Tête
de Sioux peinte sur fuselage du Nieuport XI de Harold Burkley Willis -
Unité aéronautique N 124 - 1er mars/18 août 1917.
Conservé au musée de la SLHADA (Société Lyonnaise
d'Histoire de l'Aviation et de Documentation Aéronautique)
- [et avec son autorisation].
C'est cette "Tête de Sioux" qui, depuis lors, a
servi de modêle à l'insigne officiel de l'escadrille N 124
"Sioux" homologué A-1105 en 1978.
Nieuport
Delage ND 29 C1 n°12536 - 7ème escadrille (N 124) du 35ème
RAM - Lyon Bron - date?.
Nieuport Delage
ND 29 C1 vu sous un autre angle - 7ème escadrille (N 124) du 35ème
RAM - Lyon Bron - date?.
Gourdou
Leseurre 32 n° 225 - 7ème escadrille (N 124) du 35ème
RAM - Lyon Bron - date?.
Dewoitine
501 n°153 - 3ème escadrille (N 124) du GC II/5 - Zurich (Suisse)
- juillet 1937.
Inscription au dos de la photo
(de la main de Jean Accart)
:
"Zurich Juil. 37 démonstration D 501
II/5 : Ltt Portalis - Slt Guieu - Adj Burdet - Adj Maranda - Sgc Lefol
- Sgc Derlannoy.
I/5 : Sgc Bouvard - Sgc Genty - J. M. Accart"
Zoom partie gauche,
zoom partie droite
Manifestement, ce sont les pilotes du GC I/5 qui sont marqués par
une croix.
Dewoitine
501 n°237 - 3ème escadrille (N 124) du GC II/5 - lieu (?) -
date (?).
Notez la "Tête de Sioux", très différente
de celle de la photo ci-dessus.
Autres photos associées
Dewoitine
500 - GC II/5 (N 124, SPA 127) - Reims - 1938.
Livrées pour le moins étonnantes - Si les "Têtes
de Sioux" de la N 124 sont difficiles à distinguer en premières
lignes, les Cigognes de la SPA 167 de la dernière ligne sont parfaitement
visibles.
On
retrouve la même livrée pour ce Potez 630 du GC II/5 - Reims
- 1938.
Photo
de groupe du GC II/5 devant le Curtiss H75 n°293 à Casablanca en 1941.
Zoom partie gauche,
zoom partie droite.
De gauche à droite : Lt Monperq (officier transmission), Lt Trémolet,
Lt Hebrard, Lt Villacèque ("Boa"), Lt Pain (Officier mécanicien),
Cne Monraisse (commandant la 1ère escadrille N 124), Cdt Archaimbault
(commandant le GC II/5), Lt Huvet (commandant la 2ème escadrille
SPA 167), Cne Reyné, Ruchoux, Lt Doudier, Duranthon, Le Stum, Rubin.
Photo
des personnels de la 1ère escadrille N 124 du GC II/5 devant un
Curtiss H75 à Casablanca en 1941.
Zoom partie gauche,
zoom partie centrale
zoom partie droite.
De gauche à droite (à partir de la pale d'hélice)
: Cdt Archaimbault (commandant le GC II/5),
Cne Monraisse (commandant la 1ère escadrille N 124), Ltt Villacèque
...
Signatures des
pilotes Sioux (N 124) 3ème escadrille et Canards (SPA 167) 4ème
escadrille du GC II/5 - Casablanca - juin 1941.
Selon les traditions : "Les Canards",
c'est ainsi qu'ont toujours été appellés ceux
de la SPA 167 Cigognes (Cigognes Ailes hautes dite
Cigogne de Romanet)
De haut en bas (pour les Sioux) : Cne Hubert Monraisse (commandant
l'escadrille), Cne Gérard Portalis, Ltt Yves Fabre-Garrus, Ltt
Pierre Villacèque, signature non identifiée, Slt René
Trémolet, Slt Marcel Hébrard, Adc Raymond Delannoy, Adc
Jean Dugoujon, Sgc Edouard Salès, Sgt Pierre Audrain, Sgc André
Legrand.
De haut en bas (pour les Canards) : Ltt Robert Huvet, Slt Paul Boudier,
Slt Guy Le Stum (?), signature non identifiée, Adc Georges Gras,
Adj Paul de Montgolfier, Adj François Lachaux, Sgc Jean Gisclon,
Sgc Roger Quéguiner, Sgt Lucien Hême, Sgt André Bouhy.
P
40 L Warhawk du GC II/5 La Fayette (juste après son ré-équipement
par les Américains) à Casablanca en décembre 1942.
Republic
P-47 Thunderbolt - GC 2/4 La Fayette (N 124, SPA 167) - Friedrichshafen
- 1949.
Photo souvenir d'un lieutenant à identifier devant le P-47 Thunderbolt
baptisé "Cne Wicker" et portant la Tête de Sioux
de la N 124 (zoom)
Le Ltt Wicker fut abattu par la DCA Viet en Indochine le 17 février
1948 (voir page 26 de la plaquette "La Grande Chasse des Sioux -
page 28 du pdf ).
Diplome
de membre de la tribu des Algonquins - EC 2/4 La Fayette (N 124, SPA 167)
- Friedrichshafen - 3 mars 1951.
(Source)
Maître de cérémonie : Grand Sorcier Aigle Noir, Anciens
des "Requins" et des "Masques" (à
élucider)
Nouveau membre de la tribu : Lieutenant Jean Barreaud - Nom de guerre
choisi pour lui : Scelash- Han's (traduction : "Le petit caneton
frisé"
Lieu et date de l'intronisation : au "Wigwam de Freid ' La Froide",
le 3 mars 1951. (plus d'informations ci-dessous)
(Source
: plaquette "La Grande Chasse des Sioux" - EC 2/4 La Fayette
- 1982)
Grand Sorcier, Papooses, Canards et Clapotis
Les traditions du souvenir
Les circonstances et le tempérament des hommes qui firent
l'escadrille La Fayette en font une unité sans rivale dans les annales
de l'aviation. Il était inéluctable que le phénomène eut un retentissement
formidable et une publicité gigantesque des deux côtés de l'Atlantique.
Pour commémorer l'héroïsme des pilotes de la grande guerre, un comité
du « Mémorial de l'Escadrille La Fayette » s'organisa à Paris en
1923.
Une souscription fut ouverte en Amérique et en France et permit
l'érection d'un arc de triomphe inauguré le 4 juillet 1928. Le monument
et mausolée est implanté depuis lors au vieux parc de Villeneuve
l'Etang dans le Bois de Saint-Cloud près de Versailles. Une cérémonie
commémorative s'y déroule chaque année le 30 mai (voir
vidéo).
Miss Ann Morgan légua le château de Blérancourt
(Aisne) afin qu'il devienne un musée de la coopération franco-américaine
; des salles y sont dédiées à l'escadrille La Fayette. De nombreux
souvenirs de l'escadrille, dont la fameuse bouteille de bourbon
de 1916, y sont exposés.
L'épopée de l'Escadrille La Fayette révéla de nombreux usurpateurs
durant et après la première guerre mondiale. Afin d'enrayer cette
épidémie, les pilotes américains qui en firent réellement partie fondèrent
le « La Fayette Corporation ». Cette association mit tout en oeuvre pour assurer la vérité historique concernant la N 124
ainsi que le maintien de liens d'amitié entre les pilotes, la France
et les USA. Certains de ses membres tentèrent de recréer une escadrille
de volontaires américains en 1939 ; elle devait prendre le nom de
Groupe Raoul Lufbery. Leur tentative avorta avec l'armistice de juin 1940.
Les pilotes américains formés dans les écoles françaises en 1916
et 1917 étaient en surnombre par rapport aux besoins de l'Escadrille
La Fayette ; ils furent versés dans des escadrilles françaises et
se regroupèrent sous l'égide du « La Fayette Corps » distinct de
l'Escadrille La Fayette. Le dernier pilote de l'escadrille originelle,
Charles H. (Cari) Dolan H décéda au début de 1982.
Les
traditions vivantes
Parmi toutes les traditions que le La Fayette entretient
avec bonheur, celle des baptêmes constitue l'une des facettes les
plus originales de cette unité.
Cette tradition trouve ses origines dans l'entre-deux-guerres et
se perpétue depuis, sans variation notable, dans les deux escadrilles.
Un conseil de sages, constitué des pilotes et mécaniciens les plus
anciens et les plus respectés, se réunit périodiquement en secret,
sous la présidence du commandant de l'escadrille concernée. Après
délibération et vote, ce conseil désigne les élus parmi les « bâtards
» de l'escadron qui peuvent aspirer au baptême selon certaines conditions
et après un certain temps de présence au La Fayette. En effet, tout
nouvel affecté au 2/4 qu'il soit pilote ou mécanicien, se voit décerner
le qualificatif de bâtard. Il a droit au port de l'insigne d'escadron
mais en aucun cas, ne peut arborer un insigne d'escadrille sur sa
tenue. Gare au bâtard qui manque de respect à la N 124 ou à la SPA
167 ! Son baptême n'en sera que plus soigné ou il ne sera même jamais
baptisé ! Il y a eu des précédents : quelques membres de l'escadron,
même parmi les plus éminents, ont quitté l'unité sans avoir été
baptisés, faute d'en avoir été jugés dignes. La loi et les rites
sont identiques pour tous, sans distinction de grade.
Cette rigueur implacable dans l'application des traditions est incontestablement
un élément de cohésion ; l'esprit de corps est particulièrement
affirmé au La Fayette. Tous y laissent une partie d'eux-mêmes en
quittant cette merveilleuse unité (comme
en témoigne le colonel Jean-Pierre Gillet dans cette vidéo).
L'intronisation « Sioux »
La remise des insignes d'escadrilles, dans la majorité des escadrons
de l'Armée de l'Air, donne lieu à un cérémonial particulier. L'intronisation
« Sioux », dans le cercle très fermé des membres de l'Escadrille
La Fayette est indéniablement un rite unique en son genre et jalousement
entretenu.
La cérémonie se déroule une à deux fois par an. Elle est préparée
dans le plus grand secret afin que la surprise soit totale chez
les futurs baptisés, c'est-à-dire les « papooses
». Ils sont saisis tôt dans la journée car la préparation psychologique
est longue ; la coutume veut que tous les Sioux de l'Escadron y
participent. Le point culminant de la journée est celui où les papooses
sont introduits dans le teepee du Grand Sorcier Aigle Noir, de la tribu des Algonquins.
Ce dernier est le membre de l'escadrille le plus ancien, pilote
ou mécanicien, et lui seul jouit du privilège de s'asseoir dans
le fauteuil du chef sioux.
Les yeux bandés, les papooses reçoivent
leurs peintures de guerre, les bandes « anti-esprit » et prouvent
leur grand courage en surmontant fièrement les actes d'allégeance
rituels. Ils reçoivent alors leur nom de guerre choisi collégialement
lors du conseil préalable et attribués par le commandant de l'escadrille
N 124, maître de cérémonie.
Après avoir absorbé le « breuvage des braves », les papooses
sont définitivement admis dans les rangs des guerriers Sioux ; l'insigne
tant convoité leur est enfin remis.
Le
baptême « Canard »
L'admission dans les rangs de l'escadrille SPA 167, moins redoutée
par certains, n'en est pas moins redoutable pour autant. Les commandants
d'escadron ayant l'honneur de porter les deux insignes d'escadrille
peuvent en témoigner.
Le surnom de « canard » donné à l'insigne SPA 167, peu respectueux
de sa définition héraldique, est né également après la première
guerre mondiale. Dès lors, rien d'étonnant à ce que les « bâtards
» aient à se livrer à quelques ébats aquatiques lors de leur baptême.
Quoi de plus naturel, en effet, pour un canard que de plonger et
ramener en son bec le merveilleux insigne ?
Curieusement, la tradition du baptême canard a évolué légèrement
depuis son origine. La cuvette d'eau claire des premiers jours est
devenue, de nos jours, un baquet dans lequel la plongée tient plus
de l'exploit sportif que de la formalité.
La cuvette est en effet devenue bac rempli de liquides divers et
garni d'ingrédients originaux. La cérémonie est publique et il est
d'usage que Sioux et Canards fassent cercle autour du candidat afin
de l'encourager par leurs harangues ; les bâtards en sont, naturellement,
exclus.
En cet instant de vérité, les talents s'expriment et les terreurs
se révèlent au grand jour. Quiconque refuse l'épreuve restera à
jamais un bâtard. Il arrive que le jeune caneton, épuisé par de
nombreuses tentatives, s'avère incapable de saisir l'insigne. Il
appartient alors au commandant de la
SPA 167, tel Néron aux jeux du cirque, de lever ou non le pouce
en fonction des clameurs de la foule et du courage démontré par
le candidat. Si la grâce lui est accordée, l'insigne est à lui,
sinon, pas de pitié pour les « canards boiteux »
Exceptions
Par mesure strictement exceptionnelle, et après réunion du grand
conseil, présidé par le Grand Sorcier, un insigne sans numéro peut
être attribué à un membre extérieur à l'escadron et ce à titre purement
honorifique.
Cette pratique fut courante lors de la première guerre mondiale,
où l'insigne Sioux était généreusement dispensé. Georges Guynemer
passa quelques semaines au La Fayette et l'obtint.
Depuis, bien peu ont eu cette chance. Pour n'en citer qu'un, le
général Eisenhower eut le privilège de se voir remettre, le 12 février
1949, un insigne Sioux portant le numéro 603.
(voir aussi)
(Source
: plaquette "La Grande Chasse des Sioux" - EC 2/4 La Fayette
- 1982)
|
De
Havilland DH 100 Mark 5 VZ221 (4-LF) - EC 2/4 La Fayette (N 124, SPA 167)
- Friedrichshafen - 1953.
MD
450 Ouragan - EC 2/4 La Fayette (N 124, SPA 167) - Bremgarten - 1956.
Livrée "Patrouille de France" pour cet appareil. C'est
en effet la 4ème escadre de chasse de Bremgarten qui fut retenue
en 1956
pour assurer cette mission représentative.
Republic
F-84F Thunderstreak n° 52-9070 (4-UM) - EC 2/4 La Fayette (N 124,
SPA 167) - Bremgarten - 1960.
Mirage III E n°619
(4-BJ) ou (?) n° 568 (4-BI) - EC 2/4 La Fayette (N 124 - SPA 167)
- Luxeuil - 4 octobre 1986.
Plus d'informations.
Mirage
III E de l'EC 2/4 La Fayette dans sa configuration de mission de pénétration
basse altitude nucléaire tactique.
Dans le cadre de l'opération "Tamara", le 28 août 1973,
c'est sur le Mirage III E n° 617 (4-BE) de L'EC 2/4 La Fayette que
le Lcl Etienne Copel, effectua le tir de la première arme nucléaire tactique
AN 52.
Le Mirage III E n°617 appartient maintenant aux réserves du
musée de l'air et de l'espace au Bourget.
voir aussi opération "Tamouré"
opération "Maquis"
Mirage
III E n°617 (4-BE) - EC 2/4 La Fayette (N 124 - SPA 67) - Luxeiul
- 1975.
En campagne de tir à Solenzara.
De gauche à droite :
(zoom1)
Jean-Pierre Bailly - Guy Napias - Michel Gervais - Bernard Hadjadj - Alain
Franzoia. Bernard Gallais - (prénom ?) André,
(zoom2)
(Pierre ou Marc) Olivier - Serge Vernier - Didier L'Eleu de la Simone
- Cdt de l'escadron Frédéric Bellet - Jean-Pierre Gillet
- Emile Sabathe - Claude Louvigné - Georges Francès - Bernard Pichot (accroupi),
(zoom3)
Francès(bis) - Olivier Guillaume - Jean-François Eude - Bernard Mariette
- Hugues Joly - Jean-Pierre Putod
(accès privé).
Le
5 octobre 1991, à Luxeuil, l'EC 2/4 célébre le 75ème
anniversaire de l'escadrille La Fayette N 124 Tête de Sioux. Vol
symbolique d'un Mirage 2000 N (décoré à cette occasion)
en patrouille serré sur un DH 100 Vampire Mark 5 de collection.
L'EC 2/4 La Fayette à mis en oeuvre le Vampire de 1949 à
1953.
Mirage
2000 N n° 336 (4-BP) - EC 2/4 La Fayette (N 124, SPA 167) - Luxeuil
- 05/10/1991.
Autre
vue du Mirage 2000 N n° 336 (4-BP) - EC 2/4 La Fayette (N 124, SPA
167) - Luxeuil - 05/10/1991.
Insigne commémoratif
édité à l'occasion de cet anniversaire :
85ème anniversaire
: 1er juillet 2001 ==>
"Aux Anciens du La Fayette"
Mirage
2000 N n° 349 (4-BM) - EC 2/4 La Fayette (N 124, SPA 167 et SPA 160)
- Luxeuil - 2004.
Mirage
2000 N n° 356 (116-BX) - EC 2/4 La Fayette (N 124, SPA 167
et SPA 160) - Luxeuil - 2009 (date estimée).
De passage à l'AIA (ateliers industriels de l'aéronautique) de
Clermont-Ferrand Aulnat.
Mirage
2000 N n° 341 (116-BT) - EC 2/4 La Fayette (N 124, SPA 167 et SPA
160) - Luxeuil - 1er juillet 2010.
A noter que l'appareil arbore le nouvel insigne de l'escadron, homologué
A 1356 (reprenant les Armes des Motier de La Fayette). En effet, avec
l'arrivée au sein de l'unité du CFEN (Centre de Formation
des Equipages de Mirage 2000 N, ancien CITAC 339), le 1er juin 2010, l'insigne
d'escadron précédent (A 1236)
était devenu inapproprié.
Mirage
2000 N n° 316 (116-AU) décoré pour le 95ème anniversaire
de l'escadrille N 124 - EC 2/4 La Fayette (N 124, SPA 167 et SPA 160)
- Luxeuil - 1er juillet 2011.
Mirage
2000 N n° 316 (116-AU) décoré pour le 95ème anniversaire
de l'escadrille N 124 - EC 2/4 La Fayette (N 124, SPA 167 et SPA 160)
- Luxeuil - 1er juillet 2011.
Mirage
2000 N n° 316 (116-AU) décoré pour le 95ème anniversaire
de l'escadrille N 124 - EC 2/4 La Fayette (N 124, SPA 167 et SPA 160)
- Luxeuil - 1er juillet 2011.
Les Anciens étaient présents pour célébrer
l'évènement.
Au
cours d’une cérémonie sur la base d'Istres, le 12 janvier 2012, le général
Paloméros,
Chef d'état-major de l'Armée de l'air a accroché solennellement
la Croix de la Valeur militaire avec palme sur les fanions de l'EC 2/4
Lafayette et du groupe de ravitaillement en vol (GRV) 2/91 Bretagne pour
leur engagement dans l’opération Harmattan menée au-dessus de la Libye.
Mirage
2000 N n° 357 (125-CO) - EC 2/4 La Fayette (N 124, SPA 167, SPA 81
et SPA96) - Istres - 8 juillet 2015.
Zoom sur l'insigne
Mirage
2000 N n° 353 (125-AM) - EC 2/4 La Fayette (N 124, SPA 167, SPA 81
et SPA96) - Istres - 18 avril 2016.
Appareil décoré pour le centenaire de la N 124
(escadrille La Fayette)
Célébration
du centenaire de l'escadrille "La Fayette" - 20 avril 2016
Devant le mémorial de Marnes-la-Coquette, personnels de
l'escadrille arborant fièrement le fanion de la N 124 "Tête
de Sioux".
Voir actualité Armée de l'air du 21/04/2016
Rafale
B n°351 (4-FR) - EC 2/4 La Fayette (N 124 - SPA 167 - SPA 81
- SPA 96) - Saint-Dizier - 18 avril 2018
Avec le retrait des Mirage 2000 N (officiellement le 26/04/2018),
l'EC 2/4 La Fayette est en cours de constitution au sein de 4ème
escadre de chasse de Saint-Dizier.
|