(Rdlr)
- prise en compte de la présence de F 63 au 37ème RAO (information nouvelle)
(pris en compte )
- on peut lire sur ce carnet, il s'agit de la 10ème escadrille (SAL 105) du
37ème RAO
- sur mon site, à la date du 1er octobre 1928, cette escadrille appartient
au 3ème Groupe du 37ème RAO
(?) à éclaircir
Pas de biographie du général François d'Astier de la Vigerie : c'est bien dommage
(un lien vers celle du site "des compagnons de la Libération"
sera bienvenu (pris en compte )
Sur cette bio, il est noté :
"Entre les deux guerres il occupe divers postes administratifs dans l'Armée
de l'Air : directeur de la mission aéronautique militaire en Finlande, chef
adjoint au cabinet technique, attaché de l'air à Rome. Il prend part à la campagne
du Rif au Maroc et assure, de 1926 à 1929, le commandement des centres de Fez
et celui du groupement d'aviation du Sud."
Contribution Jean-Paul Bonora :
Voici la réponse page 515 à la question du 5° groupe, voir le tableau et en
page 516 le rôle de d'Astier de la Vigerie :
(source : "L'aéronautique militaire française outre-mer"
1911-1939 - page 515 - Jean-Baptiste Manchon - Editions PUPS Presses de l'Université
Paris -Sorbonne)
(pris en compte )
"La fin de la pacification au Maroc (1927-1934)
Le départ du Maroc du colonel Armengaud ne se traduisit pas par changement dans
les méthodes, bien au contraire. En effet, c'est son fidèle second durant
la campagne du Rif, le colonel Maginel, qui prit sa succession. le 14 juillet
1927. Or il subsistait encore, au Maroc, un front de dissidence au sud, qui
se développait sur plus de 1500 kilomètres, des Confins algéro- marocains
à l'Atlantique, au sud deTiznit. C'est pourquoi dans la réorganisation des affectations
des escadrilles qui suivit la suppression du front nord, le col Maginel maintint
l'agencement de 10 escadrilles du 37e RA en 5 groupes dont les trois premiers
restaient à la disposition des régions militaires ou se poursuivaient les opérations
de pacification. Les deux demiers groupes basés à Meknès et Fès
constituaient une réserve générale. [...]
37e régiment d'aviation
Rabat 1er juillet 1927 | ||||
Territoires
de Taza et de Talda |
Confins algéro-marocains
|
Région de Marrakech
|
Aviation réservée
| |
1er Groupe
|
2ème Groupe
|
3ème Groupe
|
4ème Groupe
|
5ème Groupe
|
2e escadrille
Taza 6e escadrille Kasba-Tadla |
3e escadrille
Bou Denib 9e escadrille Assaka |
Marrakech
4e escadrille 5e escadrille |
Meknès
7e escadrille 8e escadrille |
Fès
1e escadrille 10e escadrille |
page 516 :
[...] Cette période de pacification aux nombreux succès
fut marquées grave revers, en mai-juin 1929, dans les hautes vallées de l'Atlas
L'aviation dut procéder à une importante concentration de forces pour faire
face à la situation. Pas moins de 6 escadrilles participèrent à ces combats.
Dans la région, l'aéronautique du Maroc possédait trois terrains qui pouvaient
être utilisés comme terrains de travail et deux terrains de base Bou Denib et
Assaka où, depuis le début du printemps, étaient stationnées les 2e et
3e escadrilles, d'une part et les 8e et 9eescadrilles, d'autre part. Dès
le début mai la situation se dégrada. Le poste d'El Bordj fut attaqué 10 mai
et la 3e escadrille, prépositionnée à Rich, dut intervenir par 18 reconnaissances
et 27 bombardements dans la journée. Et, entre le 3 et le 25 mai, l'aviation
de Rich, Assaka et Bou Denib effectua 127 bombardements.
Mais c'est l'anéantissement du 68e RTM par des insoumis, le 9 juin, qui déclencha
dans la région une révolte généralisée et le siège du poste d'Aït Yacoub.
Une concentration de 4 escadrilles, aux ordres du commandant d'Astier de la
Vigerie, fut rassemblée à Rich dès le 12 juin, à 15 minutes de vol d'Aït Yacoub,
pour appuyer le groupement opérationnel du Ziz . Les conditions très sommaires
d'aménagement et de ravitaillement contraignirent les aviateurs à travailler
à l'ancienne, sans radio et à basse altitude pour soutenir le poste et appuyer
la colonne de secours. L'activité aérienne du 15 juin en est représentative.
Au petit matin, lors d'une reconnaissance, le second, d'Astier de la Vigerie,
le commandant Blaise, remarqua la convergence de plusieurs centaines de dissidents
sur le poste d'Aït Yacoub. Rentré immédiaterment, il fit décoller tous les avions
disponibles pour bombarder la harka assaillante. Le succès était obtenu avant
midi. A elle seule, l'aviation venait de un assaut en règles. En outre, le commandement
du 37e RA fit effectuer des rotations à ses unités sur le terrain
de Rich. la concentration des forces et la couverture aérienne furent
donc assurées en permanence jusqu'au 19 juin : 288 missions de guerre
dont 85 ravitaillements furent exécutées et 32 tonnes de projectiles
larguées. [...]
(RTM = Régiment de Tirailleurs Marocains)
(source : "L'aéronautique militaire française outre-mer"
1911-1939 - page 515 - Jean-Baptiste Manchon - Editions PUPS Presses de l'Université
Paris -Sorbonne)
(Rdlr)
Vous trouvez le 3e RAB sur mon site sous son appellation (je crois) la plus
exacte : 3e RB
: existence entre le 1er janvier et 1er août 1920, stationnement : Neustadt
(Allemagne) équipement Breguet 14 B2
(placé à droite sur la carte) et Caudron R XI
(placé à gauche)
Avant 1920, c'était l'Escadre de Bombardement 13
Après le 1er août 1920, c'était le 12e RAB
toujours à Neustadt (avant qu'il revienne à Reims à une date que j'ignore encore)
et devenant en 1932, la 12ème Escadre de Bombardement
L'insigne tel que représenté est pour moi celui de l'insigne de commandement
de la 12ème escadre (vu sur mon site, peint sur un Breguet 19 à Reims
avec la devise "Unguibus et Rostro") : Il est fort probable que cet insigne
ait existé du temps du 3ème R(A)B et même du temps de la l'Escadre de Bombardement
13 avant 1920 mais je n'en ai pas la preuve (*).
Pour retrouver cet insigne depuis la page d'accueil, il suffit d'aller >> rubrique
"Insignes" puis >> "Escadres",
il est à sa place sur la planche des "insignes escadres" (ou des insignes
régiments en minorité).
(*) Pas de preuve, mais forte présomption dans la mesure où concernant
par exemple, l'escadre de Bombardement 11,
une plaquette du 21e RABN
montre que cette dite escadre de bombardement 11 possédait déjà
le sien (de la même veine que celui de ce 3ème RAB).
Réponse de Jean-Eric
Zobrist (27/02/2016) :
[...] De l'excellent livre de J-P Calka et F. Lafarge "Histoire d'une grande
base aérienne BA 112 de Reims :
"Le 01/10/1928, arrivée des premiers avions à Reims-Courcy" et "Le 27/10/1928,
présentation officielle du 12° RAB à la ville de Reims", Tout cela est relaté
avec force détails et photos sur ces journées d'arrivée !
Du livre de J Pernet et P Potier "Les unités de la BA 112 1928-1998 :
"Au mois de septembre 1928, le 12° RAB fait mouvement sur la base aérienne de
Reims". [...] (pris en compte )
Réponse de Jean
Pieribattista (27/02/2016) :
[...] Je viens de lire sur "Traditions Air" une question sur
le 3e RB. Je vous joins les scans d'une brochure concernant cette période ...
Pour l'arrivée de la "12" à Reims : c'est à partir du 1er octobre 1928 et mon
Grand Père faisait parti du voyage ...
Si vous le souhaitez, je vous scannerai la suite de ce fascicule édité pour
le cinquantenaire de l'arrivée de la "12" à Reims et qui traite de la vie de
cette Escadre [...]
(Rdlr)
Document anecdotique ...
(Source : SHAA "Les escadrilles de l'aéronautique militaire française" - Symbolique
et histoire - 1912-1920)
Le Cne Claude Chamouton commande l'escadrille 211 de mai 1917 à début mars 1919
Stationnement durant la période citée (première quinzaine de septembre 1918)
: Tangry
Rattachement : 417ème RAL (Régiment d'Artillerie Lourde)
(*) Patrouille de France 1959 : Mystère IV A de la 2ème escadre de chasse - Leader : Cne Bernard Capillon
[...] Mon père, Jean Véron, a commandé le groupe I/34 en mai 1940
et la 34e escadre de fin 1945 jusqu'à la dissolution
- Voir le Fana de l'aviation, hors-série n° 39 avril 2009.
Je viens de vous envoyer le journal de marche de la 34e escadre.
Le fichier fait 28 mégaoctets. (placé )
(données à exploiter)
Je joins également un article très intéressant sur la présence des groupes de
bombardement français à Villacidro (en italien). (à
traduire et à prendre en compte)
Quelques photos un peu plus tard. [...]
[...] Voilà, c’est tout chaud, je viens de la terminer, la transcription en
texte du journal de marche de la 34e escadre en 1944-1945. Faites-en bon usage,
ce dont je ne doute (pris en compte )
NdlR
Récapitulatif des éléments pris en compte :
- Journal de Marche de la 34e EB (période 1945-1946) format "pdf"
format "htm"
(à enrichir)
- traduction de l'article italien "les Français à Villacidro"
- photos
[...] Vu sur la page Facebook de la BA 118 : Après l’ESTA 15.030, au tour de
l’Escadron de Chasse "Côte d’argent" de changer officiellement de
numéro mécanographique en "01.030" [...] (pris
en compte )
[...] Dans son historique de la base d'Orléans, Mr Baillon présente en page 91 la photo d'un potez 39 du GAR 505 portant une décoration identique. L'insigne de fuselage peu visible sur votre photo serait donc peut etre une "tête de Jeanne d'Arc"... [...]
(Rdlr) Bien vu !!! Bravo pour votre perspicacité
Effectivement, il fallait voir "le triangle bicolore en avant du drapeau de
dérive" page 91 (voir 1ère document ci-dessous)
L'insigne est celui de la page 89 (2ème document ci-dessous) moins les inscriptions
Cerise sur le gâteau : l'appareil de Jean-Paul Bonora numéro 98 (L 128) est
recensé sur la liste non exhaustive page 88 (jointe également) :
Numéros des Potez 39 affectés au GAO/GAR 505 entre 1937 et 1939 | |
Numéro
|
Matricule
|
5
|
L 005
|
16
|
L016
|
25
|
L025
|
45
|
L 075
|
47
|
L077
|
60
|
L090
|
61
|
L091
|
67
|
L097
|
90
|
L120
|
98
|
L 128
|
Potez
du GAR 505 en position délicate sur le terrain de Saran, on note que
l'insigne peint sur le fuselage ne comporte pas d'inscription (Collection Rémi
Baudru)
Source : Historique de la Base Aérienne d'Orléans-Bricy - 1932-1940
- Olivier Baillon
Portrait
de Jeanne d'Arc avec inscription : En Avant ! Tout est vôtre - Orléans
(page 89)
[...] Une remarque au sujet des 2000 C aux couleurs du 3/11 sur votre site et en particulier celle de l'exercice Circaete : j'étais au 2/5 à l'époque et lors du retrait des RDI remplacés par des 2000-5, nous avons touché plusieurs avions qui rentraient de Djibouti. Avant d'être dépeints et mis aux couleurs de l’Île de France, ils ont fait de nombreux vols avec les marquages du 3/11. D'où leurs présences sur des images officielles ou de spotters. [...] (pris en compte )
(Messagerie privée "Facebook" du 29 juin 2015)
[...] Petite question à laquelle vous avez peut-être une réponse (nous ne l'avons
pas de notre côté) :
Savez-vous ce que représente et d'où vient ce qui semble être un F stylisé devant
le S de SPA sur les insignes escadrilles de la SPA 69 et de la SPA 88 comme
on peut le voir sur votre site ci-dessous ?
Merci d'avance ! [...]
(Rdlr)
Question intéressante à laquelle je ne sais répondre.
Rien du côté Moreau-Bérillon, rien du côté Albin Denis. Il faut poser la question
au SHD-Air.
Une hypothèse cependant (qui n'engage que moi) :
Avant que soit formée la N 88 en mars 1917, ont existé :
- la MF 88
formée en 10/15*,
elle débarque à Salonique le 1/12/1915 ; elle se dédouble pour former la MF
88 bis (placée ci-dessous) le 1/2/1916
qui reste en subsistance auprès d'elle jusqu'au 21/4/1916 (> MF 86) [16e
CA brit.; 5/16 > 17e DIC/A. d'Orient; 11/8/16 > …/CAA].
Le 9/9/1916, elle donne naissance à une section mise à la disposition des troupes
italiennes (active jusqu'au début 1917), rebaptisée F
388 le 15/9/1916.
- la MF 88bis
formée le 1/2/1916 par dédoublement de l a MF 88 (citée
ci-dessus) auprès de laquelle elle est en subsistance [17e DIC/CAA].
Elle passe en subsistance auprès de la MF
86 le 21/4/16. Dissoute le 20/6/1916.
J'ai vu écrit sur le livre "les escadrilles de l'aviation
militaire 1912-1920 SHAA : escadrille 88 page 214
:
Ne pas confondre l'escadrille 88 (France) avec les escadrilles MF 88 et MF 88
bis (Orient) ==> Fiche Escadrille 504
Le problème n'étant pas nouveau : ce "F" est peut-être là pour cela. "F" pour
"France". Mais j'insiste : "hypothèse" seulement
Pas vu de "F" pour la "69" mais, le problème est le même pour cette escadrille
puisqu'il y a eu une "69" antérieure déployée en Italie.
Réponse Officier traditions 3/11 Corse :
[...] Permettez-moi d'apporter un peu d'eau au moulin :
Le SHD Air ne sait pas non plus......
En revanche il nous a fourni un très beau PDF comportant l'historique du 3/11
relativement complet, d'où sont extraites les images suivantes :
- pas de "F" sur ce chat-là (la première apparition du dessin grivois remonte
pour nous au premier tour en Indochine du Corse mais nous n'avons pas de preuve
de cela) ; en revanche sur le serpent, ça ressemble fort à un F :
- idem sur l'insigne homologué :
- alors que là, cette fois, le "Chat" est lui aussi concerné
:
- idem sur ce vieux fanion :
- et sur les fanions actuels :
(Rdlr)
On ne peut pas se hasarder à une hypothèse similaire pour la SPA
69
et j'ai commis une erreur ci-dessus dans ma réponse précédente
:
Contrairement à l'escadrille n° 88, une seule entité a été
formée sous le numéro d'ordre 69 en octobre 1915, la N 69 créée
à partir d' éléments de la BLC 5 (BLC pour BLériot
de Cavalerie). Certes cette escadrille a effectué un séjour en
Italie de fin 1917 à avril 1918 mais rien ne peut justifier ce "F"
(placé devant) pour la distinguer d'autre chose.
Pas d'hypothèse pour celle-ci (sinon le mimétisme pour
faire comme la SPA 88, l'escadrille sœur)
La Question reste posée ...
(voir suite développement de ce sujet
)
CIET 340 EIE 400M :
A compter du 1er janvier l’ELA 53
qui était pressentie pour l’escadrille A400 M du CIET 340 devient escadrille
"Opérations" du CIET 340 avec les escadrilles "Instruction"
( ELA 57)
et escadrille "Standardisation" (ELA 46).
(pris en compte )
(Décision n° 263/DEF/CEMAA/NP du 25
février 2016)
(travail en cours)
Photo de la 5e escadre de chasse
[...] contribution à votre site, la photo en question a été prise le 15 Septembre
1939. Le Lieutenant-colonel Léon Nuville était à cette époque le commandant
de la 5° Escadre, commandement qu'il a gardé jusqu'en 1940. J'ai plusieurs exemplaires
de cette photo dont une avec les signatures des participants au dos (voir ci
dessous la photo et son dos). Charles Léon Nuville ce vétéran de 14/18, aux
12 victoires a une histoire fabuleuse. Finalement très peu de personne le connait.
Si ces documents vous intéressent, je peux vous envoyer des copies. [...] Je
vous envoie une seconde photo (voir ci dessous la 2ème photo) qui est
de la même époque : si par hasard vous identifiez quelqu'un soyez gentil de
me le dire [...] (pris en compte )
(Ndlr)
Ajout de la biographie de Léon Nuville le 05/05/2016 (format "pdf")
Le
15 septembre 1939
De gauche à droite en suivant les plans verticaux successifs : Lt Cordier, Cne
Reyne (nu-tête) - Cne Destaillac, S.Lt Faure, Cne Monraisse, Lt Meunier (nu-tête),
Cne Sarault, Lt Houze (nu-tête), S.Lt Villacèque, Cdt Hugues, S.Lt Trémolet,
Lt.Col Nuville, S.Lt Besson, Cdt Brantonne, Lt Huvet.
Zoom
Dos
de la photo.
2ème
photo :
(Rdlr) Concernant la première photo :
L'inscription au dos " X.. le 15 septembre 1939" me fait douter du
lieu (peut-être X pour Xaffévillers)
Pour Léon Nuville, la seule information utile que je peux apporter :
brevet n°3651, daté du 09/06/1916 - As de la SPA 57
et ayant commandé les escadrille SPA 154
et SPA 69
avant 1920. Sa biographie m'intéresse.
Concernant la deuxième photo :
Le lieutenant "aux valises",
en rapprochant les deux photos en question, l'on s'aperçoit que c'est
Christian Sarault (breveté à Avord, le 17 octobre 1929 sous le
n°22744), il semble que cette photo symbolise son départ de l'escadrille
SPA 3 à laquelle il a appartenu (à vérifier) : voir la
stèle représentative de la Cigogne de Guynemer
(que je n'avais pas vue au premier examen). (voir rectificatif
ci-dessous)
Détail étonnant : l'intéressé porte un insigne d'escadrille
qui semble ressembler plus à celui de la SPA 103 qu'à celui de
la 103 (zoom),
tout comme le personnage le plus à droite du groupe (zoom).
La photo est antérieure à celle ci-dessus dite de la 5e escadre,
puisque sur cette dernière, Christian Sarault porte des galons de capitaine.
On retrouve le général de brigade aérienne Christian Sarault
dans le magazine "Air Actualités" n°640 - avril 2011, page
60 :
Le général (2e S) Christian Sarault est
décédé le 8 juin 1979.
(Ndlr : 04/04/2016)
Compléments concernant Christian Sarault (voir ci-dessus) :
- il s'avère qu'il a commandé l'escadrille SPA 103 à compter du 26 mai 1934,
(source) : http://aeroplanedetouraine.fr/
"Le samedi 26 mai 1934, René Fonck
vient à Tours pour remettre un fanion d’honneur à la Spa 103. Plusieurs autres
grands pilotes de l’escadrille ont fait le déplacement : Haegelen, Battle, Ledeuil
ainsi que le colonel d’Harcourt : « Ainsi nous remettons l’image de cet emblème,
témoin de nos combats, de nos souffrances et de nos gloires, pour le transmettre
nous-mêmes, à ceux qui viendront après nous »… C’est au lieutenant Sarault que
Fonck remet le fanion tenu par le plus ancien pilote de la Spa 103, Brugère."
- pas de lien de ce pilote avec la 5e escadre de chasse
ou plutôt avec le GC II/5 (les Groupes de Chasse étaient autonomes
depuis le 1er mai 1939) sinon des relations de camaraderies.
- il a commandé le GC I/2 du 13 juin 1940 au 07/08/1940 (source) : http://www.cieldegloire.com/
Fallait-il des valises pour passer d'un commandement d'escadrille (SPA 103)
à celui de commandement en second du Groupe I/2 ? "That is the question"
? La seconde photo semblait pourtant le suggérer.
Quelques corrections tout d'abord ;
- 3a (1914)
- 7 (1914)
- 10 (1914)
- 13 (1914)
- 37 (1915)
- 41 (1915)
- 60 (1914)
ensuite, j'ai fait un petit récapitulatif des aérodromes pour 1914 et 1915
(*), que je complèterai à mesure pour les années suivantes (1919 sous peu, mais
sur un autre document), à placer en annexe, à mon avis.
(pris en compte et intégré dans le système
)
Je vous précise que les traditions des VB 137 et VB 135 ont été perpétuées,
respectivement, par les 1ère et 2e sections (puis escadrilles) de l'Escadron
de tir "Lubéron" d'Apt St Christol, du 03.11.1977 à la dissolution du Plateau
d'Albion, le 01.09.1998, dates qui semblaient vous faire défaut. (pris
en compte )
(GMS = Groupement de Missiles Stratégiques)
Mon père ayant servi à Meknès d'avril 1944 à avril 1948, m'a dit qu'à son arrivée
l'escadrille C1 utilisait des H- 75
.
Les P-40 sont arrivés bien plus tard dans cette escadrille et étaient révisés
au parc de Meknès, les H-75 étant rapatriés en France après la libération. Les
P-40 ont rejoints Meknès soit par la voie des airs pour ceux qui pouvaient se
le permettre ou par la route. Il venaient d'horizons divers soit US, RAF et
aussi d'anciens avions du La Fayette.
Tous étaient de type F ou L, version à moteur Packard Merlin. Les plus abîmés
recevaient un camouflage "maison" car ces avions venaient de connaître de longue
période de "stockage" qui consistaient à les laisser à l'abandon dans des dépôts
d'Afrique du nord. D'après la brochure Air-Britain Royal air Force Aircraft
FA100-FZ999 la date de transfert des Kittyhawk IIA vers l'armée de l'air concerne
le mois de mars 1945. La photo représente le Kittyhawk II FL294, ancien du squadron
3 de la RAAF où il aurait été codé CV- H. Un pilote, le sergent J. H. Hooke
revendiqua une victoire probable à son bord le 14 janvier 1943 (Source A history
of Mediterranean Air War 1940-1945 volume two chez Grub Street, londres 2012)
(pris en compte )
[...] une autre photo concernant la fin de cet avion probablement en 1947 suite
à une rupture de rotule lors d'un virage pour rentrer au parking, incident qui
marqua la fin de carrière de nombreux P-40. Le tracteur est le Cletrac de l'escadrille
Spitfire qui fut chargé de le récupérer. La photo est hélas de très mauvaise
qualité. [...]
[...] Je ne sais pas si je vous avez fait parvenir
ces trois photos. Il s'agit du Beaufighter RD833 qui fut le seul à avoir volé
semble t'il pour le compte de l'Armée de l'air et qui était de passage à Meknès
fin 1945 et d'un Junkers 88 lui aussi de passage sur la base :
Junker
88 (AAB1) de passage à Meknès - au deuxième plan Junker
52 (AAC1) - unités à déterminer ?
(AAB = Ateliers Aéronautiques de Boulogne)
[...] orthographe du patronyme Soleille [...] (pris en
compte )
[...] Je me permets de vous signaler une petite erreur dans l'historique du GC II/7 pour la période du 17/11/1951 au 01/12/1961. Vous indiquez comme équipement le Vampire Mk IV. Or De Havilland n'a jamais construit de Mk IV qui était un projet à moteur Nene. L'Armée de l'air a été équipée avec de Mk I (30 exemplaires), des FB.5 (90 exemplaires) livrés par l'angleterre et 67 FB.51 assemblés par la SNCASE, avant que celle-ci ne développe le SE.530 Mistral ... Merci encore pour votre site qui est magnifique et une superbe source d'informations historiques. [...] (pris en compte )
[...] J'ai consulté la page des GAO de votre site, [...] afin de voir et vérifier
la présence dans cet inventaire d'un insigne que je possède qui appartient à
l'histoire de mon régiment, le 68ème régiment d'artillerie d'Afrique (01360
La Valbonne).
En effet durant la seconde guerre mondiale, les régiments d'artillerie mirent
sur pied des pelotons d'observation aérienne équipés de Piper afin de compléter
les équipes d'observation au sol. Ces unités peu nombreuses comme celle du 68
réalisèrent des insignes souvent en nombre limité et numéroté, ce qui doit en
faire des insignes fort rares. J'ai eu la chance d'avoir trouvé un exemplaire,
numéroté 39, ayant appartenu au chef de corps de l'époque et ayant séjourné
depuis la fin de la guerre dans une boîte ! De ce fait je suis certain de son
authenticité.
L'insigne du GAO de la 1ère DB a très certainement été réalisé en Algérie ou
stationnait cette unité au début de l'année 1944 et avant le débarquement de
Provence, pour preuve le chef de corps (Colonel Rousset), collectionneur d'insignes
artillerie avant l'heure, possédait cet insigne dans ses affaires avant d'être
tué au combat le 24 août 1944 lors de la libération de Marseille, c'est à dire
9 jours après le débarquement. Cet insigne dormait avec une centaine d'autres
dans une boite détenue par sa fille depuis la fin de la guerre.
Je vous faire parvenir en pièces jointes, les photos recto et verso de cet insigne
très proche du dessin issu de l'ouvrage du CES Moreau-Bérillon. Effectivement
à l'origine ce GAO était une unité de surveillance côtière stationnée au Maroc.
Il mesure 30,7 mm de diamètre et 1,5 mm d'épaisseur, peint à la main et de fabrication
artisanale probablement. (un léger éclat de peinture bleue sous la lorgnette
ou longue vue). [...] (pris en compte )
[...] Pour le Spad 81 n°60 au premier plan, la chimère de la 65 et au second plan le casque de Bayard et pas l'inverse comme tu l'as marqué sur ton site. [...] (pris en compte )
[...] A 1299 - Escadron de chasse 1/7 "Provence" - Saint-Dizier
à signaler pas de légende pour l'insigne A 1300 qui je pense est un insigne
de Solenzara [...] (pris en compte )
(Rdlr) Précision complémentaire
[...] Suite à identification, ce jour, d'un insigne d'escadrille de l'armée de l'Air, sur le site " F-I-M " et vérification sur votre site, je vous signale que les escadrilles VR 551, MF 55, SAL 8 et SAL 105 appartenaient à la 2° escadre aérienne du Nord marocain (et non Nord Maroc) et les escadrilles F 553, F 554, VR 555 et F 558 à la 3° escadre aérienne du Sud marocain (et non Sud Maroc).[...] (pris en compte )
(Rdlr) source des précédentes appellations : travaux "Moreau-Bérillon".
[...] Pour le lieu de cette photo, cela pourrait être BLIDA (Algérie) ?
cf site BA 140 base aerienne Blida
et en particulier les photos du PC base [...] (pris en
compte )
[...] La photo du LeO 20 de la F119 était légendée au dos : "Guéret atterrissage
de nuit par la brume octobre 1931", comme je vous l'indiquais dans mon message
d'envoi de cette photo, ce qui répond à votre question : date? [...] (pris
en compte )
Une demande d'identification a été ainsi
formulée sur le forum "www. aviation-ancienne.fr" le 26 nov
2016
:
[pseudo "Alban"...] Je souhaiterais identifier l'insigne peint sur
le fuselage de ce Breguet 14 A2. L'appareil appartient au 37ème Régiment d'aviation,
basé au Maroc en 1925 pendant le guerre du Rif. Peut-être saurez-vous m'aider
à le retrouver ...
https://images-03.delcampe-static.net/img_large/auction/000/072/518/972_001.jpg?v=0
[...]
(Ndlr) La photo est legendée : "Taza Le 13
Octobre 1925 - Atterrissage du Lieutenant Loth "
L'insigne resssemble fort à celui du GAO 585 de Sétif
Pure Hypothèse : Le GAR/GAO n'ayant été créé
qu'en 1937, ce qui pourrait nous amener à penser que cet insigne aurait
pu être porté précédemment par les avions de l'escadrille n°549
de Sétif,
escadrille qui a justement été intégrée 14ème escadrille du 37ème RAO en renfort
de la Guerre du Rif.
[...] A propos de la photo du Breguet 14 de la R XI 246
envoyée par Jean-Paul, il s'agit d'un modèle assez rare (50 exemplaires construits
à l'Armistice), le Bre 14 Ap2 à moteur américain Liberty. C'est le n° 9089 parfaitement
lisible sur la photo jointe. [...] (pris en compte )
Zoom sur l'empennage de l'appareil (replacé dans le bon sens de lecture)