[(Ndlr) Sujet en cours
... nouvelles suggestions ?]
[...] A propos de la SPA 69 et la SPA 88, je cherche toujours la signification
de la lettre F inversée ou du chiffre 7 devant le S de SPA des insignes du G/C
1/3 (1946-1949) puis du 3/11 Corse.
Personne ne sait !
Faut-il remonter à 1917 qui vit arriver le SPAD VII dans ces deux escadrilles
en novembre. S'agit-il des initiales de François de la Vigerie , premier commandant
d'escadrille à la SPA 88 ? ou bien cela rappelle-t-il le rattachement des escadrilles
à la 7° Armée ? [...]
Nouvelle hypothèse
[...] A propos de la photo de Caudron G 4
avec un magnifique insigne de hibou voici quelques pistes de recherche.
D'après l'étude de J-B Manchon "L'aéronautique militaire française outre-mer",
il y a eu six escadrilles dotées de Caudron G 4 en AFN :
• Maroc
- La G 489
avait 3 avions en juillet 1918 à Mazagan au Maroc. Elle travaillait surtout
pour la Marine.
- La F 556
est une escadrille de servitude basée à Rabat, elle reçoit des G 4 début 1919.
• Tunisie
- La C 543
est créée avec des G4 en juin 1917 à Sfax. Travaille pour la Marine.
- La C 544
est créée à Mahdia en juin 1917 avec des G 4.
- La G 490
est à Gabès en juillet 1918 sur G 4 surtout au profit de la Marine.
• Algérie
- La C 547
à des G 4 en décembre 1917 à Ouargla.
Les escadrilles 542
,
545
et 546
que Jean-Paul évoque, volaient sur Farman.
[...]
[...] 1 - L'illustration de votre page correspond à l'insigne de l'EC 2/1
Morvan, or vous parlez du GC II/1 pour la période 1932-1942, dont l'insigne
est autre (voir "Insigne de l'escadron de chasse II/1 en 1942 - Il a
été fabriqué en aluminum et été peint - Droits réservés" sur la page
"SPA 62" du site d'Albin Denis.
2 - .... Travaillant sur le Capitaine COIRAL, j'ai des informations contradictoires
quant à la composition du GC II/1 :
• sur votre site : 3ième escadrille SPA 94 - 4 ième escadrille SPA 62
• sur "Ciel de Gloire" : 5ième escadrille SPA 94 - 6ième escadrille
SPA 62
[...]
(Rdlr) Point 1 - Un grand
merci. Vous avez raison, cet insigne de l'EC 2/1 Morvan
est mal placé quand on le retrouve dans la rubrique de recherche des "GC" selon
numérotations. (pris en compte )
Point 2 - Concernant les numérotations escadrilles, c'est "Ciel de gloire" qui
n'est pas dans le juste (erreur d'inattention, je suppose, vu "le sérieux"
de ce site).
Conventionnellement, dans les escadres créées à partir 1932, selon le numéro
de groupes (en principe en chiffres romains : I, II, III, ...) au sein de l'escadre,
les numérotations des escadrilles sont les suivantes :
- GC I/x : 1ère et 2ème escadrille
- GC II/x : 3ème et 4ème escadrille
- GC III/x : 5ème et 6ème escadrille
[...] un petit complément pour votre site, le 2ème en partant de la
gauche
est Max (Maxime) de Ginestet de Puivert ( N77) dont je viens de commémorer le
décès il y a cent ans sur Facebook
Complémrent d'informations sur les quatre frères Guy, Henry, Jacques
et Max de Ginestet :
(source : archives départementales de l'Hérault (34)
203 J 120 Photographies et portraits de Guy, Henry, Jacques et Max de Ginestet
pendant la guerre 1914-1918. 1914-1918
Marie Gustave "Henry" de Ginestet (1888-1944)
est né le ler octobre 1888 à Laussou (Lot-et-Garonne).Conscrit de la classe
1908 de la 2e subdivision de la Seine (matricule n° 3990), il est incorporé
au 14e régiment de dragons (14e RD) le ler octobre 1909 comme soldat de 2e classe,
puis devient brigadier. En octobre 1914, il est rappelé pour servir au 1er régiment
de hussards (ler RH) ; en décembre 1914, il est détaché comme éclaireur au 96e
régiment d'infanterie (96e RI). Henry de Ginestet est promu maréchal des logis
en février 1915 et hospitalisé en octobre. Il rentre au dépôt en janvier 1916,
puis est agent de liaison au 80e régiment d'infanterie (80e RI) en février 1916.
Il est ensuite détaché au ler groupe d'aviation à Dijon comme élève-pilote (DM
n° 7), puis dirigé sur l'école d'aviation militaire d'Avord (Cher, Centre) le
26 août 1916. Devenu pilote de Nieuport
en août 1916, il effectue un stage de tir à l'école du tir aérien de Cazaux
(Gironde, Aquitaine) et un stage de Haute-Ecole (voltige) à l'école d'aviation
militaire de Pau en octobre 1916. Henry de Ginestet est affecté en janvier 1917
à l'escadrille de chasse N 90,
basée à Toul (Meurthe-et-Moselle). Il est promu sous-lieutenant en février 1918
et son escadrille est désormais équipée d'avions Spad.
(voir photos
)
Marie Charles Guillaume, dit "Guy" de Ginestet (1888-1958) est né
le ler octobre 1888 à Laussou (Lot-et> Garonne). Il stationne dans le Nord et
le Pas-de-Calais en novembre-décembre 1914. En avril 1915, il est sous-officier
à la 311e brigade de liaison motocycliste, puis participe à la campagne d'Orient.
Il combat en Grèce et en Serbie jusqu'en juillet 1916. Il intègre ensuite le
56e régiment d'artillerie (56e RA) (octobre 1916), puis le 81e régiment d'artillerie
lourde (81e RAL) (janvier 1917). Guy de Ginestet est hospitalisé pour rhumatismes
en juillet 1917, puis part en convalescence à Lamalou-les-Bains. En janvier
1918, il cantonne au camp des Tourelles, à Orléans (Loiret) dans l'artillerie
d'assaut (chars de combat). En juillet 1918, Guy de Ginestet est promu maréchal
des logis ; en août, il est au 505e régiment d'artillerie spéciale (505e RAS)
en Lorraine, puis à Champlieu dans le secteur de Compiègne. Après avoir obtenu
la croix de guerre en octobre 1918, Guy de Ginestet est promu sous-lieutenant
en novembre 1918.
Louis "Jacques" de Ginestet (1890-1942) est né
le 19 juillet 1890 à Laussou (Lot-et-Garonne). Conscrit de la classe 1890 (n°
804, au recrutement de Béziers), il est incorporé le 1 er octobre 1911 au 19e
régiment de dragons (19e RD) et devient brigadier en mars 1912. Mobilisé le
3 août 1914, il sen en Alsace. Il passe par Mulhouse (Haut-Rhin, Alsace) et
Laveline (Vosges, Lorraine), puis il est dirigé dans le Pas-de-Calais à proximité
de Vermelles et Béthune (septembre-décembre 1914). En 1915, il stationne dans
le secteur d'Arras ; il intègre l'école de Buc (Seine-et-Oise) comme éclaireur
au 184e régiment d'infanterie (184e RI). Jacques de Ginestet est ensuite dirigé
sur l'école d'aviation militaire d'Avord (Cher, Centre) comme élève-pilote en
février 1916. Devenu pilote de Nieuport
le 18 juin 1916, il effectue un stage de tir à l'école du tir aérien de Cazaux
(Gironde, Aquitaine) et un stage de Haute-Ecole (voltige) à l'école d'aviation
militaire de Pau en août-octobre 1916. Le 13 novembre 1916, il intègre l'escadrille
N 62.
En janvier 1917, il est affecté à la 233e escadrille,
puis à la 273e escadrille
en septembre 1918 comme lieutenant. Il est démobilisé en août 1919.
Max de
Ginestet (1892-1917) est né le 1er septembre 1892 à Laussou (Lot-et-Garonne).
Conscrit de la classe 1912, il est inscrit sous le matricule n° 582 au recrutement
de Béziers Saint-Pons). Incorporé à compter du ler octobre 1913, comme soldat
de 2e classe au 10e régiment de dragons (10e RD), il gagne le Front en août
1914 dans le secteur de Lunéville (Meurthe-et-Moselle), puis d'Epernay (Marne)
en septembre. Son unité assure la protection de la retraite de l'armée française
et stationne dans l'Aisne, puis dans le Pas-de-Calais, notamment à Arras et
Vermelles. Le régiment est ensuite affecté en renfort dans le zone de Merville
(Nord, Nord-Pas-de-Calais) en octobre 1914. Puis, le 10e RD passe en Alsace
et cantonne notamment à Aspach-le-Haut, Felon et Saint-Germain-le-Châtelet (Haut-Rhin,
Alsace) de décembre 1914 à décembre 1915. Max de Ginestet est nommé brigadier
le 8 mai 1915. Il passe ensuite dans le 1er groupe d'aviation, comme élève-pilote,
le 30 décembre 1915. Affecté à l'école d'aviation militaire de Tours le 30 janvier
1916, il y obtient son brevet de pilote militaire (n° 3915) le 12 juillet 1916.
Max de Ginestet effectue ensuite un stage de spécialisation "Avions rapides"
à l'école d'aviation militaire d'Avord (Cher, Centre) du 14 juillet au 16 septembre
1916, puis un stage de tir à l'école du tir aérien de Cazaux
(Gironde, Aquitaine) du 18 au 28 septembre 1916 et enfin un stage de Haute-Ecole
(voltige) à l'école d'aviation militaire de Pau du 2 octobre au 8 décembre 1916.
Il gagne ensuite le Groupement des Divisions d'Entrainement (GDE) du 8 décembre
1916 au 14 janvier 1917. Max de Ginestet est alors affecté en Lorraine comme
pilote à l'escadrille N 77
du 16 janvier au 29 juillet 1917. Il est nommé maréchal des logis le 21 mai
1917. Max de Ginestet est tué au cours d'un combat aérien aux commandes du Nieuport
23
n° 534, dans les environs de Mailly-sur-Seille (Meurthe-et-Moselle, Lorraine)
le 29 juillet 1917. Son adversaire était probablement l'Uffz Max Kahlow du Jasta
34 b. Max de Ginestet est inhumé avec les honneurs militaires par les Allemands
dans le cimetière de Mailly-sur-Seille. Après guerre, le corps du pilote est
inhumé sous le monument aux morts de Mailly.
Nom du producteur Ginestet (de), Marie Gustave "Henry" (1888-1944) Ginestet
(de), Marie Charles Guillaume, dit "Guy' (1888-1958) Ginestet (de), Louis "Jacques"
(1890-1942) Ginestet > (de), Maximilien, dit "Max" (1892-1917)
Présentation du contenu : - Guy de Ginestet [vues n° 1-4] - Henry de
Ginestet
[vues n° 5-12, 19-32] - Jacques de Ginestet 'vues n° 13-18, 41-481- Max de Ginestet
[vues n° 33-36, 49-62] Comprend également des photographies de Laurent Rodet,
du 10e régiment de dragons (10e RD) (1914-1915) [vues n° 37-38] et de l'adjudant
pilote Napoléon Gaillard, de l'escadrille N 77
(1917) [vues n° 39-40].
Informations sur les copies : Numérisé en 2014 par les Archives départementales
de l'Hérault.
Indexation géographique : Mailly-sur-Seille (Meurthe-et-Moselle, France)
; Meurthe-et-Moselle (Lorraine, France ; département) ; Lorraine (France ; région
administrative) ; Thiaucourt-Regniéville (Meurthe-et-Moselle, France) ; Lot-et-Garonne
(Aquitaine, France ; département) ; Aquitaine (France ; région administrative)
Indexation matière : Guerre 1914-1918
(source : archives départementales de l'Hérault (34)
[...] (pris en compte )
(Ndlr) Relevé des
brevets de "pilotes militaires" de Louis Jacques, Maxime et Henri
:
Brevet |
Macaron |
NuméroGB |
NuméroUS |
Date |
Affectation |
Type |
Nom |
Prénoms |
Sexe |
Datenaissance |
Pays |
Armée |
Arme |
Statut |
Grade |
3698 |
18/06/1916 |
de Ginestet |
Louis, Jacques |
M |
France |
Armée |
Cavalerie |
Maréchal des logis |
3915 |
12/07/1916 |
de Ginestet |
Maxime |
M |
France |
Armée |
Cavalerie |
Brigadier |
4337 |
25/08/1916 |
de Ginestet |
Henri |
M |
France |
Armée |
Cavalerie |
Maréchal des logis |
[...] Ne pensez-vous pas, même si cet escadron à une vocation temporaire,
qu'il pourrait faire l'objet d'une information dans la page : 4ème Escadre de
Chasse ? [...]
(source : facebook 5/4)
L'Escadron de Chasse 5/4 est une unité de combat temporaire et non officel de
l'Armée de l'air constitué en 2017 sur Rafale,
basé sur la base aérienne 113 de Saint-Dizier. C'est le relais temporaire de
l’Escadron de Chasse 2/4
La Fayette basé à Istres et évoluant encore sur Mirage 2000 N.
Durant la transformation de ce dernier sur Rafale (effectuée au sein
de l'ETR 3/4 Aquitaine),
les militaires ayant acquis les compétences sur ce nouvel avion rejoignent cet
Escadron de Chasse 5/4 provisoire. Une fois la transformation achevée, l'Escadron
de Chasse 2/4 La Fayette sera complètement transféré à Saint-Dizier et le temporaire
EC 5/4 dissous. Le contrat opérationnel et les capacités des forces aériennes
stratégiques sont ainsi préservés durant toute la phase de transformation.
L'escadron 5/4 est composé de deux escadrilles issues du 2/4 La Fayette :
• SPA 81 "Lévrier"
• SPA 167 "Cigogne de Romanet"
(pris en compte )
[...] Deux documents en pièces jointes
Dans le Dossier de Presse BA 120 Cazaux du 07/01/2014,
j'ai appris l'existence de : l'Ecole de Transition Opérationnelle 00.008 "René
Mouchotte" et le terme de : ETO/8th
Wing ! [...]
Sur "Le Mystère
ensablé du trou Saint-Yves",
c'est le crash très romancé du Cne RION qui était patron de la Ciblerie à Cazaux.
Son avion était "peu abimé" niveau entrée d'air et nous avons recueilli l'autre
avion et le stagiaire (j'y étais!) sur la piste, emmené par le Cdt d'du 1/8,
stagiaire qu'on a jamais revu ! L'avion du stagiaire était, je crois, le n°
299 dont la SFERMA a changé l'arrière, dérive et plan horizontal et qui est
revenu et termine sa vie au Conservatoire de Mérignac.
L'histoire est vraie mais romancée, l'avion étant toujours dans ce trou que
j'ai pu voir cet été en voyageant sur le Bassin. Ces 2 articles pour ton info,
bien sur!
L'adjudant RION avait été gravement blessé en Algérie le 04/02/1962 crash de
son T28
à l'escadron 3/10.
(Rdlr) [document 1] Effectivement, sur ce dossier de presse "Armée
de l'air", on retrouve trois fois l'appellation "ETO 00.008 René
Mouchotte" (page 5, 6 et 36) aujourd'hui 8e escadre de chasse
: aucune référence pour justifier cette appellation.
Terme "ETO/8th Wing" : trouvé sur autre dossier de presse de
janvier 2014, page 19
: idem
[document 2] fourni à titre anecdotique
Complément d'information
[...] Je vous joins ce document retrouvé parmi les documents laissés par mon
père après son décès.
Il concerne la création de l'insigne du DTO 44-540
de Sétif en Algérie où il a séjourné quelques temps au cours de sa carrière
dans l'Armée de l'Air.
Si mes souvenirs sont exacts, il m'avait raconté avoir participé à la création
de cet insigne.
Je peux rechercher les dates si vous le souhaitez.
La feuille est une feuille de papier dessin de taille A4 sur laquelle il avait
dessiné quelques unes de ses propositions.
C'est le dernier insigne qui avait été choisi. Au cas où cela vous semble intéressant
pour compléter votre site déjà très riche, je vous laisse toute liberté pour
l'utiliser et le partager.
A cette époque mon père, Roger CACKEL, devait travailler au service météo en
temps que sous-officier. Il terminera sa carrière comme officier (spécialité
Renseignement) dans les Forces Aériennes Stratégiques, avec plusieurs postes
à responsabilité à Bordeaux et Taverny en particulier.
J'ai retrouvé d'autres documents et insignes de cette époque ou plus récents.
N'hésitez pas à me recontacter si cela peut vous sembler utile à vous ou à vos
lecteurs.
Un grand bravo pour votre travail (énorme) pour créer et entretenir un site
comme celui là.
Merci pour les partages que cela permet, et le plaisir donné en le parcourant
ou en découvrant des choses nouvelles à chaque fois. [...]
(Ndlr)
Changement de numérotation de l'Escadron de Transformation Mirage 2000
D (ETD) 2/7 en ETD 4/3 Argonne estimé au 01/09/2016
(Source Air Actualités n°690 d'avril 2016 - page 32) (pris
en compte )
(Ndlr)
Erreur concernant le site "Traditions-air" relevée sur le sujet
"FIM"
:
Le GB I/34 a été l'un des groupes constituant le Groupement "Patrie" du 01/07/1944
au 01/10/1944 mais effectivement appelé par erreur sur ce site "GB
I/34 Patrie" dans les chronologies des escadrilles "SAL 14" et SAL 18" et à
diverses autres endroits (pris en compte
)
(message du 27/08/2017)
[...] Alain VEZIN dit que la SPA 160 “Diables Rouges”
a appartenu au GC II/5 “La Fayette” à compter du 22 mars 1943 et ce jusqu’à
la dissolution le 1er août 1943.
Peux-tu me confirmer cette assertion ?
(Rdlr)
Ce que je peux affirmer, grâce à Bertrand Monraisse, c'est que la SPA 155
(son escadrille associée du GC II/4 durant la Bataille de France sur Curtiss
H75),
elle, a constitué en AFN, la 3ème escadrille du GC I/5 du 01/04/1943 au 01/09/1943
Pour confirmer, j'ai une photo avec le fanion, j'ai le commandant d'escadrille
: Max Vinçotte
et en plus le dos de celle-ci
Pour la SPA 160, je n'ai aucun élément, mais je lance un appel aux spécialistes
...
Réponse de
Bernard Palmieri (28/08/2017) :
Pour ma part, j’ai bien aussi la 3e escadrille du GC II/5 “La Fayette” qui perpétue
les traditions de la SPA 160 du 22 mars au 1er aout 1943 (date de sa dissolution).
Cette création de 3e escadrille au II/5 n’est pas un cas isolé, elle résulte
des instructions n°8445 et 8446/IF/AFN du 20.12.42 et concerne 7 groupes à ma
connaissance ; elle aurait été initiée à la demande des Américains (à confirmer
...).
Vous trouverez en pj la page que je m’étais faite pour ces 3e escadrille à la
vie courte, à toutes fins utiles. (à prendre en
compte)
(déjà pris en compte pour la SPA 155
)
(pris en compte pour la
SPA 160
)
(pris en compte pour la C 46
)
(pris en compte pour la SPA 93
)
(pris en compte pour la SPA 84
)
(pris en compte pour la SPA 124
)
(pris en compte pour la SPA 15
)
[...] Merci pour cette précision ...(Ndlr : existence
d'une 3ème escadrille SPA 84
en 1943 voir ci-dessus) que je peux compléter (une fois n’est pas coutume
!!)...
J’ai écrit sur mon site dans la biographie de Pierre Le Gloan
(mon texte principal sur le III/6 puis le "Roussillon" en AFN est
toujours à l’état de Brouillon...) :
« En juin le III/6 est à Berkane, à 25 km au sud-ouest de Port-Say (sur la côte
algérienne, juste à la frontière marocaine, maintenant Marsa Ben M'hidi). C’est
là que Le Gloan prend finalement le commandement de la 3ème escadrille le 26
juin 1943. »
Cette date doit figurer (je pense, mais je ne l’ai pas avec moi ici : à vérifier)
dans l’ouvrage en deux tomes de Alain Rieu « Escadron de Chasse 1/11 - Roussillon
» publié par l’Association
, ainsi que l’information sur la tradition SPA 84...
Elle semble cohérente avec le texte de l’historique officiel du GC III/6 que
j’ai photographié au SHA (voir page 66 ci-jointe concernant le mois de juin)
La date du 13 août est bien citée (voir page 79 ci-jointe) : « mise sur pied
en mai, reconstituée à la demande du commandement américain le 13 août.... existence
éphémère... »... et sans doute fictive...
... car dans les pages qui suivent, et jusqu’à sa mort le 11 septembre, Le Gloan
vole au sein de la 2ème escadrille ... bizarre !
La date de dissolution, le 14 septembre, est aussi bien explicitée (voir page
94 ci-jointe) etc... [...] (Ndlr : ?)
page
66 - "Escadron de Chasse 1/11 - Roussillon" - Alain Rieu
Le 29, le lieutenant-colonel de La Horie, ancien commandant
du groupe de chasse I/4 vient rendre visite au groupe. Quelques pilotes partent pour Aïn Séfra où sont restés des P.39 disponibles. Lorsqu'ils rentrent, pilotant ces appareils, le groupe se trouve posséder une dotation de trente huit avions de guerre. Cette dotation, ainsi que le personnel pilote de renfort arrivé depuis un certain temps, permettent de mettre sur pied la 3° escadrille dont la création a été prescrite par le commandement dans le cadre de la réorganisation provisoire des forces aériennes françaises d'Afrique du Nord. Cetter 3° escadrille est placée sous les ordres du Lieutenant Le Gloan. Juillet 1943 - Le début du mois est .marqué, à la 2° escadrille, par le départ de l'adjudant-chef Balmer qui est affecté à l'école d'application du personnel navigant de Marrakech. Les vols d'entraînement, sinon très nombreux, du moins intéressants, occupant une grande partie des exercices des pilotes. Ils comportent pour la plupart da sises de navigation en vol rasant, des tirs au sol ou surmanche fixe, dos acrobaties, des exercices de bombardement. |
page
79 - "Escadron de Chasse 1/11 - Roussillon" - Alain Rieu de nos alliés et à leurs procédés de commandement. D'autre part, les chasseurs doivent se tenir constamment en liaison radiophonique avec les postes de guet américains installés sur la côte et dont ils ne comprennent ni les messages ni les indicatifs ; ces derniers portent d'ailleurs des noms bizarres difficiles à assimiler. Un mininum de temps doit donc être consacré, avant toute nouvelle mission, au "rodage" des rapports franco-américains en ce qui concerne l'exécution des missions. 13 août. - Le Général Giraud, Commandant en chef des troupes d'Afrique du Nord, vient inspecter le groupe ; il est accompagné par le Général Clark, commandant la V° armée américaine en voie de formation dans la région de Sidi Bel Abbés. Ce même jour, la 3° escadrille, qui avait été primitivement mise sur pied en mai, est reconstituée à la demande du Commandement américain ; mais cette mesure n'aura pas l'agrément du Commandement français. Le Commandement de la nouvelle unité, dont l'existence sera éphémère, est confié, comme précédemment, au lieutenant Le Gloan. Il en résulte un remaniement dans le personnel pilote et mécanicien des lère et 2ème escadrilles. Seul, le journal de marche de la 2° escadrille indique la composition de cette unité à cette date : |
page
94 - "Escadron de Chasse 1/11 - Roussillon" - Alain Rieu |
A prendre en compte pour les mises a jour page "Aujourd'hui"
:
• EC 2/4 La Fayette
... le CFEN a cessé ses activités (pris
en compte )
• L'EE 3/8 Cote d'Or
et non EC 3/8 (pris en compte )
• EC 70 Chateaudun dissous le 7 juillet 2017
(pris en compte )
• EH 1/44 Solenzara
...EARS 99 = ETO Puma et plus super puma (pris en compte
)
• ET 60
.... la 3ème escadrille GAEL n'existe plus depuis la réactivation de
l'ET 41 sur la BA 107 (pris en compte
).
• Concernant l'antenne STANEVAL
de Cazaux ... pas de numerotation en ESE 3/7.
Elle est appelé STANEVAL " Languedoc " avec l'insigne 3C1 mais elle porte toujours
le numero mécano 20.812 Appellation dans les textes officiels .......Antenne
STANEVAL 20.812 (pris en compte )
(Ndlr) Informations diverses auxquelles il faut rajouter
l'intégration de l'ET 1/62 Vercors
et de l'ET 3/62 Ventoux
au sein de de la 64ème ET
à compter de l'été 2016 (source :
Air-Actualités n°705 - octobre 2017 - page 36) (pris
en compte )