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Armée de l'air 34 (2020-2021)
L’emblématique Jaguar A91 se pose à jamais au musée
de l’Air et de l’Espace Mise à jour : 18/01/2021 - Auteur : Armée de l'air et de l'espace - Direction : Armée de l'Air et de l'Espace Le dimanche 17 janvier 2021 est le trentième anniversaire, jour pour jour, des frappes initiales de l’opération Tempête du Désert menée par une coalition conduite par les États-Unis à l’encontre de l’Iraq. C’est aussi le jour où le Jaguar immatriculé A91 a rendu son dernier souffle à la suite de sa participation à l’un des premiers raids aériens de la coalition. C’est aujourd’hui que l’illustre aéronef rejoint officiellement le musée de l’Air et de l’Espace (MAE) comme ultime destination, après des années de service rythmées par des faits d’armes exceptionnels. Au-delà de ce dernier atterrissage, le Jaguar A91 laissera aux plus jeunes le souvenir impérissable de l’audace et du courage dont ont fait preuve nos Aviateurs lors de la première guerre du Golfe. Patrimoine unique, le Jaguar A91 sera dévoilé au sein du hall Concorde ce 17 janvier 2021 en présence de hautes personnalités : le général Vincent Lanata, ancien chef d’état-major de l’armée de l’Air (CEMAA) ; le général Stéphane Abrial, également ancien CEMAA et actuel président du conseil d’administration du MAE ; le général Bruno Maigret, Commandant les Forces aériennes stratégiques (CFAS) des représentants des ambassades britannique et américaine ; une grande partie des pilotes ayant participé au premier raid ; et enfin, de nombreux élus politiques. La table ronde qui succédera à ce dévoilement permettra de donner la parole aux acteurs, opérationnels et politiques, du célébre raid du 17 janvier 1991. Le général Abrial, dans son discours, insiste par ailleurs sur la symbolique de cet aéronef : « Les stigmates sur l’avion, que vous apercevez derrière moi, sont les signes toujours visibles de la dureté de ce combat, de la force d’âme des acteurs en présence. » Les premiers faits d’armes de l’A91 en Afrique Fruit d’une collaboration industrielle franco-britannique, le Jaguar a été conçu par la société franco-britannique SEPECAT. Commandé en 200 exemplaires par l’armée de l’Air française, le Jaguar entre en service en 1972. Livré en 1977, l’A91 rejoint la 11e escadre de chasse sur la base aérienne 136 de Toul. Il fait ses premières armes au Tchad en 1978 en participant à l’opération Tacaud. Début 1986, le 16 février, alors qu’il est engagé à Bangui (République centrafricaine), le Jaguar A91 échappe de peu à la destruction. Piloté par le capitaine Delecourt, il participe aux côtés de onze autres Jaguar à l’opération "Trionyx" dont le but est de neutraliser la piste de la base aérienne de Ouadi-Doum, dans le nord du Tchad, construite par les Libyens. Mais les impacts de leurs munitions provoquent des gerbes massives d’éclats qui frappent de plein fouet les derniers chasseurs. Victime de dix impacts, le Jaguar A91 est fortement endommagé. Grâce à l’expertise exceptionnelle des mécanos et malgré la rusticité du soutien logistique disponible localement, l’avion est remis en état. La guerre du Golfe : fin de la carrière opérationnelle de l’A91 Cinq ans plus tard, l’A91 part à nouveau en opération avec le capitaine Hummel aux commandes dans le cadre de l’opération Daguet. Le 2 août 1990, l’Iraq envahit son voisin, le Koweït. Une coalition commandée par les États-Unis est chargée de rétablir le droit international et la paix sous l’égide des Nations unies. Les premiers Jaguar français rejoignent les forces alliées le 14 octobre 1990, puis l’A91 arrive deux mois plus tard. Le 17 janvier 1991, l’opération Desert Storm est lancée. L’objectif de la première mission à laquelle participent les Jaguar français est de détruire des stocks de munitions suspectés d’être chargés d’armes chimiques sur la base d’Al Jaber au Koweït, puis de neutraliser la piste. Deux formations de six Jaguar, dont l’A91, participent à ce raid à basse altitude. En s’approchant de leur objectif, les chasseurs-bombardiers sont pris à partie par une forte concentration de feux antiaériens avec des missiles SA-7 tirés à l’épaule et des armes de petit calibre. Quatre des douze Jaguar, dont l’A91, sont gravement endommagés. Un pilote est sévèrement blessé. Le lieutenant Bonnafoux, un des quatre pilotes des Jaguar touchés, témoigne : « J’étais dans le désert. Quand, soudain, Hummel a crié qu’il avait été touché. Ayant le visuel sur ce dernier, je lui lance : “ Mon pauvre vieux, si tu voyais ton avion, il est en feu ! ” Il me rétorque : “ Le tien aussi, pardi ! ” ». Endommagés, les deux Jaguar atteignent miraculeusement, grâce à la dextérité de leurs pilotes, une base saoudienne où ils sont pris en charge immédiatement. Bilan : l’A91, touché au réacteur droit, est irrécupérable. « Mais cela aurait pu être bien pire ! » En effet, les Jaguar ont survolé, à moins de cinquante pieds, un espace situé entre deux des zones les mieux défendues du Koweït ; en d’autres termes, un véritable coupe-gorge. À la suite de cette première mission, les Jaguar abandonnent les profils de vol à basse altitude au profit de ceux d’attaque à moyenne altitude où ils sont moins vulnérables aux canons antiaériens et aux missiles à courte portée. L’A91 incarne, avec ses nombreuses missions et les dommages qu’il a subis, l’engagement sans faille de l’armée de l’Air et de l’Espace dans les opérations extérieures. La dérive du Jaguar A91 et l'insigne du "Sphinx" de la SPA 161 - Crédit : © Emma Le Crouzic / Armée de l'air et de l'espace L’emblématique Jaguar A91 de l'EC 4/11 "Jura" s'est posé pour longtemps au musée de l’Air et de l’Espace - Crédit : © Emma Le Crouzic / Armée de l'air et de l'espace Remise en configuration opérationnelle du Jaguar A91 (11-YG) de l'EC 4/11 Jura (SPA 158, SPA 61) sur le terrain d'Al Ahsa (Arabie saoudite) - peu avant le 17 janvier 1991. Notez le Serpentaire de la SPA 158 bien visible sur cette photo ainsi que le rocher d'Al Ahsa qui, en y regardant de plus près, rappelle étrangement le Sphinx de la SPA 161. Sources : Armée de l'air Droits : © Armée de l'air |
L'Escadron de Transformation Mirage 2000D 4/3 «Argonne»
mis en sommeil (Source : Actualités-Air n°736 - février 2021 - page 12) L'armée de l'Air et de l'Espace a annoncé la mise en sommeil à l'été 2021 de l'escadron de transformation Mirage 2000D (ETD) 4/3 «Argonne», stationné sur la base aérienne 133 de Nancy-Ochey. La cérémonie militaire se déroulera le 27 mai 2021 sur la base aérienne et sera suivie, sous réserve des conditions sanitaires, d'une soirée commémorative réunissant l'ensemble du personnel ayant servi au sein de l'unité. Les Aviateurs de l'« Argonne » désirant participer à l'un ou l'autre de ces événements et/ou souhaitant contribuer au travail d'archivage en cours par l'envoi de photographies ou d'anecdotes sont priés de se faire connaître, avant le 21 mars 2021, à l'adresse : etd43argonne©hotmail.com (pris en compte le 28/05/2021 ) Photos associées à la SPA 31 Photos associées à la SPA 48 |
Un nouveau MGAA pour l’armée de l’Air et de l’Espace Mise à jour : 25/03/2021 - Auteur : Adjudant Jean-Laurent Nijean - Direction : Armée de l'Air et de l'Espace Le 25 mars 2021, le général Frédéric Parisot a pris ses fonctions de major général de l’armée de l’Air et succède ainsi au général Éric Autellet. Depuis le 6 avril 2020, le général Autellet occupait le poste de major général de l’armée de l’Air (MGAA). Le 11 mars 2021, il a été nommé au poste de major général des Armées et élevé aux rang et appellation de général d’armée aérienne. Officier de la Légion d’honneur et commandeur de l’ordre national du Mérite, le général Frédéric Parisot est issu de la promotion 1986 "Général Dorance" de l’École de l’air. Breveté pilote de chasse en 1989, il débute sa carrière comme pilote au sein de l’escadron de chasse 3/5 "Comtat-Venaissin" de la base aérienne 115 d’Orange. En 1995, il devient officier d’échange sur CF-18 Hornet au sein des Forces aériennes canadiennes. Après une affectation à la Délégation aux affaires stratégiques (DAS), à Paris, il revient en unité de combat, en 2001, comme commandant en second puis commandant de l’escadron de chasse 1/5 "Vendée" de la base aérienne 115 d’Orange. Après son temps en unité, il occupe successivement les postes d’adjoint au chef de bureau des dépenses en capital au sein de la Direction des affaires financières, puis d’assistant militaire du général Stéphane Abrial, chef d’état-major de l’armée de l’Air (EMAA), de premier officier d’échange français affecté au Pentagone au sein du groupe d’études stratégiques du chef d’état-major de l’armée de l’air américaine. Au retour des États-Unis, il suit la scolarité au Centre des hautes études militaires (CHEM) et à l’Institut des hautes études de la défense nationale (IHEDN) avant d’être affecté comme officier chargé d’étude à l’état-major des Armées et rapporteur au sein de la commission du Livre blanc. Enfin, il est adjoint Air au chef de l’état-major particulier du président de la République de 2013 à 2017. Nommé général en 2017, il est affecté un an au Koweït puis en Irak comme directeur "actions civilo-militaires" et représentant principal français auprès de l’opération Inherente Resolve (volet international de l’opération Chammal). Il revient à Paris, en 2018, comme sous-chef "Préparation de l’avenir" à l’état-major de l’armée de l’Air. Chargé d’assister le chef d’état-major de l’armée de l’Air et de l’Espace, le MGAA propose la politique générale de l'armée de l'Air et de l’Espace et la met en œuvre par l'intermédiaire de l'EMAA, dont il dirige les travaux. À ce titre, il est notamment chargé de la mise en œuvre des plans stratégiques. Sources : Armée de l'air Droits : © Armée de l'air Voir actualité du 12/05/2023 |
La 61e escadre accueille son 18e A400M Mise à jour : 02/04/2021 - Auteur : armée de l'Air et de l'Espace - Direction : Armée de l'Air et de l'Espace Le vendredi 2 avril 2021, l’A400M Atlas n°110 s’est posé vers 17h00 sur la base aérienne 123 d’Orléans-Bricy. Livré par un équipage de l’équipe de marque Avions de transport tactique du Centre d’expertise aérienne militaire (CEAM), il est le 18e à intégrer la flotte de l’armée de l’Air et de l’Espace (AAE), mise en œuvre au sein de la 61e escadre de transport . L’A400M Atlas est taillé pour de nombreuses missions, en métropole comme en opération. La modularité de sa soute, son allonge et ses capacités tactiques lui permettent d’être aussi efficace entre les théâtres qu’à l’intérieur d’un théâtre. Véritable plateforme évolutive, tous les A400M sont livrés à l’AAE au dernier standard du moment. L’amélioration des capacités, notamment dans le domaine du largage de ce 18e aéronef, illustrent le chemin récemment parcouru vers le standard cible, qui ne sera certifié qu’en 2022. Des essais de ravitaillement en vol des hélicoptères de l’AAE sont par ailleurs menés par la DGA. Au total, 25 appareils devraient être livrés d’ici à 2025.
02 avril 2021, arrivée du 18e A400M Atlas, le n°110 F-RBAQ - Crédit : © Armée de l'air et de l'espace 02 avril 2021, arrivée du 18e A400M Atlas, le n°110 F-RBAQ - Crédit : © Armée de l'air et de l'espace Sources : Armée de l'air Droits : © Armée de l'air |
Mise à l’honneur de deux Aviateurs sur un nouveau
timbre Mise à jour : 06/04/2021 - Auteur : Armee de l'Air et de l'Espace - Direction : Armée de l'Air et de l'Espace Le 6 avril 2021, l’histoire de l’armée de l’Air et de l’Espace est mise à l’honneur par La Poste. Deux Aviateurs seront représentés sur un timbre et une mini-feuille : Claire Roman à l’occasion des 80 ans de sa disparition et Pierre Clostermann dans le cadre du centenaire de sa naissance..
Retrouvez le portrait d’Élisabeth Boselli, première femme pilote de chasse de l’armée de l’Air, dans le numéro Air actualités de février 2021. Mise à l’honneur de deux Aviateurs sur un nouveau timbre - Crédit : @ Armée de l'air et de l'espace Sources : Armée de l'air Droits : © Armée de l'air |
« La Formation administrative air
Paris » devient FA 117 Mise à jour : 26/04/2021 - Direction : Armée de l'air et de l'espace Depuis un arrêté du 18 décembre 2020, la « Formation administrative Air Paris » a changé d’appellation pour devenir la Formation administrative 117 Paris (FA 117 Paris), renouant toujours plus avec l’héritage de la Cité de l’Air et base aérienne 117 (CABA 117). L’appellation change mais l’esprit reste le même. La FA 117 Paris est l’échelon de niveau « base aérienne » pour les Aviatrices et Aviateurs affectés sur Paris et les communes limitrophes et ceux en poste permanent à l’étranger (PPE). En l’absence d’emprise propre et d’activités aéronautiques, cet organisme comporte uniquement la partie « administrative » d’une base aérienne classique. Son environnement complexe comprend un périmètre de plus de 2 800 Aviateurs d’active et de réserve. Les services de son commandement, implantés à l’École militaire, ont la charge de : la gestion du personnel de l’armée de l’Air et de l’Espace affecté sur son périmètre dans la limite de la délégation donnée par la DRHAA, qu’il s’agisse des entités de l’armée de l’Air et de l’Espace, mais également des commandements, directions ou services interarmées et gouvernementaux (recrutement, mobilité, contrats, candidatures, formation, condition de l’aviateur, désignations) ; du soutien spécifique « Air » des entités de l’armée de l’Air et de l’Espace de son périmètre qui comprend la santé, la prévention, hygiène, sécurité et conditions de travail (HSCT), la sécurité des systèmes d’information (SSI) et cyberdéfense, le suivi du financement du personnel de réserve, et prochainement un correspondant « SIC base » viendra renforcer l’équipe et assurer le suivi SIC de toutes les entités Air de Paris ; l’intégration des différents soutiens au profit de ces unités Air. Par conséquent, ce n’est ni un organisme d'administration, à l’image du groupement de soutien de base de Défense d’Île-de-France (GSBdD IDF), ni un commandement militaire, comme le Commandement militaire de Balard (COMILI-Balard) qui s’occupe uniquement de la sécurité d’un site bien défini. Tout au long de l’année, la cinquantaine d’Aviateurs qui composent les services de la FA 117 Paris assurent une pluralité de missions. De la tenue des comités d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) ou des conseils de consultation en matière d’hygiène et de prévention des accidents (CCHPA), aux travaux de relève interne et différentes campagnes en ressources humaines, chancellerie et formation. Ses services pilotent également de nombreux événements de rayonnement, comme l’organisation de la course des 20 kilomètres de Paris, la cérémonie Air de ravivage de la Flamme à destination de la jeunesse, et l’animation du brevet d’initiation aéronautique pour la région Île-de-France. Légende - Crédit : © Armée de l'air et de l'espace
Sources : Armée de l'air Droits : © Armée de l'air |
Première des Ambassadeurs de l’armée de l’Air et
de l’Espace Première
des Ambassadeurs de l’armée de l’Air et de l’Espace - Crédit : ©
Armée de l'air et de l'espace |
Réception du 4e A330 Phénix sur la BA 125 Mise à jour : 07/05/2021 - Auteur : Armee de l'Air et de l'Espace - Direction : Armée de l'Air et de l'Espace En provenance de la division essais en vol de la Direction générale de l’armement localisée à Istres, le 4e A330 Phénix a rejoint l’armée de l’Air et de l’Espace (AAE) sur la base aérienne (BA) 125 ce vendredi 7 mai. ... [...] (Rappel) Qu’est-ce que l’A330 Phénix ? L'A330 Phénix est un avion de ligne Airbus A330 qui a été transformé afin d’assurer de multiples missions militaires qui sont notamment : - la mise en œuvre de la composante aérienne de la dissuasion ; - la contribution à la posture permanente de sûreté aérienne (PPS-A) ; - la projection de forces et de puissance ; - le transport médicalisé pour les missions d’évacuation sanitaire d’urgence en métropole et en opérations extérieures. Avion multirôle de nouvelle génération, il permet également d’offrir une synergie importante des fonctions de transports et de ravitaillement assurant une allonge mondiale considérable de projection des avions de l’armée de l’Air et de l’Espace pour aller plus vite, plus loin. L’AAE sera capable, en 2023, de projeter un escadron Rafale (20 aéronefs) en 48 heures aux antipodes avec dix A330 Phénix. Fiche technique (Ndlr) A noter que cet appareil porte sur son empennage l'insigne l'ERVTS 2/31 "Estérel" placé "en prévision" sur le site pour le moment au sein de la 31e ERVTS (voir le zoom ci-dessous) 07/05/2021 : livraison du 4ème Airbus A 330-243 MRTT Phénix n° 044 - MSNxxxx - F-UJCJ - Crédit : © Armée de l'air et de l'espace 07/05/2021 : livraison du 4ème Airbus A 330-243 MRTT Phénix n° 044 - MSNxxxx - F-UJCJ - Crédit : © Armée de l'air et de l'espace (voir zoom sur l'insigne ci-dessous) Zoom sur l'insigne porté par cet appareil - Crédit : © Armée de l'air et de l'espace Voir autres photos Sources : Armée de l'air Droits : © Armée de l'air |
10 000 heures de Rafale C (monoplace) au Levant
depuis 2016 Mise à jour : 20/05/2021 - Page Facebook Armée de l'Air et de l'Espace Depuis l’arrivée des Rafale sur la base aérienne projeté (BAP) au Levant en 2016, les Rafale C (monoplaces) ont franchi la barre symbolique des 10 000 heures de vol. Intégrés à l’opération Inherent Resolve (OIR), les Rafale constituent le pilier « appui » de l’opération Chammal en effectuant des missions d’appui-feu et de renseignement. Leurs missions quotidiennes participent pleinement dans la lutte contre l’organisation terroriste Daech. Pour l'occasion, dans la plus pure tradition d’Aviateurs, les mécaniciens du détachement chasse de la BAP au Levant ont peint le fuselage et la dérive d’un Rafale C, avec la mention « 10 000 heures ». Le Rafale arbore sur sa dérive le marquage « 1941-2021 : 80 ans - Free French Flight » faisant référence aux unités des Forces aériennes libres ayant combattu au Levant durant la Seconde Guerre mondiale. 10 000 heures de Rafale C (monoplaces) au Levant depuis 2016 (1) - Crédit : © Armée de l'air et de l'espace Rafale C n°106 (30-HG) - GB 43 Levant 10 000 heures de Rafale C (monoplaces) au Levant depuis 2016 (1- zoom) - Crédit : © Armée de l'air et de l'espace Rafale C n°106 (30-HG) - GB 43 Levant 10 000 heures de Rafale C (monoplaces) au Levant depuis 2016 (2) - Crédit : © Armée de l'air et de l'espace Rafale C n°106 (30-HG) - GB 43 Levant 10 000 heures de Rafale C (monoplaces) au Levant depuis 2016 (3) - Crédit : © Armée de l'air et de l'espace Rafale C n°106 (30-HG) - GB 43 Levant 10 000 heures de Rafale C (monoplaces) au Levant depuis 2016 (4) - Crédit : © Armée de l'air et de l'espace Rafale C n°106 (30-HG) - GB 43 Levant Sources : Armée de l'air Droits : © Armée de l'air |