Ecole de pilotage de l'Armée de l'air "général Pierre Jarry" (*)
Ecole de pilotage de l'Armée de l'air EPAA 315
Groupement Ecole 315


(*) Voir actualités de l'Armée de l'air du 20 mai 2014 du 04 mars 2016 du 09 juin 2017 du 02 octobre 2018 et du 23 juillet 2019

Tiger Moth Arado 96 BT 9 T-6 G
Fouga Magister GE 315 - Galerie Fouga
TB 30 Epsilon GE 315 TB 30 Epsilon 4e EIV TB 30 Epsilon EIV 2/12 Picardie TB 30 Epsilon Cartouche Doré
MH 1521 GE 315
MH 1521 GE 315
Pilatus PC 21

Appellations
Lieux de stationnement
Dates
Ecole de pilotage Istres du début 1917 à juin 1940
Ecole de transformation (base école 705) Cognac du 1er août 1945 au 17 novembre 1949
Division d'instruction (BE 707) Marrakech de novembre 1949 à 1961
Ecole de pilotage élémentaire Cognac depuis 1961 au 1er octobre 1965
GE 315   depuis le 1er octobre 1965 au 1er août 1994
Ecole de pilotage de l'Armée de l'air EPAA 315 depuis le 1er août 1994

Appareils successivement utilisés :
Stampe de septembre 1945 à 1951
Fieseler Storch - Nord 1100 de septembre 1945 à 1949
Arado 96 de février 1946 à 1948
Sipa 10 et 11 de fin 1946 à 1949
Tiger Moth de mai 1946 à 1949
BT 9 de juillet 1946 à 1951
Morane 230 d'août 1947 à 1948
Nord 1000 d'août 1947 à 1948
Avro Anson de 1947 à 1948
Miles Master II de 1947 à 1948
North American T6 de 1951 à 1965
CM 170 Fouga Magister de 1965 à 1992
CAP 10B de février 1980 à octobre 1984
TB 30 Epsilon du 7 juin 1984 au 14 juillet 2019
Grob 120 A-F depuis le 29 mars 2007
Pilatus PC 21 depuis le 02 octobre 2018

(texte extrait du livre "L'Arméee de l'air, des avions et des hommes", Lcl Henri Guyot, éditions ADDIM, septembre 1992 et à actualiser).

Le GE 315 est l'héritier de l'école d'aviation d'Istres, créée en 1917 et qui oeuvrera sous différentes appellations jusqu'en juin 1940, date de son repli en Algérie et de sa dissolution.
Au lendemain de la Libération, l'Armée de l'air décide de créer de toutes pièces une chaîne de centres d'entraînement, qui lui permettra de se passer à l'avenir des aides anglaise et américaine. Il n'existe pour l'instant qu'une seule école de pilotage au Maroc, à Kasba-Tadla.
Cette chaîne comprend une école de début à La Rochelle, une école de transformation à Cognac, dénommée base école 705, et deux écoles de spécialisation Meknès pour la chasse, Avord pour le bombardement. Les élèves sortant de l'école de début doivent venir à Cognac pour s'initier au pilotage des avions modernes et passer leur brevet après une centaine d'heures de vol sur ce type d'appareil.
L'école de début de La Rochelle peut immédiatement fonctionner grâce à l'appui de la RAF qui lui fournit ses De Havilland Tiger Moth. Celle de Cognac, en revanche, doit se contenter, en l'absence d'un avion-école type, de Stampe, Fieseler et Nord 1000. Toutefois, l'école de transformation est ouverte dès le début d'août 1945. Les premiers vols ont lieu le 13 septembre 1945 avec la promotion "Commandant Tulasne", qui comprend dix élèves.
Le choix d'un avion de transition s'impose. Le commandement se décide finalement pour une solution d'économie en récupérant en Allemagne les Arado 96 qui servent à l'entraînement de la Luftwaffe, Ces avions, au nombre de cinquante-six, sont convoyés de Leck à Cognac entre février et avril 1946. Ils rendent d'inappréciables services pendant deux ans. Cependant, ils sont remplacés peu à peu par les Sipa 10 et 11, de construction française, à partir de la fin de 1946 et durant l'année 1947.
En mai 1946, l'école de début de La Rochelle vient s'installer sur le terrain de Cognac avec son personnel et son matériel, des Tiger Moth fournis par la RAF. L'été de la même année, l'école de Kasba-Tadla est dissoute, et ses avions américains BT 9 sont amenés en renfort. En août 1947, la division des moniteurs et "réentraînés", jusque-là installée à Tours, fait aussi mouvement sur Cognac, avec une partie de son matériel (Morane 230, Stampe, Nord 1000). Ainsi, au milieu de l'année 1947, l'école de Cognac est à son apogée.
Mais, quelques années plus tard, des considérations stratégiques vont amener l'état-major à envisager la dissolution de l'école de Cognac et la création de l'école de Marrakech. Le transfert ne peut se faire que par étapes et commence par le déplacement des escadrilles de navigation et de tir vers d'autres écoles. Puis vient le tour du groupe début qui part à Marrakech. Enfin, en septembre 1949, la fermeture de l'école est effective. Le groupe transition s'en va à Marrakech, la division des moniteurs et "ré-entraînés" à Cazaux.
La formation des pilotes se poursuit donc au Maroc sur Stampe, Morane, BT 9, ces derniers étant remplacés par des North American T6 à partir de 1951.
Au cours de l'année 1961, la base école 707 de Marrakech est repliée à Cognac et reçoit la dénomination de BE 709. Celle-ci est désormais chargée de former, outre les sous-officiers de l'Armée de l'air, les officiers mariniers pilotes de l'Aéronavale, ceci du fait de l'abandon par la Marine de la base aéronavale de Kourigba au Maroc.
En 1965, le biréacteur Potez CM 170 Fouga Magister, mieux adapté à la formation initiale des pilotes d'avions modernes, remplace le T6 G. Cette même année, la division d'instruction se réorganise en un groupement école, le GE 315 comprenant quatre escadrons d'instruction en vol (EIV) et un escadron d'instruction au sol (EIS).
De février 1980 à octobre 1984, des avions légers à hélice CAP 10B sont affectés à un 5e EIV. A partir du 7 juin 1984, les Epsilon s'installent et remplacent progressivement les Fouga Magister dans le ciel cognaçais. Le 5e escadron est alors dissous. Le 1er mai 1985, l'escadron de formation des moniteurs (EFM) d'Aulnat est transféré à Cognac par suite de la fermeture de la BA 745. Il prend l'appellation d"escadron de formation des moniteurs et de standardisation" (EFMS). Les quatre EIV instruisent les élèves pilotes sur Epsilon, et I'EFMS forme les moniteurs de début sur Fouga Magister et sur Epsilon. Le GE 315, après avoir fêté ses 100000 heures de vol sur TB 30 Epsilon en 1989 et sa trentième année de présence à Cognac en juin 1991, vient de franchir, en mars 1992, le cap des 200000 heures sur son avion principal. Ces chiffres, à eux seuls, démontrent la vitalité et le dynamisme de cette unité.

(pour la suite : source EPAA 315)
Le 1er août 1994, le Groupement école devient Ecole de pilotage de l'armée de l'air 00.315 (EPAA 00.315). Cette même année est marquée par la dissolution du 4ème E.I.V. tandis que le 2ème E.I.V. en reprend l'insigne et les traditions. Le " Moloch " est donc restitué au Service historique de l'armée de l'air. Un an après, en 1995, le 3ème E.I.V. est mis en sommeil et le " Roumi " rejoint le Moloch au château de Vincennes.
De son côté, l'EFMS est dissout, ses missions étant réparties entre l'Escadron de contrôle et de standardisation qui en reprend l'insigne et le Centre de formation des instructeurs pilotes, unité du commandement des écoles de l'armée de l'air, indépendante de l'EPAA.
L'école n'a alors plus que deux escadrons d'instruction en vol : le 1er arborant une hure de sanglier et le 2e un épervier prenant l'envol à partir d'un navire.

En 1999, l'armée de l'air décide la mise en application d'un cursus de formation unique pour tous les élèves pilotes toutes origines confondues. Dans ce cadre, l'école de pilotage de l'armée de l'air se voit confier, dès le printemps 2000, la mission d'apprentissage du pilotage de base, appelé tronc commun, pour tous les élèves pilotes de l'armée de l'air et de la marine nationale. La pré-spécialisation chasse est quant à elle réalisée à Salon. Parallèlement à cette évolution et suite à la dissolution de l'école des navigateurs officiers systèmes d'armes (ENOSA 00.316 de Toulouse), l'EPAA reçoit comme nouvelle mission, la formation de base des élèves navigateurs officiers systèmes d'armes. Ces changements interviennent dans une logique de formation répondant aux normes civiles JAR/FCL[1]. L'augmentation sensible du volume d'activité de l'EPAA conduit à la réouverture des 3eet 4e E.I.V. Le " Roumi " retrouve sa place comme emblème du " 3 " tandis que le 4e E.I.V hérite de l'insigne et des traditions du " Moloch ", ex-2e E.I.V. Au même moment l'escadron de contrôle et de standardisation se transforme en cellule contrôle qualité (CCQ).
Cette nouvelle donne vaut aux plus anciens quelques difficultés à s'orienter en zone opérationnelle. En effet, le 3e E.I.V. est installé aujourd'hui dans les bâtiments de l'ancien 2e E.I.V. et le 2e E.I.V. dans ceux de l'ancien 3e E.I.V.. En revanche le 4e E.I.V. a retrouvé ses locaux d'antan, mais arbore un fanion portant le numéro " 02.315 " à la gloire du " Moloch " pendant que le 2e E.I.V. conserve celui où figure un " 04.315 " évoquant l'aéronavale. Seul le 1er E.I.V. a donc été entièrement préservé par les restructurations successives.

Depuis le mois de mai 2004, une nouvelle réforme des cursus de formation des élèves pilotes et navigateurs est intervenue. Elle vise à optimiser l'emploi des flottes école. Ainsi, l'école de pilotage de l'armée de l'air a retrouvé la mission de formation en pré-spécialisation chasse. En revanche, elle n'assure désormais plus que la formation de 70% des élèves pilotes toutes origines et recrutements confondus, les 30% restant sont à la charge de la Division des vols de Salon de Provence. De plus, l'EPAA perd la mission de formation de base des élèves navigateurs qui est transférée à Salon au sein d'une unité nouvelle : l'école de formation des navigateurs de combat (EFNC). L'année 2006 est une année de transition importante puisque la maintenance de la flotte aéronautique et des simulateurs de vol est externalisée au profit d'EADS.
Cette longue métamorphose achevée en 2007 a permis la mise en place du FMPT2, simulateur de vol de dernière génération et a vu l'arrivée d'un nouvel aéronef, le GROB 120. Cet appareil au système de navigation modernisé présente l'avantage du pilotage " côte-à-côte " qui optimise la relation entre le pilote et l'élève.

Septembre 2008. Cette rentrée est marquée par une relève limitée qui contraint l'EPAA à se réorganiser pour atteindre les objectifs de formation pour les trois prochains mois puis pour l'année 2009. Une structure à deux EIV plus reserrée mieux dimensionnée en personnel d'encadrement et en moniteurs, recentrés sur le cœur de leur métier. L'optimisation de la planification des vols sur une plage horaire plus large, devrait permettre de respecter les butées du plan de formation de l'école. Par ailleurs, l'emploi des réservistes et des abonnés devra faire l'objet d'une attention particulière. Le 3e EIV " ROUMI " ainsi que le 2e EIV " RAFIOT " sont de nouveau mis en sommeil pour ne garder que les " VERA " et enfin les " MOLOCH " qui redevient l'indicatif du 2e EIV comme dans les années 90.
( source EPAA 315)


Liste des commandants l'EPAA 315


1er EIV Aspirant Jacques Casaneuve EIV 1/13 Artois (15 mai 2014)



Jacques Casaneuve, né le 11 mars 1918 à Fontainebleau, remporte 2 victoires durant la bataille de France en abattant deux Me 109 avant d'être blessé en combat aérien le 5 juin 1940. Participant d'abord à la campagne de Tunisie, il rejoint le front russe en août 1944. Après une troisième victoire obtenue sur un FW 190, il disparaît en combat aérien, le 13 octobre 1944, au cours d'une mission de protection d'un avion de reconnaissance P2, dans la région de Minsk, à 20 kilomètres d'Insterbourg, en Prusse orientale.



Insignes des escadrilles :



Liste des commandants le 1er EIV


EIV 1/13 Artois



Du 15/05/2014 au 16/09/2020

 Avant
Escadron ou Groupe
Escadrille n°
Nom de tradition
Stationnement 
Equipement 
Après
 
 
EIV 1/13 Artois
1
SPA 83
 Cognac
 Grobe 120 A-F
2
SPA 100
 
 
 
3
SPA 155      

Voir actualité de l'Armée de l'air du 20 mai 2014

Prévision pour mi-septembre 2020 EIV 1/13 Artois sur Pilatus PC-21 (EIV Basic de L'EAC de Cognac)


2ème EIV Capitaine Albert Littolff (*) 4ème EIV



Né le 23 octobre 1911 à Cornimont dans les Vosges, breveté pilote le 3 juillet 1931, Albert Littolff rejoint la 7e escadre à Dijon et fait très vite partie de sa patrouille acrobatique. Il totalise 6 victoires aériennes durant la campagne de France et, refusant la défaite, rejoint aussitôt les Forces françaises libres en Angleterre à bord d'un Dewoitine 520. Il obtient 4 autres victoires au Proche-Orient avec le groupe "Alsace" avant de rejoindre le "Normandie" pour la campagne de Russie. Le capitaine Albert Littolff est porté disparu le 16 juillet1943, au cours de l'offensive d'Orel, en obtenant sa quatorzième victoire.

(*) est devenu par la suite (date ?) 4ème EIV

(voir texte source EPAA 315 ci-dessus)

Liste des commandants le 2e EIV



3ème EIV Christian Montet dit Martell



Né le 14 mars 1914 à Saint Etienne, breveté pilote en 1937, Christian Martell est affecté à la 1ère EC d' Etampes puis comme moniteur de voltige à Romilly. Démobilisé en 1940 à Casablanca, il tente de rejoindre l'Angleterre. Arrêté, emprisonné, mis en liberté provisoire en 1941, il entre dans la Résistance. Ne renonçant pas à se battre au grand jour, il rallie l'Angleterre et les FAFL en janvier 1942. Affecté au Free French Flight, groupe de chasse n°1, futur "Alsace", Christian Martell reprend néanmoins des activités clandestines en France de fin 1942 à juillet 1943. De retour au groupe, il commande le "A Flight" puis, le 1er avril 1944, le Squadron 341 "Alsace". Entre-temps, son palmarès s'établit à 6 victoires homologuées, 6 probables et 3 avions endommagés. Son groupe est le premier à atterrir sur le sol de la France libérée le 13 juin 1944. A la tête de l'OTU 80 en 1945, victime d'une panne moteur, le commandant Christian Martell trouve la mort en service aérien commandé, aux commandes d'un Spitfire, le 31 août 1945, à Ouston.

voir contibution

Liste des commandants le 3e EIV



4ème EIV Frantz Joseph (*) 2ème EIV EIV 2/12 Picardie (15 mai 2014) (16 septembre 2020)



Né le 7 août 1890 à Beaujeu (Rhône), Joseph Frantz obtient, le 1er février 1911, le brevet civil n° 363 et le brevet militaire n° 170. En 1911, il établit le record de durée avec deux passagers en tenant l'air 4 h 27mn, le 26 mars 1921, celui de hauteur avec 2120 mètres et, en avril 1921, celui de parcours à quatre personnes. Joseph Frantz inscrit surtout à la postérité, le 5 octobre 1914, la première victoire mondiale, obtenue en combat aérien, avec le mécanicien Louis Quenault sur Voisin. Il en remportera une seconde le 20 mai 1915. Il décède le 12 septembre 1979 à Paris.

(*) est devenu le 1er août 1994 2ème EIV

(voir texte source EPAA 315 ci-dessus)

Liste des commandants le 4e EIV


EIV 2/12 Picardie



Du 15/05/2014 au 16/09/2020

 Avant
Escadron ou Groupe
Escadrille n°
Nom de tradition
Stationnement 
Equipement 
Après
 
 
EIV 2/12 Picardie
1
SPA 173
 Cognac
 Grobe 120 A-F
2
SPA 172
 
 
 
3
EALA 9/72    

TB 30 Epsilon EIV 2/12 Picardie

Voir actualités de l'Armée de l'air du 20 mai 2014 du 27 juin 2014 du 13 décembre 2016

Prévision pour mi-septembre 2020 EIV 2/12 Picardie sur Grob 120 (EIV Tronc commun)


5ème EIV




EFMS CFIP EFIP 1/11 Roussillon (15 mai 2014)
STANEVAL 1/11 Roussillon (16 septembre 2020)

EFMS =
Escadron de Formation des Moniteurs et de Standardisation
CFIP = Centre de Formation des Instructeurs Pilotes
EFIP = Escadron de Formation des Instructeurs Pilotes



Du xx/xx/1961 au 15/09/2020

 Avant
Groupe ou Escadron
Nom de tradition
Stationnement 
Equipement 
Après
 
EFMS (1)  
 Cognac
 CM 170 Fouga Magister (2)

(1) devient CFIP le 01/09/1995
CFIP = Centre de Formation des Instructeurs Pilotes
L'image de l'insigne A-1277 de l'EFIP est à relier avec celle de l'
Ecole Auxiliaire de Pilotage n° 17 d'Evreux (1939-1940) (à confirmer)

(2)
CM 170 Fouga Magister jusqu'en 1996
TB 30 Epsilon  

L'école des moniteurs de pilotage (EMP) a été créée le 1er juin 1945, à Tours, sur la "base équipée" 704. A compter du 31 août 1947, suite à la dissolution de la BE 704, l'école des moniteurs de pilotage est répartie sur quatre bases Cognac, Meknès, Marrakech et Avord. Du 15 novembre 1942 au 31 mars 1952, la division d'instruction des moniteurs de pilotage (DIMP) est intégrée à l'école II à Cazaux. En avril 1952, la division des moniteurs de pilotage (DMP) stationne à Marrakech jusqu'en début 1961 puis s'installe sur la base aérienne 745 de Clermont-Ferrand. Elle regroupe deux escadrons. A partir de décembre 1964, le 2e escadron forme des élèves pilotes, le 1er escadron assure seul la formation des moniteurs. Le CM 170 Fouga Magister remplace partiellement le T6 à partir de janvier 1962. Le 1er avril 1966, les T6 ont disparu, la DMP devient le GE 313 et l'escadron n° 1 reçoit sa dénomination officielle : escadron de formation de moniteurs (EFM). Le 1er mai 1985, I'EFM d'Aulnat est transféré à Cognac. Il prend alors l'appellation d'escadron de formation des moniteurs et de standardisation (EFMS).

L'insigne "Magister Dixit" a été repris ultérieurement par la CCQ (Cellule Controle Qualité) jusqu'en 2004 voir remarques

(voir texte source EPAA 315 ci-dessus)

CM170 Fouga Magister

Voir actualité de l'Armée de l'air du 09 juin 2017

Liste des commandants de l'EFM ou l'EFMS

Voir historique GC III/6 - EC 1/11 Roussillon


EFIP 1/11 Roussillon

EFIP = Escadron de Formation des Instructeurs Pilotes



Du 15/05/2014 au 16/09/2020

 Avant
Groupe ou Escadron
Escadrille n°
Nom de tradition
Stationnement 
Equipement 
Après
 
EFIP 1/11 Roussillon
1
III/6(5)
 Cognac
 TB 30 Epsilon
 
2
III/6(6)
 
 

Voir actualité de l'Armée de l'air du 20 mai 2014

Prévision pour mi-septembre 2020 STANEVAL 1/11 Roussillon sur Grob 120 (Escadron de STANdardisation et d'EVALuation)

Voir historique GC III/6 - EC 1/11 Roussillon


Patrouille Cartouche Doré


(fabrication : Martineau - Saumur)

Patrouille de présentation sur Epsilon rattachée à L'EPAA




TB 30 Epsilon Cartouche Doré

Voir Actualités Armée de l'air du 11/02/2014
et du 20/10/2016