 134), 246; EB n° 12 (GB 5 = 117, 120, 127).
DAé (jan.-mars)
: EB n° 13 (GB 4 = 131, 132, 134), 246; EB n° 12 (GB 5 = 117, 120, 127).
En 8-9/1914, plusieurs escadrilles passent quelques jours à
proximité de Rambervillers où un terrain avait été reconnu dès 1913, mais trop
près du front, elles retournent à Dogneville. A
la fin de l'été 1918, un terrain est aménagé à Roville
pour l'Independent Air Force de la RAF, aérodrome considéré comme celui de Rambervillers. Abandonné par la RAF dans les jours
qui suivent l'Armistice, il est utilisé par l'AM jusqu'en 4/19.
VIII° A. (nov.) : 292.
VII° A.
(déc.) : EB n° 11 (GB 2 = 115).
VII° A.
(jan.-fév.) : 13, 44, 270, 275.
IV° A.
(fév.avr.) : 13, 44, 270, 275.
Parc n° 10 (VIII° A.) jusqu'à la fin/11/18 et Parc n° 103 (EB
13) jusqu'au début 1919 (les deux partent en Allemagne).
En secteur VII° A. depuis le début 1915 (DA des Vosges créé le
8/12/14), son EM est relevé par celui de la II° A. à partir du 16/11/18. Cette
dernière est dissoute le 5/2/19, ses unités passant à la IV° A. qui couvre
alors toute l'Alsace.
Aérodrome utilisé à partir de 8/17, baptisé "Phaffans"
ou "Bessoncourt".
VII° A.
(nov.) : 9, 255.
II° A.
(nov.) : 9, 255.
Le site est retenu lors d'une reconnaissance des terrains
utilisables dans la région Maîche-Pierrefontaine organisée par la VII° A. à la
fin 1916-début 1917; utilisé à partir de 9/18.
VII° A.
(nov.-déc.) : 42.
II° A.
(12/18-1/19) : 42.
Créé en 1917 pour remplacer le terrain du centre militaire
installé au pied de la citadelle, trop à l'étroit. Aérodrome toujours actif.
VII° A.
(nov.) : 43, 49, 53, 242, 245, 315.
II° A.
(nov.-déc.) : 43, 49, 53, 218, 221, 242, 245, 315.
II° A.
(jan.-fév.) : 21, 218, 221, 286.
IV° A.
(fév.) : 21, 221, 218.
Aérodrome proche de Montbéliard, utilisé à partir de 3/18.
VII° A.
(nov.) : 286.
II° A.
(nov.) : 286.
Les écoles sont rapidement dissoutes. En 1919, la RGA stocke de
nombreux appareils sur le terrain qui accueille aussi un service annexe de la
direction générale du ravitaillement (stockage d'avions livrés par les
constructeurs). Le centre de gravité des installations se déplace vers Mondésir, mais la plate-forme de Villesauvage recevra encore les concurrents de la
coupe Gordon-Bennett en 9/1920, et ceux de la course Deutsch de la Meurthe en
1922.
Fermeture de l'école belge; le terrain est rapidement loti au
début des années 1920s.
Les installations se partagent entre le Bourget au sud et Dugny
au NO, abritant la RGA et plusieurs unités dont celles du GEPCRP. L'EM du GA n°
2 arrive en 2/19, suivi par celui du GA n° 4 en 4/19 et enfin celui du GA n° 3
avant 6/19 (parc n° 6 ?).
GEPCRP
(nov.-déc.) : 57, 124, 461, 462, 463, 472.
GEPCRP
(jan.-juin) : 462, 463, 472.
DAé1
(jan.-mai) EB n° 12 (GB 5 = 117, 120, 127), (GB 9 = 29, 123, 129), 239, 240.
III° A.
(fév.) : 219, 227.
GA n° 3
(fév.-déc.) : 27, 106, 203, 211, 219, 227, 228, 234.
GQG/MG
(mars-juil.) : 56, 226, 229.
EB n° 142
mars-août) : 109.
GA n° 4
(avr.-déc.) : 14, 18, 211, 227, parc n° 2.
GA n° 2
(avr.-juin) : 211.
(1) GA Fayolle et admin. VII° A., puis "à la
disposition du Ministre".
(2) GQG/ligne Paris-Mulhouse > Luxeuil.
Les installations américaines sont libérées progressivement.
GA n° 4
(avr.-juil.) : 227.
A partir du 12/9/18, l'EM et les services de la VI° A. sont mis
à la disposition de l'armée belge, puis la VI° A. est reconstituée au sein du
GA Flandres le 15/10 sous le nom d'armée française de Belgique (ou AF de
Flandres), insérée entre les Belges et les Britanniques, en direction de Gand.
Le GA Flandres est dissout le 18/11/18 et la VI° A. reprend sa désignation,
rattachée au GQG. Elle "cesse de fonctionner" le 12/4 [JMO VI° A.],
et son aéronautique passe au groupement aéronautique n° 4, encore décrit le
10/6/19 comme "rassemblant l'aéronautique de la VI° A.".
Dans les Ardennes, la V° A. occupe le secteur occidental jusqu'à
sa dissolution le 5/2/19, date à laquelle ses unités sont reprises par la III°
A.
Aérodrome au nord de Roeselare [Roulers], entre Diksmuide et
Kortrijk.
VI° A.
(nov.-déc.) : 62, 238, 225.
Aérodrome de Schaffen, à la sortie NE de la ville, toujours
actif. 50 km à l'est de Bruxelles.
VI° A.
(déc.) : 34, 62, 72, 238, 225, 259.
VI° A.
(jan.-avr.) : 34, 62, 72, 238, 225, 259.
Dépôt et aérodrome allemand avant le 11/11/18, de nombreux
avions allemands y sont stockés ensuite. Le parc n° 1 de la V° A. s'y installe
de la fin 11/18 au 1/2/19.
GAé n° 3
(fév.) : 761, 2221, 2961.
(1) Le groupement Genain est créé le 1/2 à Habay
(B) lors de la dissolution de la V° A., il est "à la disposition du MG,
sous couvert de la III° A."
Parc n° 2 (VI° A.) de la fin 11/18 à 4/19.
A l'E de Roeselare [Roulers], entre Diksmuide et Kortrijk. Aussi
connu comme "Izeghem".
VI° A.
(nov.-déc.) : 34, 72, 259.
Aérodrome proche de Tielt.
VI° A.
(nov.-déc.) : 24.
Situé à la sortie SE de Roeselare [Roulers].
VI° A.
(nov.-déc.) : GC 23 = 82, 158, 160, 161, 170.
VI° A.
(jan.-mars) : GC 23 = 82, 158, 160, 161, 170.
Terrain à l'est de la ville (zone industrielle), entre Roeselare
et Gent.
VI° A.
(nov.-déc.) : 18, 278.
VI° A.
(jan.-avr.): 18, 278.
GA n° 4
(4/19): 18.
Aménagé près de Neufchâteau, la SPA 76 est mentionnée sur "l' aérodrome de Perchepot".
V° A. (nov.-déc.) : 76, 222, 296.
V° A. (jan.) : 76, 222, 296.
III° A.
(fév.) et GAé n° 3 (fév.) : 761, 2221, 2961.
(1) Le groupement Genain est créé le 1/2 à Habay
(B) lors de la dissolution de la V° A., il est "à la disposition du MG,
sous couvert de la III° A."
Aérodrome près de Tielt.
VI° A.
(nov.-déc.) : 61.
Après l'Armistice, Les deux armées rassemblées en Lorraine en
prévision d'une offensive vers Saarbrücken s'avancent en Allemagne en
établissant deux têtes de pont sur le Rhin, la VIII° A. autour de Landau, la X°
A. autour de Koblenz. Le groupe d'armées Fayolle est dissout le 12/10/19 et une
armée française du Rhin est formée avec des éléments des deux armées. Les unités
de l'AM s'installent sur des terrains existants, mais doivent souvent être
cantonnées à l'entour chez l'habitant.
Aérodrome situé à l'emplacement de la zone industrielle de
Krefeld, au nord du village de Bockum (voir vue aérienne sur le site
krefeld.de). Deviendra un terrain important dans les années 1920s. Utilisé par
des unités belges d'occupation.
IV° A.
(mai-août) 1.
Aérodrome situé à la sortie ouest de la ville en bordure de
forêt, au SO de Speyer (Spire), aujourd'hui dépôt militaire. Secteur VIII° A.,
mais quelques escadrilles des X° et IV° A. de passage; utilisé de fin/18 à
10/19.
VIII° A.
(déc.) : 10, 11, 269.
VIII° A.1
(jan.-avr.) : 10, 11, 269, puis (avr.-oct.) : EC
n° 2 (GC 12 = 3, 26, 67, 103, parc n° 112), (GC 13 = 15, 65, 84, 88, parc 113), (GC 17 = 49, 57, 69, 77, 174).
(1) Les VIII° et X° A. sont fusionnées le 12/10/19
au sein de l'armée française du Rhin.
DAé (mars-avr.) : EB
n° 13 (GB 4 = 131, 132, 134, parc n° 103).
X° A.
(mars-avr.) : 1, 33.
IV° A.
(avr.) : 1.
Fin 6/19, une crise diplomatique éclate avec la réticence de
l'Allemagne à signer le traité de Paris: l'EC n° 2 est détachée à Griesheim jusqu'au 2/7, tandis que d'autres unités
s'installent sur le terrain pour la même période:
VIII° A. (juin-juil.): 7, 10, (GB 91 = 29, 123, 129, 239).
(1) Dét. EB n° 12.
Gonsenheim est créé pour
défendre Mainz contre les attaques britanniques en 1917-18. Il est utilisé par
l'AM dès 12/18 [le CCC 3T/19 de la SAL 19 précise que les troupes sont
cantonnées dans une caserne de cavalerie], mais le terrain semble devoir être
partiellement abandonné assez rapidement, compte tenu d'un environnement déjà
urbanisé: le document "OB et stationnements prévus pour l'armée
d'occupation" du 22/10/19 parle déjà d'un terrain à Ober-Ingelheim, 8 km
plus à l'ouest (aujourd'hui Ingelheim-Süd), finalement baptisé
"Wackernheim", mais la station météo est toujours mentionnée à
Gonsenheim. D'après Palm./am/173, l'EM du 33e RAO s'y maintient
jusqu'en 1924, avant de rejoindre Wackernheim; a noter qu'une photo aérienne française datée du début des
années 1920s montre un hangar en béton en cours de construction.
X° A.
(déc.) : 17, 224.
X° A.1
(jan.-déc.) : 11, 17, 19, 33, 53, 69, 104, 224, 255, 244, 294.
(1) Les VIII° et X° A. sont fusionnées le 12/10/19
au sein de l'armée française du Rhin.
Terrain à l'ouest de Darmstadt (Hesse), utilisé pendant la crise
diplomatique engendrée par les réticences allemandes à signer le traité de
Paris.
EC n° 2
(juin-juil.) : (GC 12 = 3, 26,
67, 103), (GC 13 = 15, 65, 84, 88), (GC 17 = 49, 57, 69, 174).
Aérodrome situé à l'est de Neustadt an der Weinstrasse
(Rheinland-Pfalz), à l'ouest de Speyer. Secteur VIII° A.
VIII° A.
(déc.) : 11, 51, 90, 244, 260, 292, parc n° 10; (GC 12 = 15, 26, 67, 103, 167, 173, parc n° 112).
VIII° A.
(jan.-août) : 11, 51, 90, 244, 260, 292; (GC 12 = 15, 26, 67, 103, 167, 173, parc n° 112).
EB n° 131
(mars-nov.), puis gpt bombt n° 31
(nov.-déc.) : (GB 2 = 46, 246); (GB 3 = 46, 107, 126, 128, 2462);
(GB 4 = 131, 132, 134, 2462).
(1) Attachée à la DAé/GQG, puis au début 5/1919 à la VIII° A. qui est fusionnée le 12/10 au sein de l'AFR; au début 11/1919, elle devient "groupement de bombardement n° 3", préfiguration du 3e régiment de bombardement créé le 1/1/1920.
(2) A partir du 2T/19, GB
3 ou GB 4.
EB n° 122
(avr.-nov.) : GB 9 = 239, 240.
(2) Attachée à la DAé/GQG, puis au début 5/1919 à
la VIII° A. qui est fusionnée le 12/10 au sein de l'AFR; au début 11/1919, elle
devient "groupement de bombardement n° 1", préfiguration du 1er
régiment de bombardement créé le 1/1/20.
Terrain à la sortie sud de la ville, au SO de Speyer.
VIII° A.
(mars-juin) : 10, 104.
EB n° 121
(mai-nov.) : (GB 5 = 117, 120, 127, 111); (GB 9 = 29, 123, 129, 108, 240).
(1) Attachée à la DAé/GQG, puis au début 5/1919 à la
VIII° A. qui est fusionnée le 12/10 au sein de l'AFR; au début 11/1919, elle
devient "groupement de bombardement n° 1", préfiguration du 1er
régiment de bombardement créé le 1/1/1920.
Parc n° 3 (X° A.) à partir de la fin 12/1918. Lequel des parcs n°
3 ou n° 9 devient le parc de l'armée française du Rhin créée en 10/19 ?
Situé à 30 km au sud de Mainz (SO de Alzey), avec de nombreux
cantonnements aux alentours: "Orbis", "Ilbesheim",
"Mauchenheim", "Freimerheim", "Wahlheim". Unités
X° A. puis VIII° A. avec une période commune.
EC n° 11
(mai-juil.) : (GC 18 = 31, 48, 94, 102); (GC 19 = 62, 73, 95, 96).
EB n° 112
(juin-déc.): (GB 1 = 25, 110, 114); (GB 7 = 118, 121); Parc 1013.
(1) Attachée à la DAé/GQG, puis au début 5/1919 à la X° A.
(2) VIII° A., puis AFR le 1/10.
(3) A Ilbesheim
Terrain au NE de Bad Kreuznach.
EC n° 11
(mai-août) : GC 15 = 37, 81, 93, 97.
(1) Attachée à la DAé/GQG, puis au début 5/19 à la
X° A.
Aérodrome près du centre-ville, à "Sankt Arnuald".
X° A.
(déc.): 41, 122, 224.
VIII° A.
(jan.-mars): 41, 122.
Les escadrilles qui s'installe près de
Mainz sont initialement à Gonsenheim, mais les difficultés d'approche de ce
terrain conduiront l'AM à utiliser progressivement Wackernheim, où s'installera
l'EM du 33e RAM en 1924.
Aérodrome aménagé pendant la guerre à 2 km à l'ouest du terrain
Francfort, cantonnements à "Marxheim" et "Hofheim am
Taunus".
EC n° 11 (août-sept.), puis 1er régiment de chasse1 (oct.-déc.) : (GC 15 = 37, 81, 93, 97); (GC 18 = 48, 94, 102, 31); (GC 19 = 62, 73, 95, 96).
(1) Avec la X° A., puis AFR le 1/10/19.
(version 20250712)